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Lunettes de soleil Ray Ban Aviator Un tour - 0 views

Lunettes de soleil Clubmaster Aviator réplique ray ban pas cher

started by moncle rpas on 09 Jul 14
  • moncle rpas
     
    Ce dernier était en visite en Iran depuis vendredi, afin de persuader Téhéran d'accepter une proposition de compromis de Moscou.Partenariats économiques avec MoscouCette «proposition russe» vise à convaincre Téhéran d'enrichir son uranium en terre russe afin de répondre aux inquiétudes de certains pays occidentaux qui craignent de voir l'Iran se doter de la bombe atomique. Rien n'indique cependant que Téhéran ait l'intention de renoncer à l'enrichissement sur son propre territoire. «Nous nous sommes mis d'accord sur certains points et les discussions vont se poursuivre à Moscou dans les jours à venir», précisait, ainsi, Kirienko. Sans donner de détails sur ce joint-venture, les deux hommes ont confirmé qu'ils espéraient parvenir à un accord final avant le 6 mars – date à laquelle l'AIEA pourrait décider d'une saisine du dossier iranien au Conseil de sécurité. Le chef de l'organisation russe a insisté sur deux principes fondamentaux, qu'il espère voir l'Iran respecter. «Tout pays, comme l'Iran, a le droit d'utiliser l'énergie atomique à des fins civiles. Lunettes de soleil Ray Ban ClubmasterMais le monde devrait néanmoins disposer des garanties nécessaires selon lesquelles cette énergie n'est pas utilisée à d'autres fins», a-t-il dit.La visite de Kirienko en Iran s'inscrit dans un ballet diplomatique destiné à trouver une issue à la crise du dossier nucléaire iranien. Ce week-end, le numéro deux de l'AIEA, Olli Heinonen, récemment informé du Green Salt Project – un projet secret qui pourrait avoir des objectifs militaires –, était à Téhéran. Quant au vice-ministre chinois des Affaires étrangères, il s'entretenait, hier, avec le président Mahmoud Ahmadinejad.Les Russes, qui jouent un rôle central dans les discussions de dernière minute, ont tout intérêt à résoudre la crise. Un vote de sanctions pourrait, en effet, remettre en cause ses nombreux partenariats économiques avec l'Iran. A commencer par la centrale de Bouchehr – contrat d'un milliard de dollars, où les Russes supervisent, en dépit des grincements de dents américains, la construction de deux réacteurs, destinés, selon eux, à des fins civiles. Lunettes de soleil Ray Ban Aviator Un tour dans les allées de ce site ultraprotégé, au bord du golfe Persique, permet vite de réaliser l'ampleur du projet. On y croise une grappe d'ouvriers iraniens en train de travailler sur le premier réacteur, dôme blanc sorti d'un carré en tôle, à 90% construit. On tombe sur une bande d'ingénieurs russes. Ils sont plus de 2 500 expatriés de Russie à travailler sur la centrale et sont hébergés, avec femmes et enfants, dans des maisons à toit bas, bâties dans l'enceinte de ce vaste campus, à travers lequel ils circulent en bicyclette. Partout, les panneaux d'information sont en deux langues : persan et russe.Lancée à l'époque du chah, en 1974, la construction de la centrale de Bouchehr, supervisée par les Allemands, fut interrompue après la révolution survenue cinq ans plus tard. Après les dégâts causés par la guerre Iran-Irak (1980-1988), les Russes prirent la relève du projet. réplique ray ban pas cherChacun des deux réacteurs est doté d'une capacité de production électrique de 1 000 mégawatts.Mais la fourniture de combustible nucléaire à la centrale, prévue par Moscou, n'a toujours pas commencé. Ce retard pourrait, selon certains, faire partie d'un chantage dans les négociations. Sergueï Kirienko parle de raisons techniques. «Il n'y a aucun obstacle politique à la construction de réacteurs en Iran», insistait-il hier, parlant même d'un projet de construction de deux nouveaux réacteurs.PÉNIBLE «anniversaire» : il y a quatre ans, le 23 février 2002, Ingrid Betancourt, candidate à l'élection présidentielle colombienne, était enlevée par les Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie), une guérilla marxiste qui prospère en contrôlant la culture de la feuille de coca, dans le sud de la Colombie.Les Farc détiennent près de 1 400 otages, du simple paysan dont on a confisqué deux de ses quatre vaches, aux riches citadins.

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