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  #1 masquebf3 on 20 Dec 14

   

  Tout récemment, un vaste réseau de 300 hôpitaux et cliniques était démantelé, se faisant rémunérer par les caisses pour des hospitalisations fictives. De faux malades se font rembourser de vraies opérations de chirurgie esthétique grâce aux déclarations frauduleuses de chirurgiens. Révélé par Le Parisien, un trafic de médicaments vers l'étranger - Vietnam et Afrique notamment - a mis en cause plus d'une centaine de praticiens. D'autres cas provoquent une franche rigolade : tel ce toubib qui déclarait 147 consultations par jour. Le deuxième gag, qui en dit long sur le niveau de contrôle, est qu'il le fit pendant trois ans.Côté malades, certaines cartes Vitale en circulation font l'objet d'un véritable jeu de Monopoly : faute de photo, elles se prêtent, s'échangent et même se louent. Dans les hôpitaux, les malades ragaillardis disparaissent dans la nature, inventant une sorte de «grivèlerie hospitalière». longchamp pas cher
  Là encore, ce ne sont pas forcément les plus démunis qui partent sans payer. Le non-paiement des factures atteint... 125 millions d'euros ! Des prescriptions débridées provoquent l'apparition de marchés clandestins, comme celui du Subutex (substitut de l'héroïne). La CMU de son côté fait l'objet de soupçons d'une inflation de fausses déclarations de ressources émaillées de faux documents. Aujourd'hui 4,7 millions d'individus bénéficient de ce régime (dont la dépense est supérieure de 20% à un assuré classique). sac longchamp pliage pas cher Vignettes de médicaments photocopiées à la chaîne, fausses ordonnances, surfacturations diverses, usurpations d'identité : les astuces des fraudeurs sont innombrables. Depuis peu, une Direction de la répression des fraudes a été créée au sein de la Sécurité sociale. Xavier Bertrand a par ailleurs annoncé le 23 octobre la création d'un Comité national contre la fraude sociale.infractions au volant : + 70% en deux ans !3,5 millions d'infractions constatées (dont 155 000 graves), 108 000 blessés, 5 300 morts : la guerre de la route implique tout le monde. Depuis la modification de la loi en 2004 augmentant la répression, le nombre de délits a explosé : de 267 000 en 2003 à 445 000 l'année dernière, la progression est de 70% ! Sur le seul problème de l'alcoolémie, plus de 63 000 chauffards, venus de tous les milieux, ont été condamnés à des peines d'emprisonnement en 2004. 9 000 se sont retrouvés derrière les barreaux. Quant aux délits de fuite, passibles de deux ans de prison, doublés en cas de blessures ou homicides, ils interviennent dans un accident sur quatre. sac longchamps bleu pas cher
  Soit, en 2005, 115 320 faits constatés.Les remarquables résultats de la répression des délits routiers se payent malgré tout par l'émergence de nouvelles délinquances. Celle par exemple des «sans-papiers de la route», population estimée de 3 à 4 millions par certains médias et à 700 000 par le ministère des Transports. Difficile de trancher, mais un indicateur laisse rêveur : le nombre de conducteurs appréhendés sans permis (33 000) ou avec un permis suspendu ou annulé (30 000) a décuplé par rapport à 2002. Ce délit étant passible de prison ferme *, les autorités, embarrassées, risquent de se trouver face à un contentieux de masse. Autre effet inattendu, la naissance d'un marché illégal des points. Le principe ? Faire porter le chapeau d'une infraction à un tiers, soit à un grand-parent ou à un conjoint, par exemple, soit à une personne en la rétribuant.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Tout récemment, un vaste réseau de 300 hôpitaux et cliniques était démantelé, se faisant rémunérer par les caisses pour des hospitalisations fictives. De faux malades se font rembourser de vraies opérations de chirurgie esthétique grâce aux déclarations frauduleuses de chirurgiens. Révélé par Le Parisien, un trafic de médicaments vers l'étranger - Vietnam et Afrique notamment - a mis en cause plus d'une centaine de praticiens. D'autres cas provoquent une franche rigolade : tel ce toubib qui déclarait 147 consultations par jour. Le deuxième gag, qui en dit long sur le niveau de contrôle, est qu'il le fit pendant trois ans.Côté malades, certaines cartes Vitale en circulation font l'objet d'un véritable jeu de Monopoly : faute de photo, elles se prêtent, s'échangent et même se louent. Dans les hôpitaux, les malades ragaillardis disparaissent dans la nature, inventant une sorte de «grivèlerie hospitalière». <a title="longchamp pas cher" rel="nofollow" href="http://www.jjr-architectures.fr/">longchamp pas cher</a> <br /> Là encore, ce ne sont pas forcément les plus démunis qui partent sans payer. Le non-paiement des factures atteint... 125 millions d'euros ! Des prescriptions débridées provoquent l'apparition de marchés clandestins, comme celui du Subutex (substitut de l'héroïne). La CMU de son côté fait l'objet de soupçons d'une inflation de fausses déclarations de ressources émaillées de faux documents. Aujourd'hui 4,7 millions d'individus bénéficient de ce régime (dont la dépense est supérieure de 20% à un assuré classique). <a title="sac longchamp pliage pas cher" rel="nofollow" href="http://www.jjr-architectures.fr/">sac longchamp pliage pas cher</a> Vignettes de médicaments photocopiées à la chaîne, fausses ordonnances, surfacturations diverses, usurpations d'identité : les astuces des fraudeurs sont innombrables. Depuis peu, une Direction de la répression des fraudes a été créée au sein de la Sécurité sociale. Xavier Bertrand a par ailleurs annoncé le 23 octobre la création d'un Comité national contre la fraude sociale.infractions au volant : + 70% en deux ans !3,5 millions d'infractions constatées (dont 155 000 graves), 108 000 blessés, 5 300 morts : la guerre de la route implique tout le monde. Depuis la modification de la loi en 2004 augmentant la répression, le nombre de délits a explosé : de 267 000 en 2003 à 445 000 l'année dernière, la progression est de 70% ! Sur le seul problème de l'alcoolémie, plus de 63 000 chauffards, venus de tous les milieux, ont été condamnés à des peines d'emprisonnement en 2004. 9 000 se sont retrouvés derrière les barreaux. Quant aux délits de fuite, passibles de deux ans de prison, doublés en cas de blessures ou homicides, ils interviennent dans un accident sur quatre. <a title="sac longchamps bleu pas cher" rel="nofollow" href="http://www.jjr-architectures.fr/">sac longchamps bleu pas cher</a> <br /> Soit, en 2005, 115 320 faits constatés.Les remarquables résultats de la répression des délits routiers se payent malgré tout par l'émergence de nouvelles délinquances. Celle par exemple des «sans-papiers de la route», population estimée de 3 à 4 millions par certains médias et à 700 000 par le ministère des Transports. Difficile de trancher, mais un indicateur laisse rêveur : le nombre de conducteurs appréhendés sans permis (33 000) ou avec un permis suspendu ou annulé (30 000) a décuplé par rapport à 2002. Ce délit étant passible de prison ferme *, les autorités, embarrassées, risquent de se trouver face à un contentieux de masse. Autre effet inattendu, la naissance d'un marché illégal des points. Le principe ? Faire porter le chapeau d'une infraction à un tiers, soit à un grand-parent ou à un conjoint, par exemple, soit à une personne en la rétribuant.</div>

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