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started by moncle rpas on 09 Oct 14
  • moncle rpas
     
    Selon les spécialistes, les troubles du comportement alimentaire - l'anorexie mentale, la boulimie et l'hyperphagie - touchent de 5 à 10 % de la population générale (dont des adultes qui n'arrivent jamais à sortir de ce piège et qui se sentent souvent abandonnés). La proportion atteindrait même 15 à 20 % des adolescents et des adultes jeunes, si l'on y ajoute les formes moins bien définies ou atypiques. Malgré cette fréquence et la multiplication d'études psychiatriques, génétiques ou neurobiologiques, les mécanismes biologiques en cause n'ont pas livré tous leurs secrets, loin de là. Mais la récente découverte de chercheurs de l'unité Inserm 1073* pourrait changer la donne. Cette équipe vient, en effet, de démontrer l'implication d'une protéine produite par certaines bactéries intestinales. Ses résultats ont été publiés mardi par la revue Translational Psychiatry.Les chercheurs de Rouen, qui s'intéressent aux liens entre l'intestin et le cerveau, ont identifié une protéine qui est le sosie de l'hormone de la satiété (la mélanotropine). trench noir burberry pas cher
    Cette protéine est fabriquée par certaines bactéries comme Escherichia coli qui sont naturellement présentes dans notre flore intestinale. Normalement, l'organisme produit des anticorps contre cette protéine. Mais ces anticorps "vont aussi se lier à l'hormone de la satiété du fait de son homologie de structure et donc modifier l'effet satiétogène de l'hormone", précise l'Inserm dans son communiqué. Cela peut avoir deux conséquences opposées : la sensation de satiété est atteinte (d'où une anorexie) ou elle ne l'est plus (d'où une hyperphagie, voire une boulimie). "Par ailleurs, la protéine bactérienne apparaît elle-même avoir des propriétés anorexigènes", est-il aussi (... trench homme burberry pas cher ) Se doper aux hormones : ça ne va pas, non ? Il y a des périodes comme ça, où le découragement fait tenir des raisonnements un peu bizarres. Ainsi a-t-on pu lire ici ou là, que le dopage finalement, ce n'est peut-être pas si terrible que ça. Alors pourquoi s'en formaliser, disent certains. Le sujet naturellement, intéresse au plus haut point les sportifs...et leurs médecins. trench femme burberry pas cher
    Alors les hormones pour gonfler ses performances : triche ou pas triche ? En avant-première des Journées internationales de médecine sportive (JIMS) qui se tiendront prochainement à l'Ile Maurice, nous avons demandé son avis au Pr Martine Duclos, chef du service de médecine du sport au CHU de Clermont-Ferrand.« Il y a deux ans de cela » reconnaît-elle, « c'était la grande mode : la capacité à réaliser des performances de haut niveau est d'abord d'origine génétique. Alors pourquoi ne pas légaliser le dopage ? D'autant plus que son dépistage coûte cher pour une efficacité aléatoire ». Traduction libre : dépister un sportif dopé c'est difficile, et puis de toute façon ceux qui vont se doper sont les sujets naturellement doués, car génétiquement prédisposés. Ne nous y trompons pas : ce raisonnement était aussi discutable que répandu.Car enfin souligne Martine Duclos, « c'est vrai : la génétique joue un certain rôle en la matière. On est même parvenu à identifier des gènes qui prédisposent plutôt au sport d'endurance, ou à des sports où l'on pratique un effort plus 'explosif'.

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