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started by masquebf1 on 10 Nov 14
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    Le typhon a développé des vents pouvant atteindre 150 km/h et provoqué des pluies diluviennes. Dans cette région située sur le flanc du volcan Mayon, les précipitations se sont mêlées aux cendres volcaniques, déclenchant une coulée de boue qui a enseveli jusqu'au toit de nombreuses habitations.Une trentaine de milliers de personnes avaient déjà été évacuées en août des flancs du volcan, en raison de craintes d'éruption. Elles étaient rentrées chez elles en septembre. Ce mois-là, la capitale, Manille, avait été touchée par un autre typhon, qui a fait plus de deux cents morts. EN VISITE à Bucarest jeudi, et à Sofia hier, le ministre français aux Affaires européennes, Catherine Colonna, a annoncé une bonne nouvelle à la Roumanie et à la Bulgarie : l'ouverture du marché du travail français à leurs ressortissants, dès le 1er janvier 2007, jour de l'entrée de ces deux pays dans l'Union européenne ; une ouverture certes « progressive et maîtrisée » mais une ouverture sans délai, alors que la France avait attendu le 1er mai 2006 pour accorder semblable mesure aux travailleurs des dix États, dont la Pologne et ses désormais fameux « plombiers », qui avaient rejoint en 2004 l'UE. À l'époque, seules la Grande-Bretagne, l'Irlande et la Suède n'avaient pas imposé de restrictions aux travailleurs des pays de l'Europe de l'Est. sac longchamps pliage serviette
    Tous les autres avaient souhaité la mise en oeuvre de clauses de sauvegarde. Aujourd'hui, les rôles sont inversés. Quand la Grande-Bretagne se montre frileuse, la France semble soucieuse de se montrer ouverte.«Le choix de la cohérence»Rappelant que « la libre circulation des travailleurs est l'un des principes fondateurs de l'Europe », le ministre délégué aux Affaires européennes a affirmé que la France souhaite, dès le 1er janvier 2007, traiter sur un pied d'égalité les travailleurs bulgares ou roumains et les ressortissants des autres nouveaux États membres. Une « soixantaine de métiers parmi sept secteurs d'activité couvrant des pans très larges de notre économie », tels que le bâtiment, l'hôtellerie, l'agriculture, seront donc ouverts aux travailleurs roumains et bulgares. « C'est le choix de la cohérence », a souligné Catherine Colonna, en évoquant les besoins du marché du travail français. « Il faut que la demande et l'offre se rencontrent de manière progressive et réfléchie », a-t-elle insisté. sac longchamps pliage shopping Ce signe adressé à Sofia et Bucarest se veut un témoignage de « confiance » envers les autorités de deux pays qui ont encore des progrès à accomplir sur le chemin des réformes, comme n'a pas hésité à le rappeler le ministre français, mais qu'il convient d'accueillir « à bras ouverts » parce qu'il est « dans l'intérêt de tous de réussir la réunification de la famille européenne ».L'Italie et la Grèce, destinations privilégiéesEn octobre dernier, le gouvernement de Tony Blair avait fait savoir qu'il veillerait à limiter très sérieusement l'entrée des travailleurs roumains et bulgares sur son sol. Il avait révélé que 400 000 travailleurs en provenance des pays ayant adhéré à l'UE en 2004 étaient arrivés en Grande-Bretagne, soit un nombre largement supérieur aux estimations officielles, qui prévoyaient entre 5 000 et 13 000 nouveaux immigrés par an. Cet afflux avait conduit l'opposition conservatrice mais aussi certains responsables du Parti travailliste à réclamer à l'avenir un moins grand « laxisme », dans la crainte de voir débarquer sur le sol britannique de 60 000 à 140 000 immigrés bulgares et roumains, selon des études gouvernementales. L'annonce britannique avait résonné désagréablement aux oreilles des Bulgares et des Roumains, même si la Grande-Bretagne n'est pas, a priori, le pays où ils souhaitent le plus venir travailler. Depuis la chute du communisme, les Roumains privilégient l'Italie. En 2004, ils étaient 175 000 à y disposer d'un permis de travail, 90 000 avaient choisi la Hongrie, 73 000 l'Allemagne, 60 000 la France. sac longchamps pliage site officiel
    De leur côté, 750 000 Bulgares ont émigré, principalement en Grèce (200 000) en Italie (60 000) et en Espagne (80 000). Ce qui fait dire à un fonctionnaire bulgare, sur le mode de la plaisanterie, que l'UE n'a pas à s'inquiéter d'un afflux de travailleurs bulgares et roumains puisqu'ils sont déjà dans les pays de l'Union !Les propos de Catherine Colonna, prenant le contre-pied de nos voisins britanniques, ne pouvaient que ravir ses hôtes. «Je n'ai pas entendu cette comparaison et si cette comparaison avait été faite, que ce soit moi ou que ce soit l'ambassadeur de France qui était à mes côtés et qui n'a pas entendu ces propos, nous aurions quitté la salle», a expliqué Ségolène Royal, au troisième jour de sa visite au Liban. Lors d'une rencontre vendredi entre Ségolène Royal et 17 députés de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale libanaise, le député du parti chiite pro-syrien, Ali Ammar, a déclaré en langue arabe : «Le nazisme qui a versé notre sang et qui a usurpé notre indépendance et notre souveraineté n'est pas moins mauvais que le nazisme qui a occupé la France». Traduction Ses propos, nichés dans un long exposé, étaient traduits en langue française par deux traductrices, une pour la candidate socialiste et ses conseillers, et une autre pour les journalistes français. Le mot «nazya», prononcé deux fois en langue arabe, a été clairement entendu par les journalistes. Ségolène Royal a commencé par affirmer : «ces propos n'ont pas été tenus», avant de rectifier.

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