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trench burberry beige pas cher femme occasion

started by masquebf on 10 Nov 14
  • masquebf
    #1 masquebf on 10 Nov 14
     
    Ils resteront à leur domicile d'Amiens, de Beauvais, de Compiègne, de Laon. Petites villes gaies et lumineuses, écrasées de soleil la majeure partie de l'année, et à l'hiver tout doux. Si l'air s'était réchauffé plus tôt, Nicolas Gogol, Friedrich Nietzsche, Graham Greene, Anthony Burgess et Lawrence Durrell n'auraient pas été obligés de s'exiler dans le sud de l'Europe. Ils auraient pu profiter du soleil et de la lumière dans leur chère Russie, Allemagne, Angleterre. Parce qu'il n'y a pas que nous qui profitons de l'effet de serre, il y a aussi les Lettons, les Lituaniens, les Danois. Chez eux, en hiver, la nuit tombera toujours plus tôt que chez nous, mais au moins elle sera chaude, moite, amoureuse.Le Sud, c'est mieux que le Nord, sinon on irait en vacances dans le Nord. trench burberry
    Quand le Nord sera devenu le Sud, on arrêtera de passer notre temps sur les routes pour aller dans le Sud, puisqu'on y sera. Paris-Plage durera toute l'année. Les policiers seront en short et les policières en jupe, comme tous les hommes et toutes les femmes. On ne boira plus d'alcool, parce qu'on n'aura plus besoin ni de se réchauffer, ni de chasser la mélancolie du froid.Il se peut évidemment qu'au terme de ces années de bonheur, la planète disparaisse. Ce sera notre juste châtiment pour ne pas nous être aimés les uns les autres, comme ordre nous en fut autrefois donné.Le Figaro Magazine - Si vous étiez élu président de la République en 2007, que feriez-vous ?Maurice Lévy - Bien que je ne m'imagine pas une seconde dans cette position, j'aurais cinq priorités qui me tiennent à coeur. trench burberry beige pas cher La première décision que je prendrais dès le lendemain de l'élection serait d'inviter tous les grands acteurs économiques et sociaux à ce que j'appellerais les «Assises de l'économie et du social». Durant une grande semaine, je réunirais les principales instances syndicales et patronales pour tenter de construire avec elles un nouveau contrat social permettant à la France de retrouver sa compétitivité. Il est urgent de définir les bases d'un consensus afin de remettre la France en selle. Dans les classements internationaux, notre pays a dégringolé en 25e ou 30e position en termes de compétitivité. Compte tenu de notre position dans l'économie mondiale, nous devrions nous situer parmi les quatre ou cinq premiers !Deuxième décision, là encore urgente : j'engagerais une réflexion sur l'adaptation de la législation sociale et économique française à la nouvelle donne de l'économie mondialisée. Nous sommes aujourd'hui confrontés à des concurrents européens et mondiaux qui ne jouent pas avec les mêmes armes que nous. Il faut que nos entreprises, comme l'ensemble des acteurs économiques, puissent se mettre en position de gagner des parts de marché et de fonctionner selon des systèmes comparables à ceux de nos concurrents. trench burberry femme occasion
    C'est l'une des conditions pour retenir les emplois en France et, surtout, pour en créer davantage.Jugez-vous nécessaire de moderniser le code du travail ?Oui, je crois sincèrement que celui-ci doit être assoupli. Il a été conçu pour une autre époque, une autre économie, fondée sur le taylorisme et la pénibilité du travail. Il faut réfléchir à des organisations différentes des horaires de travail, à de nouveaux modes de contrats de travail, sans qu'il y en ait forcément un seul... Le code du travail français est trop lourd, beaucoup trop épais.

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