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started by moncle rpas on 09 Oct 14
  • moncle rpas
     
    Cannabis, l'étude choc : la déplaisante vérité sur les effets de la consommation récurrente de pétards Une étude vient de confirmer les effets néfastes d'une consommation régulière de cannabis sur la santé. Isolement social, diminution de la mémoire courte, influence sur le développement cérébral... Une liste qui remet les choses en place, dans un contexte où les conséquences de cette "drogue douce" sont trop souvent écartées.Atlantico : Une étude (conduite sur 20 ans) sur les effets de la consommation à long terme du cannabis a été récemment publiée par le Professor Wayne Hall, conseiller sur ses questions à l'OMS. trench burberry femme pas cher
    Les résultats publiés révèlent notamment que le cannabis serait très addictif, provoquerait des problèmes de santé mentales et ouvrirait la porte à des drogues dures. Ne contredisent-ils pas ainsi l'argument selon lequel la consommation de cannabis serait inoffensive ? Qu'en est-il dans les faits ?Alain Morel : Nous n'avons pas tous les éléments méthodologiques de l'étude du Pr Wayne Hall, mais, au-delà des leurs formulations "choc" trop simplistes, les conclusions que vous rapportez ne font que confirmer ce que l'on sait déjà : une consommation intensive de cannabis qui commence tôt à l'adolescence et se prolonge des années augmente tous les risques de ce produit. Mais cela est valable pour tous les produits psychoactifs, y compris le tabac et l'alcool : plus on commence tôt, plus la consommation est répétée, et plus les risques d'addiction et les risques propres au produit sont aggravés. Le cannabis est un produit psychoactif qui est généralement consommé par des jeunes qui inhalent la fumée de combustion. Ces deux éléments donnent immédiatement une idée des principaux risques qui lui sont liés : les effets psychiques et les effets toxiques pulmonaires à long terme (d'autant plus quand il est consommé avec du tabac).Ebola: il ne faut pas abattre le chien de l'infirmière espagnole, ne serait-ce que pour des raisons scientifiques Comparée aux plus de 3.000 décès enregistrés au soir du 23 septembre en Afrique de l'Ouest, la polémique peut certes paraître dérisoire, comme le regrette notre journaliste santé Jean-Yves Nau. trench burberry pas cher Mais la décision des autorités madrilènes peut également sembler démesurée.À LIRE AUSSI Ebola: et si une personne infectée arrivait demain à Paris Charles-de-Gaulle?A la suite de l'annonce, ce 6 octobre, de la contagion par le virus Ebola d'une infirmière ayant soigné en Espagne un missionnaire rapatrié d'Afrique et mort fin septembre, les autorités sanitaires de Madrid ont décidé d'abattre le chien de cette dernière. Une décision qui a provoqué la colère de son époux, dont une interview téléphonique a été publiée sur le site espagnol El Mundo:«[Les autorités m'ont dit] que si je ne leur donnais pas mon autorisation, elles allaient saisir la justice pour rentrer chez moi par la force et sacrifier mon chien. [...] Il faut me sacrifier moi aussi? Comme on ne sait pas si je suis infecté ou non, ils vont aussi me sacrifier moi?»Relayé sur Facebook, son refus de laisser abattre son chien a donné suite à des pétitions, ainsi à qu'un hashtag sur Twitter, #SalvemosAExcalibur («Sauvons Excalibur», du nom du chien), qui a généré 237. trench burberry occasion pas cher
    000 partages en à peine une journée.Si à Madrid on explique ne pas vouloir prendre de risque, du côté des scientifiques spécialistes de l'infection, on se montre bien moins catégorique. Interrogé par le journal El País, le chercheur français Eric Leroy explique ainsi que le chien de cette infirmière ne devrait pas être tué, ne serait-ce que «d'un point de vue scientifique». Et de préciser:«Il faut isoler ce chien, le suivre de près, étudier ses fonctions vitales, voir s'il est infecté et vérifier s'il excrète ou non le virus. C'est très intéressant d'un point de vue scientifique, et ça ne sert à rien de le tuer.» Une protéine à l'origine de l'anorexie et de la boulimie Une équipe de Rouen a identifié dans notre flore intestinale une protéine qui modifie la sensation de satiété. Un espoir pour traiter les troubles alimentaires.

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