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started by masquebf3 on 28 Feb 15
  • masquebf3
     
    Au fil des mois, les affrontements entre groupes palestiniens, affiliés au Hamas ou au Fatah, sont devenus chroniques et ont pris le dessus sur tout espoir de voir un jour se créer un État palestinien. Pour renverser la tendance, il faudrait bien autre chose que l'annonce d'un scrutin, impossible à organiser sans l'aval d'un Conseil législatif dominé par le Hamas et, surtout, dont personne ne peut être sûr du résultat.En mai dernier, Mahmoud Abbas avait déjà tenté de forcer la main à ses interlocuteurs islamistes en les menaçant d'un référendum pour qu'ils acceptent de former un cabinet d'union nationale, susceptible de rompre le siège économique et politique imposé par la communauté internationale.L'idée, à l'époque, consistait à organiser une ­consultation sur le processus de paix. L'opinion à Gaza et en Cisjordanie étant majoritairement favorable à des négociations avec Israël, Mahmoud Abbas espérait, par ce biais, contourner le refus du Hamas de reconnaître l'État hébreu. Mais le président palestinien, peu soutenu à l'étranger, s'est montré hésitant et s'est laissé manoeuvrer par le Hamas, qui refuse toujours de former un gouvernement d'union remplissant les conditions minimales qui permettraient de briser l'isolement.Il serait naïf d'attendre des islamistes un autre comportement. Chemise Ralph Lauren pas cher
    Soutenus ouvertement par l'Iran, comme le montrent les millions de dollars ramenés de Téhéran par le premier ministre Ismaïl Haniyeh, ils n'ont rien à perdre dans une logique de la confrontation.Le Hamas ne va pas se laisser déposséder du pouvoir, acquis, il y a moins d'un an, dans un scrutin transparent, alors qu'il s'insère dans une stratégie régionale où l'Iran pousse ses pions en Palestine, mais aussi au Liban et en Irak.En fait, une guerre civile larvée agite depuis des années la Palestine. Elle a commencé avec la seconde intifada, en septembre 2000.Depuis, le Fatah est à la remorque des intégristes. L'effondrement du processus d'Oslo et l'offensive israélienne contre l'Autorité palestinienne lui ont fait perdre toute crédibilité et l'ont conduit à se lancer dans une surenchère de violence. La mort de Yasser Arafat, il y a deux ans, a révélé la désorganisation, la corruption et l'absence de toute perspective d'avenir du mouvement laïc. Sac ralph lauren pas cher Après le retrait israélien de Gaza et les élections de janvier 2006, le processus s'est accéléré, encouragé par les sanctions visant l'Autorité palestinienne, qui privent notamment de leurs salaires les services de sécurité affiliés au Fatah.Un peu comme en Irak, avec la dissolution de l'armée de Saddam Hussein, l'attitude occidentale favorise une guerre civile qui ne peut profiter qu'aux islamistes alliés à l'Iran. DIX SEMAINES après avoir défié la planète avec un essai atomique, le régime de Kim Jong-il revient à la table de discussion : les pourparlers à six, boudés treize mois par la Corée du Nord, ont repris à Pékin sans que paraisse réduit le contentieux avec les États-Unis et leurs alliés.Dès le premier contact, le négociateur nord-coréen Kim Kye-gwan a posé des exigences supplémentaires en réclamant la levée des sanctions imposées par l'ONU après le test du 9 octobre, ainsi que la construction d'un réacteur atomique censé pallier la pénurie d'énergie dans son pays.Les tractations, vouées depuis trois ans à la dénucléarisation de la péninsule, n'ont connu jusqu'ici que l'échec, concrétisé par le tir d'une volée de missiles balistiques nord-coréens en juillet, puis par un essai spectaculaire trois mois plus tard. Ni la diplomatie préventive défendue par la Chine, la Corée du Sud et la Russie, ni les sanctions unilatérales poussées par les États-Unis et le Japon n'ont réussi à convaincre le petit Staline de Pyongyang de renoncer à ses ambitions.Atout dissuasifLes pourparlers de Pékin, relancés sans que soit écartée la menace d'un second essai, reprennent au mieux sur un malentendu. Survetement Ralph Lauren pas cher
    D'un côté, les États-Unis et quatre puissances régionales veulent prendre Kim Jong-il au mot et reprendre la discussion là où elle s'était enlisée après septembre 2005 : la promesse écrite de Pyongyang d'abandonner « toutes ses armes nucléaires et tous les programmes nucléaires en cours » en échange d'une assistance économique et de garanties américaines sur sa sécurité.De l'autre, la Corée du Nord et son dictateur n'ont pas de vraie raison de se séparer d'un atout aussi dissuasif. Ce serait d'ailleurs sans précédent. Aucune des huit puissances nucléaires de l'histoire ne l'a jamais fait, une fois passé le cap du premier essai. Pyongyang disposerait d'assez de plutonium pour assembler encore six ou sept engins atomiques, selon les services de renseignement américains et sud-coréens. À défaut de promettre un résultat, la reprise du processus diplomatique lui-même arrange tout le monde. George Bush, dont les succès de politique étrangère sont limités, gagne du temps sur l'abcès nord-coréen.

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