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started by moncle rpas on 30 Dec 14
  • moncle rpas
     
    A la différence des oeuvres de charité menées au nom de l'islam, organismes et donateurs privés - qu'ils soient laïcs ou chrétiens - n'accompagnaient pas leur aide de message de haine. Mais ils ne la condamnaient pas non plus systématiquement.On estime la population juive globale actuelle aux alentours de 15 millions. Elle doit même dépasser les 20 millions. En termes de fertilité, leur croissance démographique est comparable à celle des pays développés, tout comme l'est la pyramide des âges.Les musulmans, eux sont entre 1,2 et 1,5 milliard et ils sont en moyenne très jeunes. Le consentement (certes tacite) de la grande majorité des musulmans au thème de la conférence négationniste en est l'élément le plus choquant. sac longchamp pas cher
    Je ne peux pas m'empêcher de me demander : Pourquoi personne, à Riyad, au Caire, à Jakarta, à Lahore, n'a organisé de contre-conférence condamnant Ahmanidejad ? Pourquoi les 57 membres de l'Organisation de la conférence islamique ont-ils gardé le silence ?La réponse pourrait être aussi simple qu'horrible : pendant des générations, les dirigeants de ces pays prétendument musulmans ont bourré le crâne de leurs populations avec une propagande similaire à celle qu'ont connu, en leur temps, les Allemands : à savoir que les Juifs étaient la vermine et devaient être traités comme telle. En Europe, la conclusion logique de cette propagande fut la Shoah. Si Ahmadinejad continue sur sa lancée, il n'aura pas besoin de pousser beaucoup les musulmans complaisants.Peut-être devrions-nous faire le compte des organisations caritatives musulmanes tissées d'antisémitisme. Leurs collègues occidentaux et chrétiens oeuvrant dans le tiers-monde devraient endosser la responsabilité d'informer les musulmans - tout comme les non-musulmans - sur l'Holocauste.LE CHEF de la diplomatie allemande, Frank-Walter Steinmeier, a rejeté hier l'idée d'un « mini traité » européen, défendue par Nicolas Sarkozy, pour sortir l'Union de l'impasse institutionnelle dans laquelle l'a plongé le double non français et néerlandais à la Constitution en 2005. « Un mini traité ne sera pas suffisant pour les dix-huit pays qui ont déjà ratifié la Constitution », a expliqué Steinmeier à des journalistes français, après avoir présenté à la presse bruxelloise le programme de la présidence allemande de l'UE, qui débute le 1er janvier. doudoune ralph lauren pas cher L'Allemagne compte relancer le processus institutionnel au cours du prochain semestre. « Nous tenterons de présenter, en fin de présidence, une esquisse de texte ou de projet de Constitution, dont nous serons sûrs qu'il pourra s'appliquer », a indiqué le ministre allemand, qui est membre du Parti social-démocrate (SPD). Dans le bras de fer qui s'annonce entre les pays du oui et les pays du non, l'Allemagne n'est pas un médiateur neutre. Elle le reconnaît volontiers. « Je peux comprendre que ceux qui ont ratifié le texte ne veulent pas se reposer la question », dit Frank-Walter Steinmeier. Malgré les mises en garde de Paris, Berlin reste favorable à l'adoption d'un « traité constitutionnel », voire d'une « loi fondamentale », qui soit le plus proche possible du projet de Constitution de 2005.Méthodique, la future présidence a demandé aux capitales européennes de désigner « un chargé d'affaires par gouvernement » pour relancer la machine institutionnelle. doudoune lacoste pas cher
    Dans le programme allemand, le résultat des élections en France constitue une inconnue majeure. « Aucun des deux candidats actuels ne peut être considéré comme un partenaire définitif », admet le ministre allemand, « mais cela ne nous empêchera pas de dialoguer, ni de tenter de les convaincre ».« Symbole de la paralysie »Son propos vise tant Nicolas Sarkozy, qui a dit vouloir faire voter un « mini traité » par le Parlement, que Ségolène Royal, qui espère renégocier un traité « plus social », en engageant un virage à gauche peu susceptible de plaire aux pays les plus libéraux.Consciente des obstacles, l'Allemagne se dit prête à relever le défi. « Les pays qui ont refusé le projet de Constitution semblent prêts à négocier », se félicite Steinmeier. « L'absence de Constitution est devenue le symbole de la paralysie en Europe : il faut trouver une solution », ajoute le ministre allemand, regrettant que la « crédibilité » de l'Union et « son travail au quotidien » aient été affectés par le rejet du traité. « Le besoin d'une réforme institutionnelle est urgent », insiste-t-il.

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