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started by moncle rpas on 08 Jul 14
  • moncle rpas
     
    Selon la loi, Mahmoud Ahmadinejad est le numéro deux du régime, derrière le guide religieux, l'ayatollah Ali Khamenei. Mais, dans le contexte actuel, Larijani est plus puissant, car il tient entre ses mains le dossier le plus important du pays», commente le politologue Morteza Firouzi. De plus, murmure-t-on dans les coulisses du pouvoir, son conservatisme pragmatique est plus apprécié que les dérapages verbaux de l'actuel président. Nommé, l'été dernier, à la tête du Conseil suprême de la Sécurité nationale, en remplacement de Hassan Rohani, Ali Larijani est, comme Ahmadinejad, un ancien des gardiens de la révolution. Les deux hommes sont connus pour être des idéologues convaincus, défenseurs acharnés de la République islamique. Mais c'est là que la comparaison s'arrête. Populiste et islamiste, Ahmadinejad aime provoquer : sur la question d'Israël,qui doit être rayé de la carte», sur le traité de non-prolifération, dont il menaçait récemment de se retirer. Lunettes de soleil Oakley HolbrookTêtu, mais toujours posé, Laridjani rassure : «Nous ne fermons pas la porte aux discussions diplomatiques», déclarait-il, il y a quelques jours.Proche conseiller de KhameneiC'est lui qui, l'année dernière, reprochait à son prédécesseur d'avoir «accepté d'échanger une perle contre un bonbon», en acceptant de renoncer à l'enrichissement d'uranium contre une coopération nucléaire, commerciale et politique offerte par les Européens. C'est lui, également, qui, à chaque occasion, rappelle «le droit absolu de l'Iran d'enrichir l'uranium sur son territoire». Mais sans jamais élever le ton.Calme et fermeté : voilà des qualités particulièrement appréciées par le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, dont Laridjani est un proche conseiller. «Son prestige dans les hautes sphères, il le doit également à ses origines familiales», remarque Morteza Firouzi. Né à Nadjaf, en Irak, Ali Larijani n'est autre que le fils de l'ayatollah Hachem Amoli un grand marjaa («source d'imitation») chiite et le beau-fils de l'ayatollah Morteza Motahari, un des théoriciens de la révolution islamique, tué en 1979. ray ban pas cher Il est «un enfant du sérail». Son frère aîné, Mohammad Javad, a été député au Parlement iranien. Sadegh, un de ses jeunes frères, siège au Conseil des gardiens, une puissante instance d'arbitrage du régime.Après des études de mathématiques à l'université Sharif de Téhéran, Ali Larijani enchaîna sur un doctorat de philosophie, au cours duquel il se familiarisa avec les pensées de Hegel, Kant et Heidegger. Au moment de la guerre Iran-Irak (1980-88), il rejoint les gardiens de la révolution, l'armée d'élite. En 1992, il se retrouve à la tête du ministère de la Culture. Trois ans plus tard, le guide religieux le nomme chef de la radiotélévision d'Etat, où il restera pendant dix ans. Lunettes de soleil Oakley JawboneCes «années noires», les défenseurs d'une plus grande liberté ne les ont pas oubliées. C'est, en effet, sous la direction d'Ali Larijani, que fut lancé «Hoviyat», un programme qui dénigrait systématiquement les écrivains et opposants iraniens. Les étudiants se rappellent, aussi, les aveux forcés de certains de leurs camarades devant les caméras de la télévision, après leur arrestation lors des manifestations de l'été 1999. «Il faut fermer la télévision de Laridjani», pouvait-on entendre dans leurs meetings de contestation.Face à la concurrence accrue des images satellitaires de l'opposition qui diffusent clandestinement en Iran Ali Larijani s'est efforcé, pendant ses dernières années passées à la tête de la télévision, de moderniser le petit écran en y introduisant des vidéo-clips et en lançant parallèlement toute une série de chaînes diffusées via le satellite : Sahar, Khabar, Jam é Jam...

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