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started by stlwdwl1 on 15 Aug 14
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    Peu de choses ont filtré sur l'entretien de Condoleezza Rice avec Vladimir Poutine. «Le président et la secrétaire d'Etat ont procédé à un échange de vues sur des questions portant sur la Corée du Nord et la non-prolifération nucléaire», indique, laconique, le Kremlin. Pyongyang dénonce la «provocation» américaine Refusant de croire à un tournant après une médiation chinoise, Condoleezza Rice a exprimé des doutes sur la volonté du régime nord-coréen de s'en tenir à un seul essai nucléaire, comme l'a rapporté l'agence de presse sud-coréenne Yonhap. «Les Coréens du Nord voudraient voir une escalade des tensions plutôt qu'une mise en œuvre effective de la résolution qui pourrait avoir un réel effet sur leurs activités», a-t-elle déclaré. Elle a également dit douter que Pyongyang ait l'intention de revenir aux pourparlers «à six» sur son programme nucléaire, bloqués depuis près d'un an. Kim Kye-gwan, principal négociateur nord-coréen sur ce dossier, avait affirmé à la télévision américaine que son pays souhaitait reprendre ces pourparlers réunissant, outre les deux Corées, les Etats-Unis, le Japon, la Russie et la Chine. En réaction aux propos de la secrétaire d'Etat américaine, Pyongyang a affirmé samedi que les manœuvres militaires régulières des Etats-Unis et de la Corée du Sud dans la région constituaient une menace. sweat femme ralph lauren
    «Il s'agit là d'une grave provocation qui précipite la péninsule au bord de la guerre», a averti samedi l'agence de presse officielle nord-coréenne KCNA. LES Vingt-Cinq se sont efforcés hier de faire bonne figure devant le président russe Poutine, invité vedette d'un dîner organisé à Lahti par la présidence finlandaise de l'UE. Pris au dépourvu après le meurtre de la journaliste, Anna Politkovskaïa, inquiets par le brutal virage protectionniste emprunté par Moscou dans la gestion de l'énergie, les chefs d'État et de gouvernement ont adressé au maître du Kremlin, un message de « convergence » mêlant un appel au respect des droits de l'homme et un autre, plus appuyé, relatif aux engagements économiques de la Russie, premier fournisseur de gaz et de pétrole de l'Union. « Tous nos sujets de préoccupations » ont été abordés, a déclaré le président de la commission, José Manuel Barroso. « Les choses ont été dites, mais sans esprit de confrontation » précisait un diplomate.De l'Allemagne et de la France - plutôt indulgentes -, à la Pologne et aux pays Baltes - très sévères -, chaque État membre a toujours affirmé des exigences disparates à l'égard du maître du Kremlin. Cette fois, tous se sont employés, à gommer les excès de langage. sweat homme ralph lauren La veille, le premier ministre finlandais Ari Vanhanen avait déjà largement déminé le terrain en recevant le président polonais Lech Kaczynski, qui se plaint traditionnellement du manque de solidarité de l'UE face à la Russie, sur les questions énergétiques. Hier, ce dernier s'est finalement félicité que l'Europe adopte une « position commune » face à Moscou.Plus encore que des dérives autoritaires et des pressions néoimpérialistes exercées par Moscou auprès de ses voisins, Varsovie s'inquiète du développement de Nordstream, ce gazoduc germano-russe aujourd'hui en construction et qui transitera sous la mer Baltique en esquivant le territoire polonais. « Nous devons trouver l'équilibre entre nos valeurs communes et nos intérêts », a insisté, pour sa part, le chef du gouvernement estonien Andrus Ansip.Parler « avec Poutine » Plutôt que « de Poutine »L'Allemagne, en revanche, qui s'est vu promettre par Poutine une augmentation annuelle de 40 à 55 milliards de mètres cubes d'or gris, après l'ouverture du champ gazier sibérien de Chtokman, est la moins prête à sacrifier ses intérêts énergétiques sur l'autel des droits de l'homme. Hier, la chancelière allemande Angela Merkel a appelé ses partenaires à ne pas prendre la Russie à rebrousse-poil, mais à la « guider » vers la voie démocratique et de l'économie de marché. « Je suis heureuse que l'on parle avec monsieur Poutine plutôt que de monsieur Poutine », a-t-elle ajouté. sweat ralph lauren
    Pour sa part, Jacques Chirac, a expliqué que « la Russie et l'UE ont chacune des intérêts légitimes », qu'on devait chercher à « harmoniser ».Sans doute, cette union de façade ne tiendra-t-elle que le temps d'un sommet. Moscou n'a pas renoncé à exploiter les divisions de ses voisins et continue de souffler le chaud et le froid sur le gaz. Hier matin, au moment même où les Vingt-Cinq débarquaient en Finlande, le gouvernement russe réitérait ses menaces d'un arrêt du projet géant d'extraction de gaz et de pétrole à Sakhaline, piloté par Shell. Moscou reproche aux entreprises impliquées dans l'opération de « violer la législation environnementale ». Pour de nombreux observateurs, cette offensive s'apparente à une tentative de reprise en main des activités d'exploration au profit du géant monopolitique russe Gazprom. À côté de Shell, la position de l'italien Eni est également menacée, ce qui inquiète à la fois Londres, La Haye et l'Italie.

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