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acheter sac longchamp pliage

started by descendants1 descendants1 on 13 Feb 14
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    Les 15 millions d'acheteurs les plus riches (dont un tiers de Chinois) génèrent à eux seuls 100 milliards d'euros d'achats de produits de luxe, soit en moyenne 100.000 euros par personne, relève l'étude."Il y a dix ans, les Japonais étaient ceux qui dépensaient le plus, ce n'est plus vrai aujourd'hui", souligne Mme D'Arpizio.Elle se dit "frappée" par la vitesse à laquelle beaucoup de Chinois ont changé dans leurs go?ts et se sont sophistiqués, recherchant désormais des produits plus exclusifs.Autre fait marquant, "les jeunes générations sont aujourd'hui moins attachées à la consommation de luxe que ce qu'on pouvait imaginer", note Mme D'Arpizio.L'étude distingue sept profils parmi les "vrais consommateurs de luxe", acheteurs réguliers.D'abord, "les omnivores", avides de marques diverses et "boulimiques", qui sont près de 20 millions. longchamp pas cher sac
    Relativement jeunes (30-40 ans), ils sont ceux qui dépensent en moyenne le plus. On compte beaucoup de jeunes Chinois dans cette catégorie.Achats en ligne pas au niveauAutre profil: "ceux qui ont une opinion", affectionnant telle ou telle marque, en raison de la qualité, de l'histoire des produits.... dont beaucoup de clients européens, américains et des Chinois de Pékin ou Shanghai. longchamp pas cher noir L'étude évoque aussi "les conservateurs", des acheteurs assez "fonctionnels", qui ont plut?t la cinquantaine et sont nombreux dans les marchés matures; "les hédonistes", très éduqués, au fort pouvoir d'achat, qui mixent les grandes et petites marques de luxe; "les investisseurs", amateurs de montres et bijoux notamment, dont beaucoup de baby-boomers et d'acheteurs du Moyen-Orient; "les désillusionnés", qui se détachent des marques, dont un certain nombre aux Etats-Unis, en Europe et surtout au Japon; ou encore "les Wannabe", fashionistas qui aspirent au luxe sans en avoir forcément les moyens.Les plus jeunes (génération Y des 13-33 ans) aimeraient acheter davantage via internet, mais estiment que les marques de luxe ne sont pas au niveau en la matière, souligne Mme D'Arpizio.A ses yeux, l'un des challenges majeurs des groupes de luxe aujourd'hui est de parvenir à fidéliser la clientèle et "dynamiser la relation entre le client et la marque". "La loyauté n'est pas acquise", dit-elle. Kinshasa (AFP) - "J'aime beaucoup les habits des créateurs japonais et autres, mais je préfère m'habiller en papier": comme Cédrick Mbengi, certains sapeurs de Kinshasa font des infidélités aux grands couturiers fran?ais, italiens ou japonnais en lan?ant d'originales créations.Cédrick Mbengi, 23 ans, estime que le papier est un "tissu comme les autres" depuis un rêve en 2004. Sa marque de fabrique: en fin de défilé, il déchire ses vêtements taillés dans le papier rigide servant à emballer poissons, viandes ou arachides. longchamp pas cher hobo
    Et peu importe s'il finit en cale?on. En coton, lui.Le mouvement Sape (Société des ambianceurs et des personnes élégantes) est né dans les années 60 au Congo. Les sapeurs étaient alors - et restent - des dandys, comme l'illustre une nouvelle publicité du brasseur Guinness. En République démocratique du Congo voisine, le style est résolument excentrique.Le concept initial est de défiler avec grandiloquence dans les vêtements, chaussures et accessoires des grands créateurs, vénérés comme des dieux. Un spectacle haut en couleurs et en slogans vantant le talent de Gaultier, Vuitton, Cerruti, Versace, Yamamoto, Miyake, Weston, Dolce&Gabbana.

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