Dès le départ, le cloud exonère l'entreprise d'un investissement (parfois lourd) en achat de licences et de matériels :
lissage des coûts et par la visibilité de la dépense sur le long terme
Plutôt que d'investir dans des immobilisations (CAPEX), l'entreprise concentre ses efforts sur ses dépenses opérationnelles (OPEX). L'imputation de l'informatique en OPEX libère des lignes de budget pour des investissements plus centrés sur le coeur de métier.
La facturation à l'usage liée au cloud a l'avantage de la souplesse.
disposer ainsi d'une configuration sur mesure, à tout moment.
facilité et la rapidité d'accès aux informations de l'entreprise.
Le cloud se présente également comme une solution plus écologique que le modèle traditionnel, en assurant des économies sur la consommation d'énergie
l'entreprise utilisatrice bénéficie des ressources informatiques de l'éditeur et de l'hébergeur, qui assurent la mise en service, le paramétrage, la sécurisation, la maintenance et l'évolution des logiciels
la sécurité apparaît comme l'un des plus essentiels mais aussi des plus délicats
toutes ne disposent pas de moyens suffisants pour sécuriser leurs données (sauvegardes, infrastructures redondantes, surveillance, tests réguliers de restauration… etc.)
Dans ce cas, l'hébergement par un professionnel s'avère une solution intéressante : il permet une meilleure sécurisation des serveurs et des données de l'entreprise. En cas de sinistre ou de catastrophe (incendie, inondation…), les procédures de redémarrage en mode dégradé sont bien mieux prises en charge par des infrastructures prévues, comme pour les datacenters.
La connectivité réseau, sur laquelle repose l'accès aux applications, devient ainsi cruciale en mode cloud
es entreprises qui craignent une perte de leur confidentialité et représente donc un frein majeur pour l'adoption du cloud.
l'éditeur cloud proposera un niveau de sécurité plus élevé que ce que l'entreprise est capable de fournir avec ses propres moyens. Il est donc important que l'entreprise évalue finement le niveau de sécurité et les garanties dont elle a réellement besoin afin de bien comprendre les différents offres cloud
La relation de confiance avec l'éditeur jouera également ici un rôle capital.
Les clauses des contrats de services cloud concernent principalement la disponibilité, la sécurité, la confidentialité et le support.
A noter qu'en matière de conformité règlementaire, c'est bien l'entreprise cliente qui en reste juridiquement responsable, le fournisseur agissant en tant que sous-traitant...
Egalement à surveiller : les engagements de disponibilité, la fréquence des sauvegardes, ainsi que le rôle respectif des différents acteurs, dont le nombre oscille entre un et quatre (par exemple : éditeur, hébergeur, intégrateur et opérateur réseau).
l’âge moyen des salariés, il est de 32 ans, 42 ans pour les dirigeants
le chiffre d’affaires total des entreprises étudiées a franchi la barre du milliard d’euros en 2011
une progression de 33 % par rapport à 2010
11 % en Europe
CA (61 %) est réalisé sur le marché français
28 % à l’international hors UE
70 % des entreprises étudiées ont obtenu des aides à l’innovation proposées par l’entreprise publique Oséo
67 % d’entre elles bénéficient du statut de jeune entreprise innovante (JEI) leur permettant d’obtenir des avantages fiscaux ; exonération d’impôts et allègement de charges sociales
109 millions d’euros de dépenses en R&D
obtenu 27, 7 millions d’euros de crédit impôt recherche
8,3 millions d’euros d’aides Oséo
le soutien de capitaux-risqueurs et la pérennisation, voir l’élargissement, des aides à l’innovation (JEI, CIR, Oséo) sont essentiels »
En 40 ans, on est passé d’un marketing de masse à un marketing de la relation avec le client. C’est tout bénéfique pour les marques qui ont sûrement gagné en harmonie.
le communautaire aide énormément une marque comme la nôtre et concourt à un achat réfléchi et responsable
hissant la notion de consommateur au rang de capital client
Le monde est désormais un village où la marque doit apprendre à vivre et à échanger avec ses voisins pour intégrer la différence, anticiper les besoins et adapter sa réponse.
On se souvient
que Google avait levé 1,6 milliard de dollars et que le cours de l’action
introduit à 85 dollars n’avait fini la journée qu’à 100 dollars.
Le leader des réseaux sociaux viserait de lever 10 milliards de dollars ce qui
porterait la capitalisation boursière de l’entreprise à quelque 100 milliards de
dollars soit plus que celles de sociétés comme HP ou 3M.
Aujourd’hui, Google vaut 185 dollars ce qui la situe dans le peloton de tête des
entreprises cotées
En mai dernier, LinkeIdn avait levé que 352 millions de dollars, mais l’action
introduite à 45 dollars a fini sa première journée à 94 dollars ce qui
valorisait alors l’entreprise à près de 9 milliards de dollars.
Groupon spécialisé dans les bonnes affaires et les achats groupés s’est
introduit au début du mois. En trois semaines, le titre est tombé à 15 dollars
alors qu’il avait atteint les 26 dollars
Les analystes considèrent donc que Facebook pour atteindre 100 milliards de
dollars de capitalisation boursière au moment de son introduction
la société de capital risque Redpoint Ventures prévoit 140 milliards de dollars
en 2015
Twitter has received a $200 million infusion led by Kleiner Perkins Caufield & Byers, one of the premier venture capital firms in the world, and a key early-stage investor in a little-known company called Google.
The company’s investors now assign a $3.7 billion valuation to the firm.
Chacun d'entre eux détiendra un quart du capital de Buyster (2,8 millions d'euros à sa création), et le quart restant sera aux mains d'Atos Origin, le prestataire de services informatiques.
Le e-commerce a crû de 24 % l'année dernière en France, et pèse 31 milliards d'euros. Dans cinq ans, il dépassera probablement 60 milliards d'euros, dont 10 % seront réalisés via le mobile.
gros projet car cela nécessite d'équiper les commerçants de terminaux d'encaissement sans contact
vient compléter l'éventail des moyens de paiements proposés par les opérateurs -ils cherchent d'ailleurs à obtenir ensemble l'agrément d' « établissement de paiement » auprès de la Banque de France
L'internaute devra taper son numéro de mobile, son code confidentiel, et recevra un SMS avec un code secret à usage unique pour valider la transaction en ligne
le terminal dédié à l'achat peut aussi bien être un mobile qu'un ordinateur, une télévision connectée ou une tablette
Si quelqu'un vous vole votre mobile, il ne pourra pas procéder à des achats car il ne connaît pas votre code confidentiel. Buyster va apporter de la sécurité, sans détériorer l'expérience client
la carte bancaire, qui sert aujourd'hui à régler 83 % des achats en ligne
Il faudra encore que les internautes français résistent au pouvoir d'attraction de géants comme Google, dont la solution de paiement Checkout finira par arriver en France, ou Apple, qui dispose déjà des coordonnées bancaires de ses clients avec iTunes. Sans parler des projets qui fourmillent en ce moment, start-ups ou bien industriels soucieux de se diversifier.