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Rem Palpitt

#Lift10 : Comment favoriser l'engagement citoyen ? - 1 views

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    Organiser la protestation… C'est souvent ainsi qu'on lit l'engagement citoyen et les exemples de cette session n'échappaient pas à la règle. Mais où sont donc les engagements qui font éclore des propositions ? Sont-ils possible dans un monde où ceux qui font de la politique ne sont peut-être pas encore suffisamment attentif à ce que disent leurs citoyens ?
Arnault Coulet

La règle des 1% s'applique aussi au politique ! @albanmartin - 0 views

  • On trouve depuis peu une analogie troublante avec la participation au fonctionnement des instances publiques. En effet, Pierre Rosanvallon, professeur au collège de France et auteur de  La légitimité démocratique paru en 2008, nous explique que « si l’on considère la fréquence de l’engagement régulier dans de telles instances organisées (comités de quartiers, jurys citoyens, commissions d’enquête etc) on a estimé dans le cas britannique qu’environ 1% des adultes étaient concernés. » C’est à dire qu’un seul pour-cent des citoyens anglais contribue de manière active à la vie publique, au « bénéfice » de 100% de la population. Cette estimation se fonde sur l’étude de Tom Bentley détaillée dans  Everyday Democracy paru en 2005. Ce dernier relève également qu’on retrouve à peu près ce même niveau de membres actifs quelque soit les pays où il a mené son étude, exception faite du Brésil qui atteint les 2%.
  • il est troublant de noter que les chantres de la démocratie représentative, reposant par ailleurs sur les partis politiques et la règle des 1%, sont bien souvent les opposants les plus virulents à tout saupoudrage de « collaboration citoyenne » dans les différents processus de décision gouvernementale, au prétexte « d’équité » non respectée : inégalité d’accès à l’information si celle ci transite par les nouvelles technologies, caractère non exhaustif d’une consultation citoyenne ponctuelle, pas de majorité numérique absolue atteignable via ces dispositifs etc.
  • n’aurait-on pas intérêt à accorder les deux méthodes, plutôt qu’à les opposer sans cesse ? en effet, leurs limites respectives ont la chance d’être complémentaires : imaginez un représentant qui peut compter sur une intelligence collective représentée par 1% de citoyens bénévoles prêt à contribuer à un sujet de société. Ces 1% de citoyens ne seraient bien sûr pas représentatifs (et ce n’est pas ce qui est attendu d’eux, ce rôle étant joué par l’élu qui encadre les échanges et tranche en dernier ressort). Par contre, ils seraient créateurs d’une masse de données et de remontées terrains capables d’éclairer la prise de décision
Rem Palpitt

BVA : Internet et ses usages vus par les Maires et les Citoyens (via @simplifions) - 1 views

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    Première étude réalisée auprès des Maires et des citoyens Français et Européens : France, Italie, Pologne, Portugal, Allemagne, Royaume-Uni, Espagne, Grèce.
stan mag

Les réseaux sociaux, vecteurs de changement social : Tech Ethique - 0 views

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    "Prenons l'exemple de l'écologie. La plupart des citoyens sont pétris de bonnes intentions, mais pourtant, peu militent pour cette cause, ou modifient sérieusement leurs comportements dans ce sens. Cela peut venir d'un manque d'intérêt, de connaissance, ou simplement d'un certain scepticisme : "impossible que mon action, elle seule, puisse avoir le moindre impact". Les réseaux sociaux peuvent permettre d'abattre ces barrières, selon cette étude. Les petites actions militantes, qui autrefois restaient dans l'anonymat, sans jamais connaître aucun écho, se voient soudain relayées à des centaines, voire des milliers de personnes."
JP Clement

Le rapport 2010 du World e-Parliament - 0 views

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    Le Centre mondial pour les TIC au Parlement a publié son Rapport mondial 2010 sur l'e-Parlement. Ill présente les résultats d'une enquête sur l'adoption des TIC par les parlements et, plus particulièrement, sur leur usage des médias sociaux pour la communication avec le citoyen.
stan mag

On the White House - Can Grass-Roots Supporters Fire Up the Budget? - NYTimes.com - 0 views

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    Mobilisation des net-roots d'Obama pour soutenir le projet de loi budgetaire : le lobby citoyen sera-t-il au rdv >
Rem Palpitt

Jumo, le premier réseau social humanitaire (lefigaro.fr) - 0 views

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    Ce nouveau site communautaire, lancé à la rentrée prochaine, est le dernier né de Chris Hughes, le cofondateur de Facebook et ex-directeur de la e-campagne d'Obama. Objectif avoué : connecter de façon durable citoyens et associations pour favoriser la solidarité.
stan mag

L'observatoire hebdomadaire du web politique #14 : Spécial Tunisie | Facebook - 0 views

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    "Les tenants de la Web révolution Nouvel Observateur, le Figaro, Le Monde : les plus ardents défenseurs d'un rôle décisif du web dans la révolution tunisienne sont, paradoxalement, les médias traditionnels. Le Web comme catalyseur de la « révolution » : le Nouvel Obs, par la voix de J-F Julliard, qualifie purement et simplement les événements actuels de « e-révolution », le mécontentement exprimé sur le Web ayant contribué à déloger le président tunisien. Le Monde, lui, publie une tribune d'un chercheur à l'IRIS, lequel affirme que le Web contribue à former des citoyens éclairés et politisés, donc rebelles. In fine, c'est donc bien le Web qui serait le catalyseur de la révolte. Enfin, certains médias algériens relaient par ailleurs la thèse selon laquelle Wikileaks et Facebook ont joué un rôle complémentaire dans le mécontentement : le premier en publiant certaines informations gênantes, l'autre en les popularisant. Le Web comme outil d'organisation : sur le Nouvel Obs, un article revient plus en détail sur l'organisation du mouvement via le Web, un Web devenu un « outil indispensable de l'opposant » en Tunisie. Numerama adopte le même ton : Internet aurait été en mesure de renverser le régime tunisien en raison de l'efficacité accrue de la mobilisation, une efficacité permise par le Web. Le Web comme transmetteur d'informations : par la voix de Pierre Haski (Rue89), l'AFP se range également dans le camp des tenants de la « Web révolution » : sans Internet, de telles émeutes ne seraient pas permises, notamment grâce la bonne circulation de l'information qui a rendu possible la diffusion de l'appel à la mobilisation. Les « pure players », incrédules À l'inverse, les sceptiques trouvent leur place au sein des pure-players et medias spécialisés. Les blogs comme Netpolitique, Meilcour ou Guy Birenbaum figurent parmi ces incrédules. Le Web ne fait que transmettre
Rem Palpitt

Here comes everybody (Clay Shirky) - 1 views

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    Un extraordinaire mouvement populaire basé sur la micro contribution de millions de citoyens à travers une plateforme de mobilisation en ligne a alors balayé le modèle traditionnel d'une campagne basée sur l'action de militants coordonné par un parti.
stan mag

Numérisons les lobbyistes de l'Assemblée avec Transparence International Fran... - 0 views

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    "Numérisons les lobbyistes de l'Assemblée avec Transparence International France"
Arnault Coulet

Democrates USA : Un site pour traquer ses adversaires politiques (@elegale) - 0 views

  • Cela s'appelle "Projet Responsabilisation" et son site Internet vient d'être lancé par le Parti Démocrate américain pour lutter "contre la désinformation, les mensonges et le double langage". L'idée est simple : responsabilisons chaque citoyen témoin d'une déclaration ou de l'attitude d'un candidat républicain à partager avec tout le monde ce qu'il a vu ou entendu. Chacun est donc invité à filmer une scène, depuis n'importe quel type de caméra, y compris par téléphone mobile, puis à la publier sur le site dédié au projet. En jouant une totale transparence, on évitera ainsi d'entendre n'importe quoi disent ses concepteurs...
Arnault Coulet

Nous sommes tous Khaled Said : la plus grande campagne d'activisme en ligne d... - 0 views

  • Révolte sur Facebook La cam­pagne « Nous sommes tous Khaled Said », lan­cée sur Facebook et qui réuni à ce jour pas loin d’un quart de mil­lions de «fans» (lien de la page en arabe), soit près de 10% des uti­li­sa­teurs de Facebook en Egypte, a fait voler en éclat le men­songe gou­ver­ne­men­tal en mon­trant la photo de Khaled après son décès. Mutilé et com­plè­te­ment défi­guré, il était clair qu’il était mort sous la tor­ture (la photo est à décon­seiller aux âmes sen­sibles)
  • L’une des com­po­santes qui a fait le suc­cès de cette cam­pagne d’activisme en ligne a sans nul doute été l’existence d’une adresse email de contact et d’un blog assez com­plet, ras­sem­blant toutes les infor­ma­tions sur l’affaire Khaled Said.
  • des acteurs pré­sents dans les média Egyptiens se sont mobi­li­sés et ont même par­ti­cipé aux « silent stands » qui s’organisaient régu­liè­re­ment sur la page Facebook. Plus effi­cace encore que les flash­mobs, ce mode de mani­fes­ta­tion paci­fique a beau­coup fait par­ler de lui en Egypte. Les «silent stands» avaient lieu simul­ta­né­ment dans plu­sieurs régions égyp­tiennes, et ont réuni de très nom­breux citoyens. La vio­lence employée par la police pour répri­mer les mani­fes­tants n’a fait qu’envenimer les choses.
  • ...2 more annotations...
  • Ayant réa­lisé que la situa­tion était deve­nue incon­trô­lable, le gou­ver­ne­ment a changé de stra­té­gie : ils ont pré­senté une nou­velle ver­sion des faits, affir­mant que Khaled Said se serait fait tuer suite à la conver­sion de ses frères au judaïsme et à leur demande de natu­ra­li­sa­tion amé­ri­caine. Khaled, soupçonné d’être tenté de les rejoindre, aurait donc été assas­siné par des isla­mistes, ce qui, au regard de son tout nou­veau sta­tut de traitre, n’était pas bien grave, fina­le­ment. Par contre, plus ques­tion de toxicomanie. Pour appuyer ses affir­ma­tions, le gou­ver­ne­ment fit cir­cu­ler une photo qui ne fai­sait guère que démon­trer sa faible mai­trise de Photoshop. Elle fut immé­dia­te­ment dénon­cée sur Facebook.
  • Les mili­tants, de leur coté, sont pas­sés à l’étape sui­vante : ils ont demandé à tout le monde d’écrire « Non à la tor­ture, non à l’Etat d’urgence, ce pays est le nôtre : Nous sommes tous Khaled Said », ainsi que d’autre mes­sages reven­di­ca­tifs sur tous les billets de banque qui leur pas­sait dans les mains afin de dif­fu­ser leur mes­sage sur quelque chose dont il est dif­fi­cile d’arrêter la cir­cu­la­tion : l’argent.
stan mag

L'ouverture des données publiques, et après ? « InternetActu.net - 0 views

  • proposés par des entreprises, et financés soit par leurs utilisateurs, soit par la publicité.
    • stan mag
       
      facile ausssi d'imaginer l'utilisation à des fins de manipulation : 'faire dire aux chiffres ce que l'on veut'
  • Beaucoup de données cessent d’être produites, ou bien le sont par des entreprises. L’ouverture des données publiques réduirait ainsi le stock de données publiques…
  • les groupes d’intérêt s’en servent pour contester la moindre décision, la moindre ligne de dépense publique
  • ...9 more annotations...
  • a nouvelle visibilité des données invite même à les trafiquer à la source
    • stan mag
       
      surtout avec l'essor du data-journalisme : encore plus attrayant de manipuler les date pour manipuler l'output journalistique
  • Du pouvoir à ceux qui l’ont déjà ?” (“Empowering the empowered ?”),
  • prototypes, rarement exploitables par des citoyens ordinaires
  • De magnifiques visualisations font plus pour la célébrité de leurs concepteurs que pour créer une compréhension partagée de phénomènes complexes.
  • quelques lobbies plongent dans les données, pour en ramener les résultats qu’ils savaient vouloir y trouver
  • faire le boulot qu’ils attendent de leurs municipalités, surtout quand celle-ci est plus indifférente que réactiv
  • Si, par exemple, on n’ouvre les données que dans l’espoir de réduire les dépenses publiques en transférant la fourniture de nombreux services au privé (voire au secteur associatif), alors la probabilité de voir s’engager les cercles vicieux décrits dans le scénario “sombre” devient très élevée.
  • gagnent en capacité d’action
  • que la fracture sociale ne passe par la capacité à comprendre les données ?
    • stan mag
       
      nouvelle fracture numérique
Arnault Coulet

Le fonctionnaire n'est pas encore 2.0 - 1 views

  • Médias sociaux et interaction en ligne avec les autorités, ces deux thèmes ne disent rien à de nombreux fonctionnaires.
  • Voilà ce qui ressort d’une enquête réalisée par Indigov auprès de 556 fonctionnaires (néerlandophones), dont les résultats seront présentés aujourd’hui lors de la journée d’étude Ambtenaar 2.0. Les avis sur internet sont univoques chez quasiment tous les fonctionnaires: internet est utile, voire essentiel dans l’exécution de leur travail. Trois quarts d’entre eux ont accès à tous les sites web. Seul 0,5 pour cent n’a pas accès à internet. Un dixième des fonctionnaires éprouve cependant quelques difficultés à maîtriser internet.
  • Beaucoup de fonctionnaires ne recourent pas aux médias sociaux. La plupart connaissent cependant les grands noms dans le domaine (Facebook, Twitter, Netlog, LinkedIn). Mais un fonctionnaire interrogé sur trois n’est pas actif sur les réseaux sociaux et n’y possède pas de compte. Et quand ils y disposent d’un ou de plusieurs compte(s), les fonctionnaires choisissent Facebook (53%), suivi par LinkedIn (31%), Twitter (10%) et Netlog (10%). Plus de 4 fonctionnaires sur 10 requièrent une formation pour utiliser les médias sociaux. Autre point étonnant: plus d’un tiers des participants à l’enquête (35%) estime que les pouvoirs publics doivent dialoguer avec le citoyen par le biais des sites de socialisation. 29 pour cent n’est cependant absolument pas au courant de la présence de son service public sur un réseau social.
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