Stefanovic, avec la calme assurance d'un politicien qui sait que le vent souffle actuellement pour son parti.Les victimes d'ETA manifestent contre Zapatero DES DIZAINES de milliers de personnes ont défilé, samedi, dans les rues de Madrid pour protester contre l'éventuelle ouverture de négociations entre l'organisation séparatiste basque ETA et le gouvernement de José Luis Zapatero. Les ténors de l'opposition conservatrice du Parti populaire (PP), qui soutenait activement cette marche, ont défilé sous la pluie au milieu d'une foule qui scandait «Zapatero démission !», «Assassins !», en agitant des milliers de drapeaux espagnols. On reconnaissait l'ancien chef du gouvernement José Maria Aznar, rescapé d'un attentat de l'ETA en 1995 lorsqu'il dirigeait l'opposition, l'actuel président du PP, Mariano Rajoy, ou le maire de Madrid, Alberto Ruiz Gallardon.L'Association des victimes du terrorisme (AVT), rejointe par des dizaines d'autres organisations, avait affrété 200 autobus pour cette marche dont la tête de cortège déployait une grande banderole proclamant : «Pour eux, pour tous, en mon nom, non». Survetement YSL Homme Pas Cher Hostile à toute discussion avec l'ETA, l'AVT a exigé comme le PP, une «rectification» de la politique antiterroriste de M. Zapatero, qui a érigé la «pacification» du Pays basque espagnol en priorité de son mandat.En réalité, c'est toute la politique du gouvernement de M. Zapatero qui était visée au cours de cette marche soutenue également par l'Eglise espagnole. Des slogans tels que «non à la loi sur la recherche embryonnaire» ou encore «non au démantèlement de l'Espagne», en référence à la réforme du statut d'autonomie catalan, ont été scandés tout au long de la manifestation. Pas de cessez-le-feu en vueSur les pancartes, on pouvait lire aussi des attaques directes envers le chef du gouvernement comme «Zapataro va rejoindre ton grand-père». Ce dernier est mort fusillé par les franquistes durant la guerre civile. Survetement Adidas Enfant Le président de l'exécutif a lancé, hier, un appel au Parti populaire pour qu'il participe au processus de paix «au nom de la démocratie» et cesse d'utiliser à des fins politique les victimes du terrorisme. M. Zapatero, qui avait annoncé en début du mois «le début de la fin d'ETA» a depuis modéré son optimisme, notamment depuis la publication d'un communiqué de l'organisation basque. Ce texte a en effet placé l'exécutif en porte-à-faux. Il y est question d'inviter les acteurs politiques et sociaux basques à «franchir de nouveaux pas vers la paix», mais le texte ne fait aucune référence au très attendu cessez-le-feu.Bien que l'ETA n'ait plus tué depuis mai 2003, son activité terroriste se poursuit. Les séparatistes basques font régulièrement exploser des bombes de faible charge, causant de nombreux dégâts matériels. Survetement Adidas Enfant Pas Cher Ils poursuivent aussi leur politique d'extorsion financière, dite «collecte de l'impôt révolutionnaire» , appliquée à grande échelle à l'encontre des entrepreneurs basques.Diane Cambon Plusieurs milliers de manifestants ont défilé samedi dans les rues de Bruxelles pour demander la régularisation des sans-papiers et soutenir des propositions de loi appelant à une réforme de la politique d'asile belge. «Non à l'Europe forteresse», pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants.Un ancien de Microsoft promeut des réformes Promotion ou placard doré ? Après six mois passés comme conseiller de Bachar el-Assad, Amr Salem, 47 ans, a été nommé fin janvier ministre des Télécommunications. «Le rythme des réformes ne va pas assez vite», nous disait-il peu avant. Cet ingénieur en informatique avait accepté la proposition du numéro un syrien de venir l'épauler, après un séjour de sept ans au siège de Microsoft à Seattle. Avant lui, son prédécesseur et plusieurs ministres avaient dû démissionner sous les coups de boutoir des partisans du statu quo.
Hostile à toute discussion avec l'ETA, l'AVT a exigé comme le PP, une «rectification» de la politique antiterroriste de M. Zapatero, qui a érigé la «pacification» du Pays basque espagnol en priorité de son mandat.En réalité, c'est toute la politique du gouvernement de M. Zapatero qui était visée au cours de cette marche soutenue également par l'Eglise espagnole. Des slogans tels que «non à la loi sur la recherche embryonnaire» ou encore «non au démantèlement de l'Espagne», en référence à la réforme du statut d'autonomie catalan, ont été scandés tout au long de la manifestation. Pas de cessez-le-feu en vueSur les pancartes, on pouvait lire aussi des attaques directes envers le chef du gouvernement comme «Zapataro va rejoindre ton grand-père». Ce dernier est mort fusillé par les franquistes durant la guerre civile. Survetement Adidas Enfant Le président de l'exécutif a lancé, hier, un appel au Parti populaire pour qu'il participe au processus de paix «au nom de la démocratie» et cesse d'utiliser à des fins politique les victimes du terrorisme. M. Zapatero, qui avait annoncé en début du mois «le début de la fin d'ETA» a depuis modéré son optimisme, notamment depuis la publication d'un communiqué de l'organisation basque. Ce texte a en effet placé l'exécutif en porte-à-faux. Il y est question d'inviter les acteurs politiques et sociaux basques à «franchir de nouveaux pas vers la paix», mais le texte ne fait aucune référence au très attendu cessez-le-feu.Bien que l'ETA n'ait plus tué depuis mai 2003, son activité terroriste se poursuit. Les séparatistes basques font régulièrement exploser des bombes de faible charge, causant de nombreux dégâts matériels. Survetement Adidas Enfant Pas Cher
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