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started by moncle rpas on 29 Dec 14
  • moncle rpas
     
    Il tonne : « Notre pays doit s'organiser pour détecter et empêcher d'agir des actionnaires qui, comme chez Thomé-Genot ou chez Metaleurop dans le Nord, ne sont pas des entrepreneurs mais des voyous. » Devant les fondeurs des Ateliers de Janve, à Bogny-sur-Meuse, Nicolas Sarkozy monte d'un cran dans le même registre. Il se pose en « défenseur du capitalisme familial et patrimonial » face au « capitalisme des fonds de pension dont on ne connaît ni la nationalité, ni les intentions ». « Je ne veux pas que la France ne soit accueillante qu'aux sans-papiers, ajoute-t-il. Je veux que ceux qui créent des richesses viennent investir. » Face à un fraiseur qui gagne 1 200 euros au bout de trente-six ans de métier, c'est au discours de la gauche qu'il s'en prend : « Quand on gagne 1 200 euros, le problème, c'est pas comment on part en week-end ! Qu'est-ce que vous en ferez, des 35 heures, le jour où il n'y aura plus une seule usine dans les Ardennes ! ? ». En 2002, Le Front national a recueilli près de 23 % des voix dans le département. sac longchamp pas cher
    LES ARDENNES, vues par Nicolas Sarkozy : « 41 % pour les extrêmes au premier tour de l'élection de 2002 et 62 % pour le non à la Constitution européenne en 2005. » Autant dire une terre de mission pour le favori de la droite, qui s'est lancé hier à la poursuite de cet électorat perdu. Avec des accents guerriers et bien peu libéraux contre « la capitulation sociale à laquelle la mondialisation et l'Europe servent d'alibis depuis vingt-cinq ans ». « Je suis venu essayer de comprendre pourquoi des gens sont tellement en colère qu'ils votent pour Le Pen ou pour l'extrême gauche », a expliqué le chantre de la « rupture », au cours d'un meeting à Charleville-Mézières, un mot qu'il n'a prononcé qu'une fois. En revanche, il a rendu un hommage inédit au président de la République, en affirmant : « Grâce au quinquennat de Jacques Chirac, nous avons cessé de capituler face à la délinquance, au déclin industriel, à l'immigration non maîtrisée, à l'endettement public. »Si le candidat UMP veut aller « plus fort et plus loin », c'est désormais au nom de la « réconciliation » de « la France qui gagne et de la France qui souffre ». Ses détracteurs, à gauche comme dans son propre camp, l'accusent de « diviser » ? À grand renfort de « je veux », il a promis « une politique qui n'oppose ni les territoires ni les Français, qui ne joue pas les jeunes contre les vieux, les services contre l'industrie, la nouvelle économie contre l'ancienne, mais qui prenne la France comme un tout, qui utilise toutes les ressources, toutes les forces, toutes les énergies, qui ne laisse rien perdre, qui n'abandonne pas une seule personne, pas un seul territoire ». doudoune ralph lauren pas cher La promotion par le mériteSes recettes pour y parvenir n'ont pas changé. Il prône toujours la promotion par le mérite et l'enrichissement par le travail. Dans une région où les « travailleurs pauvres » sont plus nombreux que « les pauvres qu'il faut aider parce qu'ils n'ont pas de travail », Nicolas Sarkozy est revenu sur l'exonération des impôts et des charges sociales sur les heures supplémentaires, qu'il a qualifiée de « révolution économique ». Mais il s'est surtout déchaîné contre « les patrons-voyous », ceux qui ne respectent pas « le fondement éthique de l'économie de marché », contre l'« Europe devenue une machine » devant laquelle « une capitulation serait suicidaire », contre la « surévaluation de l'euro », « une erreur qui tire les salaires vers le bas et pénalise nos industries ».À la fin du meeting, Henri Guaino, principale « plume » du candidat, se montrait satisfait : treize ans après avoir soufflé à Philippe Séguin le fameux « Munich social », il a introduit le thème de la « capitulation sociale » dans le discours de Sarkozy. La plupart de ses idées ont été reprises, notamment la promotion au rang de « droits opposables devant les tribunaux » du droit au logement, à l'hébergement, à la scolarisation des enfants handicapés à l'égalité homme-femme. Et la liste n'est peut-être pas close. doudoune lacoste pas cher
    .. Le Front de la participation, le parti réformateur proche de l'ancien président Khatami, ne cache pas sa joie. « Les premiers résultats des élections indiquent que la liste de M. Ahmadinejad a subi une défaite décisive », s'enthousiasme le parti. Si le président Ahmadinejad s'est fait remarquer à l'étranger pour ses diatribes anti-Israël, c'est avant tout sa politique populiste que semble avoir sanctionnée la population. En augmentant subitement les salaires et en lançant des prêts à taux réduits, il a fait exploser le chômage et l'inflation.

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