Un membre de la garde a été tué et trois autres blessés.Dès lors, la bande de Gaza s'embrase. La garde présidentielle se déploie aux carrefours stratégiques. « Le Hamas vient de commettre un crime contre l'armée légitime palestinienne », dénonce Abou Zouheir, un combattant des Brigades des martyrs d'al-Aqsa, proches du Fatah. Recruté au sein des forces présidentielles, il est posté avec ses hommes, dont certains sont encagoulés, aux abords de la présidence. « Si nous ne sommes pas capables de répondre à ce crime, nous n'avons plus qu'à rentrer chez nous, dit-il. Le Hamas essaie de nous imposer sa loi et nous ne pouvons pas l'accepter. hermes birkin neuf pas cher »À la mi-journée, la garde présidentielle investit le ministère des Transports et celui de l'Agriculture, situés aux abords de la présidence, pour tenter de sécuriser le périmètre. Le ministre des Affaires étrangères, Mahmoud Zahar, se précipite vers son bureau, dans le même secteur, pour s'y retrancher. Son convoi essuie des tirs de la garde présidentielle, qui ne font pas de blessé. Pris d'une colère froide, Zahar appelle la garde présidentielle à se retirer, faute de quoi elle sera délogée manu militari. Les tirs d'armes automatiques font rage entre les combattants des deux camps, postés dans les immeubles du quartier.Un journaliste de « Libération » blessé par balle« C'est un coup d'État contre le Hamas, commente Hatem, l'un des étudiants réfugiés dans le café. Nous avons déjà voté. polo lacoste pas cher Le Hamas a gagné parce qu'on voulait mettre un terme à la corruption du Fatah et parce que l'on voulait des réformes. Mais le monde entier est contre nous et soutient Abbas, pour tenter de nous imposer un autre choix. Et les dirigeants du Fatah sont prêts à tout pour tenter de reprendre le pouvoir, parce qu'ils ont les mains sales et qu'ils ont peur des enquêtes. »Les étudiants invectivent l'un de leurs professeurs, proche du Fatah. « Abbas a laissé suffisamment de temps au Hamas pour qu'il adopte une attitude raisonnable, répond celui-ci. Il faut que nous revenions aux négociations, pour arrêter cette spirale. » Les combats redoublent d'intensité et se rapprochent du petit café, interrompant l'altercation. chemise burberry pas cher Les étudiants, accompagnés par un groupe de journalistes, décident de quitter les lieux, pour éviter d'être pris au piège. C'est alors que Didier François, le correspondant du quotidien Libération au Proche-Orient, est blessé à la cuisse par un tireur embusqué. Souffrant d'une fracture au fémur, il est transporté à l'hôpital Chifa de Gaza, puis évacué vers Israël pour y être opéré.Les combats se poursuivent autour de la présidence et des ministères. Deux obus de mortier sont tirés contre les bureaux de Mahmoud Abbas. Le président, lui, se trouve dans son quartier général de Ramallah, en Cisjordanie. Mais, cinq membres de la garde présidentielle sont blessés.
»À la mi-journée, la garde présidentielle investit le ministère des Transports et celui de l'Agriculture, situés aux abords de la présidence, pour tenter de sécuriser le périmètre. Le ministre des Affaires étrangères, Mahmoud Zahar, se précipite vers son bureau, dans le même secteur, pour s'y retrancher. Son convoi essuie des tirs de la garde présidentielle, qui ne font pas de blessé. Pris d'une colère froide, Zahar appelle la garde présidentielle à se retirer, faute de quoi elle sera délogée manu militari. Les tirs d'armes automatiques font rage entre les combattants des deux camps, postés dans les immeubles du quartier.Un journaliste de « Libération » blessé par balle« C'est un coup d'État contre le Hamas, commente Hatem, l'un des étudiants réfugiés dans le café. Nous avons déjà voté. polo lacoste pas cher Le Hamas a gagné parce qu'on voulait mettre un terme à la corruption du Fatah et parce que l'on voulait des réformes. Mais le monde entier est contre nous et soutient Abbas, pour tenter de nous imposer un autre choix. Et les dirigeants du Fatah sont prêts à tout pour tenter de reprendre le pouvoir, parce qu'ils ont les mains sales et qu'ils ont peur des enquêtes. »Les étudiants invectivent l'un de leurs professeurs, proche du Fatah. « Abbas a laissé suffisamment de temps au Hamas pour qu'il adopte une attitude raisonnable, répond celui-ci. Il faut que nous revenions aux négociations, pour arrêter cette spirale. » Les combats redoublent d'intensité et se rapprochent du petit café, interrompant l'altercation. chemise burberry pas cher
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