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Dabbleboard est une application web de tableau blanc qui permet très simplement de travailler à plusieurs, avec des outils intéressants. J'aime bien l'outil pour dessiner des formes, qui permet de « nettoyer » des tracés fait à main levée : par exemple, on fait 4 traits ressemblant vaguement à un carré, et l'outil va derrière reconnaître la forme et les transformer en un « vrai » objet de type carré. Les fonctions de mises en forme sont basiques mais suffisent largement, avec une interface claire : pas besoin de se balader dans des menus pour choisir l'épaisseur du trait parmi 48 possibilités; juste quelques éléments existent. Cela fait une interface légère et agréable. Attention, c'est du pseudosynchrone. Point fort : intègre un chat et de la visioconférence.

BonFire est un intéressant concept consistant en l'implémentation sur un ordinateur portable de 2 caméras à détection de mouvements, de deux micro-projecteurs laser et deux miroirs; l'ensemble permettant diverses interactions physiques avec les programmes installés sur l'ordinateur. A titre d'exemples, ce système pourrait permettre d'afficher certaines données de jeu sur le bureau afin de réserver la totalité de l'écran à l'action principale, de mettre vos statuts sociaux à jour en fonction des objets déposés sur le bureau ou de mettre votre lecteur audio en pause lorsque vous retirez votre casque audio (sur le principe des interactions par puces RFID) ou encore de transférer des fichiers entre votre ordinateur et votre téléphone mobile (un peu à la manière de systèmes tactiles de type Microsoft Surface).

Facebook pousse à l'adoption de l'Open Graph Protocol (http://opengraphprotocol.org/) pour cartographier le web social. L'OGP s'appuie sur les votes des visiteurs « j'aime/j'aime pas » pour récolter les info et faire des liens sémantiques entre les objets et acteurs.

Qui c'est qui disait vendredi dernier que ça marchait pas ? Alain je crois. A voir l'ergonomie et les applications, mais c'est sûr que cette idée qui tournait arrive dans une phase industrielle.

Ça me rappel furieusement le roman Spook Country de William Gibson. Situé dans notre univers contemporain, ou très proche, les gens dispose de genre d'appareil permettant d'accéder au net, par un mécanisme de réalité augmenté. Couplé au marquage RFID et au coordonnées GPS, un des aspects du roman concerne le geotagging ou des artistes/dissidents/etc marquent sauvagement des lieux et objets pour faire circuler de l'information, ou même « réécrire » le monde en faisant rééxister des lieux n'étant plus présents dans le modne physique. Je rapproche également Layar de Dennō Coil, un anime où de jeunes enfants vivent des aventures étranges via leurs lunettes de réalité augmenté. L'accent est mis sur ce qui se passe quand la couche virtuelle du monde s'éloigne de la couche physique. Et on pourrait remonter comme cela jusque Neuromancer et The Shockwave Rider. Ça fait comme pour les technologies de Star trek : les ingénieurs actuels sont en train de réaliser les gadgets qu'on voit dans les films depuis tout petit :) Donc oui, c'est super sympa. Et on sait même déjà ce qui va arriver dans les 10 prochaines années, rien qu'en regardant ce qu'a produit la SF depuis 40 ans. http://en.wikipedia.org/wiki/Spook_Country http://en.wikipedia.org/wiki/Denn%C5%8D_Coil

Last week we reported that Pachube, an open source platform enabling developers to connect sensor data to the Web, had released a real-time notifications feature. We at ReadWriteWeb ...

Ça avait commencé vers 2006, à E³ avec The Eye of Judgment (http://uk.ps3.ign.com/articles/827/827260p1.html). Le but est de pouvoir injecter dans le monde du jeu des éléments du monde physique; soit pour faire de la réalité augmentée, soit carrément de nouvelles possibilités. On a ainsi au moins la webcam et le micro comme périphériques d'entré génériques, avec à côté divers accessoires propriétaires (par exemple, Guitare hero). Mais c'est vrai qu'un des points bloquants est la possibilité de pouvoir s'appuyer sur des capteurs quelconques, uniformisés, pour que les applications derrière puissent s'appuyer dessus.