Si ce n'est peut-être des précisions sur les moyens de les financer.Bien structuré et de lecture facile, ce programme rappelle les 36 réformes effectuées en cinq ans, des retraites à la sécurité en passant par la transformation de l'Italie en un Etat fédéral. Il réaffirme les valeurs défendues par la droite : liberté, identité, sécurité, défense des racines judéo-chrétiennes, protection de la famille, solidarité. Il propose, entre autres, de porter les retraites de 550 à 800 euros par mois. D'instaurer un quotient familial, une prime à la natalité et un forfait fiscal de 5% pour les jeunes créant une nouvelle activité, de réduire les effectifs de l'administration, de créer un million d'emplois.Climat passionnéLes écarts se sont resserrés ces dernières semaines dans les intentions de vote. Au point de faire craindre un pays ingouvernable au lendemain du scrutin, avec une Chambre des députés de gauche et un Sénat de droite. Survetement ED Hardy Enfant Ce qui imposerait de retourner aux urnes après l'élection du chef de l'Etat qui doit intervenir en juin.Le climat passionné de cette campagne incite à toutes les exagérations. Romano Prodi accuse ainsi Silvio Berlusconi d'avoir «tenté d'effacer soixante ans d'histoire italienne en démantelant la Constitution». Même les magistrats sont sortis de leur devoir de réserve. Pour le président de la Cour de cassation, Nicola Marvulli, «Berlusconi délire quand il accuse toute la magistrature de politisation». Réponse de l'intéressé : «Je considérerai conclue mon expérience politique, quand tous les Italiens pourront avoir la certitude d'être jugés par un magistrat impartial.»Richard Heuzé L'explosion des stupéfiants Population de l'Indonésie : 230 millions d'habitantsNombre de consommateurs de drogues : 9 millions. Survetement ED Hardy Enfant Pas Cher Consommateurs de drogues injectables (héroïne et dérivées locales) : 800 000Drogue la plus consommée en milieu urbain : ecstasyDrogue la plus consommée en milieu rural : marijuanaDrogues produites en Indonésie : ecstasy, shabu-shabu (cristal métamphétamine) et marijuanaSource: Participation humanitaire (ONG indonésienne).Démarrer Les partis tentent d'arrêter la violence Irak. Alors que les violences continuaient, une attaque au mortier sur le sud de Bagdad faisant au moins 15 morts et 45 blessés hier, les partis politiques irakiens dont le Front de la concorde (sunnite) ont tenté de serrer les rangs ce week-end à l'initiative du gouvernement, afin d'arrêter la violence entre musulmans sunnites et chiites qui a fait 119 morts depuis l'attentat perpétré mercredi contre le mausolée chiite de Samarra. L'Iran dénonce un complot occidental contre les chiites LA RÉPUBLIQUE islamique d'Iran, composée à 90% de chiites, a immédiatement réagi à l'attentat contre la mosquée de Samarra en jetant la responsabilité sur «les sionistes et les occupants». Mais pour de nombreux analystes, Téhéran ferait mieux de s'inquiéter d'un risque de débordement du conflit interconfessionnel irakien au lieu de s'enfermer, une fois de plus, dans la théorie du complot occidental. Hier, des milliers d'Iraniens sont descendus dans la rue, à l'issue de la prière du vendredi pour protester contre la destruction de ce lieu sacré des chiites qui héberge les mausolées de deux imams en scandant des cris de mort à l'Amérique et à Israël et en demandant le retrait d'Irak des forces d'occupation. «Les mausolées seront bientôt reconstruits, mais une tâche de honte restera encrée sur les fronts de l'Amérique, d'Israël et de leurs services de renseignements», insistait, plus tôt, l'ayatollah Kashani, dans son prêche à l'université de Téhéran. Survetement ED Hardy Femme Pour Aladdin Boroujerdi, le chef de la commission parlementaire en charge de la politique étrangère et de la sécurité nationale, «les Américains et leurs alliés ont planifié ce complot dans le but de prolonger leur présence en Irak». Ses propos font écho à ceux du guide religieux, l'ayatollah Ali Khamenei, qui portait l'accusation, mercredi, sur «les ennemis de l'islam». Dans la foulée, il décrétait une semaine de deuil national. De son côté, le président conservateur Mahmoud Ahmadinejad proposait que l'Iran aide à reconstruire la mosquée de Samarra.Un lieu de pélerinage sacréL'attaque contre les mausolées du dixième et onzième imams chiites Ali al-Hadi et Hassan al-Askari a provoqué une vive émotion chez les musulmans d'Iran. La mosquée au dôme doré est un lieu de pélerinage sacré où, malgré l'insécurité qui règne en Irak, les voisins iraniens continuaient à se rendre ces dernières semaines. Depuis mercredi, le petit écran iranien porte la marque d'un bandeau noir.
Ce qui imposerait de retourner aux urnes après l'élection du chef de l'Etat qui doit intervenir en juin.Le climat passionné de cette campagne incite à toutes les exagérations. Romano Prodi accuse ainsi Silvio Berlusconi d'avoir «tenté d'effacer soixante ans d'histoire italienne en démantelant la Constitution». Même les magistrats sont sortis de leur devoir de réserve. Pour le président de la Cour de cassation, Nicola Marvulli, «Berlusconi délire quand il accuse toute la magistrature de politisation». Réponse de l'intéressé : «Je considérerai conclue mon expérience politique, quand tous les Italiens pourront avoir la certitude d'être jugés par un magistrat impartial.»Richard Heuzé L'explosion des stupéfiants Population de l'Indonésie : 230 millions d'habitantsNombre de consommateurs de drogues : 9 millions. Survetement ED Hardy Enfant Pas Cher Consommateurs de drogues injectables (héroïne et dérivées locales) : 800 000Drogue la plus consommée en milieu urbain : ecstasyDrogue la plus consommée en milieu rural : marijuanaDrogues produites en Indonésie : ecstasy, shabu-shabu (cristal métamphétamine) et marijuanaSource: Participation humanitaire (ONG indonésienne).Démarrer Les partis tentent d'arrêter la violence Irak. Alors que les violences continuaient, une attaque au mortier sur le sud de Bagdad faisant au moins 15 morts et 45 blessés hier, les partis politiques irakiens dont le Front de la concorde (sunnite) ont tenté de serrer les rangs ce week-end à l'initiative du gouvernement, afin d'arrêter la violence entre musulmans sunnites et chiites qui a fait 119 morts depuis l'attentat perpétré mercredi contre le mausolée chiite de Samarra. L'Iran dénonce un complot occidental contre les chiites LA RÉPUBLIQUE islamique d'Iran, composée à 90% de chiites, a immédiatement réagi à l'attentat contre la mosquée de Samarra en jetant la responsabilité sur «les sionistes et les occupants». Mais pour de nombreux analystes, Téhéran ferait mieux de s'inquiéter d'un risque de débordement du conflit interconfessionnel irakien au lieu de s'enfermer, une fois de plus, dans la théorie du complot occidental. Hier, des milliers d'Iraniens sont descendus dans la rue, à l'issue de la prière du vendredi pour protester contre la destruction de ce lieu sacré des chiites qui héberge les mausolées de deux imams en scandant des cris de mort à l'Amérique et à Israël et en demandant le retrait d'Irak des forces d'occupation. «Les mausolées seront bientôt reconstruits, mais une tâche de honte restera encrée sur les fronts de l'Amérique, d'Israël et de leurs services de renseignements», insistait, plus tôt, l'ayatollah Kashani, dans son prêche à l'université de Téhéran. Survetement ED Hardy Femme
Pour Aladdin Boroujerdi, le chef de la commission parlementaire en charge de la politique étrangère et de la sécurité nationale, «les Américains et leurs alliés ont planifié ce complot dans le but de prolonger leur présence en Irak». Ses propos font écho à ceux du guide religieux, l'ayatollah Ali Khamenei, qui portait l'accusation, mercredi, sur «les ennemis de l'islam». Dans la foulée, il décrétait une semaine de deuil national. De son côté, le président conservateur Mahmoud Ahmadinejad proposait que l'Iran aide à reconstruire la mosquée de Samarra.Un lieu de pélerinage sacréL'attaque contre les mausolées du dixième et onzième imams chiites Ali al-Hadi et Hassan al-Askari a provoqué une vive émotion chez les musulmans d'Iran. La mosquée au dôme doré est un lieu de pélerinage sacré où, malgré l'insécurité qui règne en Irak, les voisins iraniens continuaient à se rendre ces dernières semaines. Depuis mercredi, le petit écran iranien porte la marque d'un bandeau noir.
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