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"M. Dallest, Procureur Général près la cour d'appel de Grenoble, Mgr De Kerimel, évêque de Grenoble - Vienne, Mgr Malle, évêque de Gap (+ Embrun) et Mgr Michel, évêque de Valence, ont mené depuis plusieurs mois une réflexion visant à améliorer le signalement des infractions de nature sexuelle, afin d'en faciliter le traitement judiciaire. Ces réflexions ont donné lieu à la rédaction d'un protocole."

"Ce dimanche 20 mars, aura lieu la première journée de prière pour les victimes de violences et agressions sexuelles et d'abus de pouvoir et de conscience au sein de l'Église. Elle se vivra (ainsi que vendredi et samedi) dans les paroisses de notre diocèse selon des modalités variées, renseignez-vous. Au niveau diocésain, il vous est proposé le vendredi 18 mars : Un chemin de croix conduit par le père Loïc Lagadec, administrateur diocésain, de 12h15 à 13h à cathédrale Notre-Dame de Grenoble Un chemin de croix conduit par le père Emmanuel Albuquerque, curé de la paroisse Saint Pierre Saint Paul - Grenoble à 18h à 19h à l'église Saint Pierre du Rondeau Un chemin de croix conduit par le père Philippe Rey, curé des paroisses Sanctus en Viennois et Sainte Mère Teresa en Viennois à 15h en la cathédrale Saint Maurice de Vienne."

"L'Evêque de Grenoble, Monseigneur Guy de Kérimel, a réagi, jeudi 7 mars 2019, à la démisison du cardinal Barbarin. Dans son interview, l'Evêque a évoqué le choc, puis la compassion et enfin la nécessité d'une prise de conscience face aux problèmes d'abus sexuels au sein de l'Eglise."

"Mgr Hervé Gaschignard évêque d'Aire et Dax va reprendre des responsabilités au sein du diocèse de Grenoble Vienne. Cette arrivée provoque l'incompréhension d'une partie de la communauté chrétienne"

"Les trois diocèses de Gap et Embrun, Grenoble-Vienne et Valence vont signer, vendredi 22 novembre, un protocole avec le procureur général de Grenoble pour faciliter la circulation des informations entre l'Église catholique et la justice."

"L'ancien évêque de Grenoble, Guy de Kerimel, avait été alerté par une victime du père Ribes en 2016.  Mais aucune enquête interne sérieuse n'avait été menée."

"Une nouvelle affaire de pédocriminalité secoue les diocèses de Lyon, Grenoble et Saint-Étienne. Elle concerne le père Louis Ribes, le "Picasso des églises", artiste-peintre mort en 1994."

"Pédophilie dans l'Eglise : 48 témoignages de victimes du père Louis Ribes recueillis par les diocèses de Lyon, Grenoble et St Etienne"

"Le diocèse de Grenoble-Vienne annonce avoir mis la main sur un écrit dénonçant des agressions sexuelles de l'ancien prêtre et député"

"Après avoir consulté les archives nationales de l'Église, à Issy-les-Moulineaux, nous sommes passés à celles du diocèse de Grenoble. Certaines lettres, quelques-unes remontant à 1942, sont assez éloquentes sur les faits reprochés à Henri Grouès, dit l'abbé Pierre."

"Guy de Kérimel, évêque de Grenoble-Vienne, réagit à la condamnation de Monseigneur Barbarin à six mois de prison avec sursis pour non-dénonciation d'agressions sexuelles. Reconnu coupable, ce jeudi matin, de ne pas avoir dénoncé les agressions du prêtre Bernard Preynat sur des enfants, l'archevêque avait déclaré, lors de son procès à Lyon : « Je ne vois pas de quoi je suis coupable »."

"Nous pensions avoir vraiment changé de culture et définitivement abandonné les logiques de contournement et de silence lorsque nous avions adhéré au mois de mars dernier aux conclusions du rapport Sauvé. Mais force est de constater que ce n'était pas le cas. Avec les personnes victimes, nous sommes atterrés et nous demandons si les choses finiront par changer. Pascal Wintzer, évêque de Poitiers, disait qu'il ne faudrait peut-être pas moins de 40 ans, après cette terrible séquence, pour que la confiance puisse éventuellement être retrouvée. Je partage ce point de vue. Il faut presque toute une vie a des personnes ayant été agressées pour retrouver un chemin pacifié ; et parfois la vie entière n'y suffit pas. Notre génération de responsables d'Église - imprégnée plus ou moins inégalement, et plus ou moins consciemment, de cette culture du silence qui a eu tant d'effets destructeurs - ne s'en relèvera sans doute pas de sitôt. C'est une génération en quelque sorte perdue. Il faut l'accepter et, simplement et humblement, mettre en place de nouvelles pratiques saines et vertueuses qui pourront permettre à la génération suivante de partir sur des bases nouvelles. Il nous faut travailler pour eux et pas pour nous ; pour nous il est probablement trop tard. Ne nous berçons donc pas d'illusions, le chemin sera long. Il faut s'y engager résolument comme sur un chemin de croix, conscients que l'horizon de la Résurrection est encore bien éloigné… Mais cela ne doit pas affaiblir notre volonté de mettre en œuvre, résolument, tout ce qui est susceptible de nous rapprocher de cette échéance. Pour avoir la garantie la plus sérieuse de ne pas laisser de côté cette urgence, il nous faut certainement emprunter le « chemin des pauvres » ; de ces pauvres qui sont comme le quasi-sacrement de la présence du Seigneur. J'aime l'expression d'Erwan Le Morhedec qui, après avoir passé un long temps avec une perso

"Après le sommet historique sur les abus sexuels dans l'Église, Loïc Lagadec, vicaire général du diocèse de Grenoble-Vienne (Isère), explique que "le ménage est en train d'être fait", même si "c'est très difficile de découvrir la vérité"."

"Mgr Guy de Kerimel vous invite à une journée pour lutter contre les abus"

"Quels messages transmettre à ses enfants ? Quelles précautions ? Et comment ? à l'auditorium de la basilique avec Marie-Christine Guillou, pastorale des adolescents et Marie-Jo Verlucco, service Diaconie et soin "

"Soirées organisées dans le cadre de la lutte contre les abus et pour la bientraitance en visio-conférence les mercredis de mars J'ai ma conscience pour moi ou je l'éclaire ?"

"pour toutes les personnes au service des enfants, des jeunes et des personnes vulnérables"

"Vous le savez, depuis quelques jours, plusieurs personnes se sont plaintes d'avoir été abusées dans les années 1960, 70 et peut-être au-delà, par un prêtre originaire de Grammond, dans la Loire, et qui a exercé son ministère dans les diocèses de Lyon et de Grenoble. Ce prêtre, Louis Ribes, était connu pour être un artiste, dont certaines de ses œuvres sont dans des églises. Hier soir a eu lieu à Grammond, son village natal, une réunion avec les gens du village et une douzaine de personnes victimes, qui ont témoigné de ce qu'elles avaient subi de la part de ce prêtre. Comme vous pouvez l'imaginer, tout cela suscite une grande émotion et fait ressurgir chez de nombreuses personnes victimes des blessures parfois enfouies depuis des dizaines d'années mais toujours extrêmement douloureuses."

"L'été dernier, plusieurs personnes se sont adressées au diocèse de Lyon et au diocèse de Grenoble pour révéler qu'elles ou leurs proches avaient été agressés sexuellement par le Père Louis Ribes, artiste peintre décédé en 1994. Pour ma part, j'ai appris récemment que des personnes avaient aussi été agressées dans le diocèse de Saint-Etienne, le Père Ribes étant originaire de Grammond où il revenait régulièrement."

"L'été dernier, plusieurs personnes se sont adressées au diocèse de Lyon et au diocèse de Grenoble pour révéler qu'elles ou leurs proches avaient été agressés sexuellement par le père Louis Ribes, décédé en 1994. Nous avons acquis la certitude, en octobre dernier, de la véracité des faits."