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Michael Kors Sacs bandoulière Certes - 0 views

Sacs bandoulière Michael Kors pas cher

started by moncle rpas on 23 Aug 14
  • moncle rpas
     
    Le 12 septembre dernier, Ali al-Naïmi, le ministre saoudien du Pétrole, est venu à Vienne à la réunion des ministres de Opep. Il a expliqué à ses confrères que son pays allait porter ses capacités de production de 10,8 millions de barils par jour actuellement à 12,5 millions en 2009. Ce projet intervenant pratiquement en même temps que l'annonce de découvertes « importantes » de nouveaux gisements dans le Golfe du Mexique, a contribué à faire baisser les prix.En l'espace de quelques semaines le marché mondial a viré sa cuti. Les craintes de pénurie d'or noir ont fait place aux noirs fantasmes d'abondance. À tel point que plusieurs pays de l'Opep, Arabie saoudite en tête, mais aussi l'Iran, le Nigeria, la Libye et le Koweït, ont dû faire du rétropédalage. Ils se sont engagés le 20 octobre à réduire leur production. Sacs bandoulière Michael Kors
    Parmi les autres facteurs du reflux des cours, il faudrait noter une certaine baisse de régime de la conjoncture américaine, voire en Asie. Mais cet argument ne semble pas convaincant : les autres matières premières ne marquent pas de signe de faiblesse.Paradoxalement la retombée des cours du pétrole laisse les économistes de marbre. Personne ne s'avise de crier victoire et encore moins de revoir à la hausse ses prévisions de croissance 2006 et 2007. À cela deux raisons de fond. D'une part, les prix pétroliers n'ont plus l'impact économique qu'ils pouvaient exercer dans les années 1970 et 1980 : la meilleure preuve est que la croissance mondiale n'a jamais été aussi forte que ces trois dernières années. Et d'autre part, bien plus que leur niveau absolu, c'est l'hyper-volatilité des cours qui fait réellement problème. Michael Kors Sacs bandoulière Certes les automobilistes ne peuvent que se réjouir de l'évolution inespérée de ces dernières semaines, qui semble se moquer des tensions géopolitiques. Aux États-Unis, où le gallon d'essence supporte très peu de taxes et varie pratiquement comme les prix du brut, ce qu'il fallait payer plus de trois dollars en août n'en coûte plus que 2,30. En France, malgré la Tipp qui joue comme un frein à la baisse des prix à la pompe, le litre de super sans plomb est passé de 1,32 euro en juillet à 1,15 euro le 25 octobre, soit une baisse de 12,7 %. Dans le budget des ménages c'est autant de gagné pour d'autres achats, dira-t-on selon un raisonnement de bon sens, mais bien trop simple. Comment expliquer en effet que les Français aient fortement réduit leurs dépenses de consommation en septembre ?Le sentiment de bien-être que suscite la baisse des carburants doit être replacé dans un contexte plus large de la politique économique. À première vue on pourrait penser que les banques centrales ont tout lieu de se féliciter du reflux du pétrole. Cela leur facilite la tâche dans leur lutte contre l'inflation. Sacs Michael Kors pas cher
    Mais en même temps elles se trouvent confrontées à de nouveaux risques de surchauffe de la demande des ménages dont le pouvoir d'achat se trouve requinqué. Aux États-Unis principalement, mais aussi dans certains pays européens comme l'Espagne. Il est significatif que le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, ait tenu cette semaine, devant le Parlement européen, à justifier de prochaines hausses des taux directeurs de la BCE.Par ailleurs la rechute brutale des cours du pétrole pose à nouveau la question de sa volatilité dont on sait d'expérience qu'elle est préjudiciable aux approvisionnements à long terme. Ainsi la « grève des investissements » observée sur l'ensemble des sources d'énergie tout au long des années 1990 s'explique par les niveaux insuffisants des cours du baril. Ils fluctuaient alors entre 10 et 15 dollars. La situation actuelle est strictement inverse, comme vient de le rappeler John Browne, le président de British Petroleum : « Les dépenses mondiales d'investissement dans l'exploration et la production continuent.

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