Bush a déjà engagé la marche arrière. Une semaine avant l'essai, le 3 octobre, l'émissaire américain Christopher Hill assurait que les États-Unis ne «s'accommoderaient pas d'une Corée du Nord nucléaire » . Dès le coup de tonnerre du 9 octobre, George W. Bush réduisait la voilure, en faisant savoir qu'il ne tolérerait jamais aucune prolifération nord-coréenne. Depuis lors, les États-Unis ont voté, avec la Chine, la résolution du 14 octobre qui sanctionne Pyongyang mais qui exclut, explicitement, toute réplique militaire. Depuis le début du dernier cycle de hausse amorcé à partir de 1997, les prix de la construction et les loyers se sont fait la courte échelle pour atteindre des sommets. Au deuxième trimestre de cette année, le mètre carré de logement à Paris s'est vendu en moyenne 5 500 euros, selon la Chambre des notaires, alors que le loyer était de l'ordre de 20 euros par mois pour la même surface. besace longchamps pliage A ces niveaux apparaissent des signes d'essoufflement. Le pouvoir d'achat des ménages ne permet guère d'envisager la poursuite du mouvement de hausse des loyers, d'autant que les charges et les impôts affectés au logement continuent de progresser allègrement, notamment en raison de l'envolée des prix de l'énergie. De son côté, l'acquisition ne peut se faire que par un allongement de la durée des prêts, déjà particulièrement longue. Dès lors, la question se pose plus que jamais. Faut-il louer en attendant un éventuel retournement du marché, annoncé par certains prévisionnistes, ou convient-il d'acheter malgré tout un bien, dès lors que l'on peut encore acquitter des mensualités qui sont du même ordre qu'un loyer, avec la conviction de détenir un capital ?Une réponse peut être apportée par la comparaison entre les taux d'intérêt et les rendements de l'immobilier. Malgré le relèvement du loyer de l'argent par la Banque centrale européenne, l'impact sur les taux des prêts demeure limité. On peut emprunter à vingt ans autour de 4% l'an, soit le rendement que procure aujourd'hui un loyer moyen, selon les calculs des notaires. besace longchamps pliage pas cher Le rapprochement des deux chiffres n'est pas le fruit du hasard, mais montre bien que le marché pousse à l'égalisation entre les deux modes d'action. La difficulté tient à la prévision de l'évolution future, dont personne ne détient vraiment les clés. Compte tenu des niveaux atteints actuellement, on peut formuler l'hypothèse que les prix de vente et les loyers connaîtront un fort infléchissement, sinon une baisse. Dans ce cas, le facteur temps joue un rôle essentiel. Un propriétaire qui revend un appartement dont la valeur a peu progressé ou stagné au bout de cinq à sept ans, ce qui constitue la durée moyenne d'un placement aujourd'hui, risque d'être perdant : aux intérêts de 4% l'an de son emprunt, il aura en effet dû ajouter les impôts, les travaux d'entretien et les charges. A l'inverse, le locataire versera une somme qui sera faiblement revalorisée, avec la perspective d'acquérir dans quelques années un logement dans des conditions plus favorables. Le propriétaire reprend l'avantage à partir de dix ans, car le bien immobilier se sera suffisamment valorisé alors que le locataire aura le sentiment d'avoir agi à fonds perdus. besace longchamps pas cher Depuis le début du dernier cycle de hausse amorcé à partir de 1997, les prix de la construction et les loyers se sont fait la courte échelle pour atteindre des sommets. Au deuxième trimestre de cette année, le mètre carré de logement à Paris s'est vendu en moyenne 5 500 euros, selon la Chambre des notaires, alors que le loyer était de l'ordre de 20 euros par mois pour la même surface. A ces niveaux apparaissent des signes d'essoufflement. Le pouvoir d'achat des ménages ne permet guère d'envisager la poursuite du mouvement de hausse des loyers, d'autant que les charges et les impôts affectés au logement continuent de progresser allègrement, notamment en raison de l'envolée des prix de l'énergie. De son côté, l'acquisition ne peut se faire que par un allongement de la durée des prêts, déjà particulièrement longue. Dès lors, la question se pose plus que jamais. Faut-il louer en attendant un éventuel retournement du marché, annoncé par certains prévisionnistes, ou convient-il d'acheter malgré tout un bien, dès lors que l'on peut encore acquitter des mensualités qui sont du même ordre qu'un loyer, avec la conviction de détenir un capital ?Une réponse peut être apportée par la comparaison entre les taux d'intérêt et les rendements de l'immobilier.
A ces niveaux apparaissent des signes d'essoufflement. Le pouvoir d'achat des ménages ne permet guère d'envisager la poursuite du mouvement de hausse des loyers, d'autant que les charges et les impôts affectés au logement continuent de progresser allègrement, notamment en raison de l'envolée des prix de l'énergie. De son côté, l'acquisition ne peut se faire que par un allongement de la durée des prêts, déjà particulièrement longue. Dès lors, la question se pose plus que jamais. Faut-il louer en attendant un éventuel retournement du marché, annoncé par certains prévisionnistes, ou convient-il d'acheter malgré tout un bien, dès lors que l'on peut encore acquitter des mensualités qui sont du même ordre qu'un loyer, avec la conviction de détenir un capital ?Une réponse peut être apportée par la comparaison entre les taux d'intérêt et les rendements de l'immobilier. Malgré le relèvement du loyer de l'argent par la Banque centrale européenne, l'impact sur les taux des prêts demeure limité. On peut emprunter à vingt ans autour de 4% l'an, soit le rendement que procure aujourd'hui un loyer moyen, selon les calculs des notaires. besace longchamps pliage pas cher Le rapprochement des deux chiffres n'est pas le fruit du hasard, mais montre bien que le marché pousse à l'égalisation entre les deux modes d'action. La difficulté tient à la prévision de l'évolution future, dont personne ne détient vraiment les clés. Compte tenu des niveaux atteints actuellement, on peut formuler l'hypothèse que les prix de vente et les loyers connaîtront un fort infléchissement, sinon une baisse. Dans ce cas, le facteur temps joue un rôle essentiel. Un propriétaire qui revend un appartement dont la valeur a peu progressé ou stagné au bout de cinq à sept ans, ce qui constitue la durée moyenne d'un placement aujourd'hui, risque d'être perdant : aux intérêts de 4% l'an de son emprunt, il aura en effet dû ajouter les impôts, les travaux d'entretien et les charges. A l'inverse, le locataire versera une somme qui sera faiblement revalorisée, avec la perspective d'acquérir dans quelques années un logement dans des conditions plus favorables. Le propriétaire reprend l'avantage à partir de dix ans, car le bien immobilier se sera suffisamment valorisé alors que le locataire aura le sentiment d'avoir agi à fonds perdus. besace longchamps pas cher
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