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started by moncle rpas on 06 May 14
  • moncle rpas
     
    New Delhi continue à accuser les islamistes pakistanais d'être derrière de nombreux attentats commis sur son sol. Et beaucoup d'achats de matériels très perfectionnés, comme des radars ou des systèmes de reconnaissance, effectués en Israël, visent à renforcer le contrôle sur la frontière pakistanaise. L'apaisement sur ce dossier est lié au point précédent, la Chine tempérant désormais son soutien à son protégé pakistanais, notamment sur la question du Cachemire.Persuadée de s'imposer comme une des grandes puissances du XXIe siècle, l'Inde ne veut pas se laisser enfermer dans un cadre trop «sud asiatique». «Elle développe le concept du «voisinage étendu», avec une zone courant du Moyen-Orient à l'Asie du Sud-Est, en passant par le nord de l'océan Indien et l'Asie centrale», commente Jean-Luc Racine. Sur le plan stratégique, c'est un peu comme si les Indiens ambitionnaient d'être une Chine, «version gentille». Un pays que l'on prend au sérieux, sans qu'il soit perçu comme menaçant. lunettes ray ban pas cher wayfarer
    Auteur de Inde, la démocratie par la caste, Fayard, 2005.DES EXPERTS français sillonnent les campagnes thaïlandaises, mangent des vers à soie, des grenouilles écartelées, étudient la composition des sols et discutent avec les paysans des savoir-faire ancestraux. Tout cela pour gagner la bagarre de l'appellation d'origine à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Pour «promouvoir la notion de terroir, maintenir un tissu rural riche et dynamique et oeuvrer pour une mondialisation qui respecte les identités locales», explique Charles Perraud, producteur de sel de Guérande mandaté par le ministère français de l'Agriculture pour une quatrième mission en Thaïlande.Trois produits déjà enregistrésIntroduit par la coopération française en 2000, le concept d'Indication géographique (un équivalent de notre appellation d'origine contrôlée) a été «adopté aisément par les Thaïlandais, attachés aux produits de leurs villages et à leur alimentation traditionnelle», remarque Pajchima Tanasanti, du département de la propriété intellectuelle au ministère thaïlandais du Commerce. «Cela nous parle plus que la notion de propriété intellectuelle» développée à l'OMC et dont relèvent ces appellations d'Indication géographique.La Thaïlande dispose depuis avril 2004 d'une loi protégeant les Indications géographiques. acheter lunettes ray ban pas cher Trois produits ont déjà été enregistrés : le pamplemousse de Nakonchaisee, à la chair juteuse et ferme et à la saveur aigre-douce, le tamarin de Petchabun, dont la pulpe est appréciée par les ménagères thaïlandaises, et le riz Hom Mali de Surin, dont le parfum de jasmin est réputé ici. «340 produits sont dans les tiroirs», explique Pajchima Tanasanti. Rallier la Thaïlande à la philosophie européenne des origines contrôlées relevait pourtant de la gageure. Bangkok ne veut froisser ni les Etats-Unis, ni ses partenaires du groupe de Cairns des principaux pays exportateurs de produits agricoles, qui estiment que ces appellations ne sont pas des signes de qualité légitimes et leur préfèrent le système des marques.Mais voilà, le riz est un sujet sensible en Thaïlande. En 1998, Bangkok découvre que RiceTec, un semencier texan, a réussi à modifier le patrimoine génétique du riz au parfum de jasmin et à l'adapter aux conditions climatiques américaines. Ce riz aromatique compte pour 25% des exportations thaïlandaises de riz et rapporte 2,5 millions de dollars par an au pays. lunettes de vue ray ban pas cher
    «Le gouvernement thaïlandais a obtenu que RiceTec ne dépose pas de brevet. Mais cette affaire nous a servi de leçon. Elle nous a obligés à mettre à jour un arsenal juridique pour protéger notre patrimoine agricole», explique Pajchima Tanasanti. La Thaïlande, royaume de la contrefaçon, découvre la nécessité de lutter contre les imitations.Le président Mahmoud Ahmadinejad laisse planer la menace d'un possible retrait de l'Iran du traité de non-prolifération.LES IRANIENS, en visite à Moscou, risquent d'être difficiles à convaincre. A J 15 de la prochaine réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Téhéran continue à insister sur son droit d'enrichir l'uranium sur son propre territoire, au risque de se voir imposer des sanctions.

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