sac longchamp pliage pas cher La - 0 views

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  #1 masquebf1 on 18 Dec 14

   

  «Je m'ennuyais. Alors j'ai décidé de changer de crémerie. C'est aussi simple que cela.» Il a alors 23 ans... Mais on ne quitte pas les Stones aussi facilement. longchamp pas cher
  Et comme en un pacte faustien, l'homme doit désormais payer pour toutes ces années de succès. Les années suivantes, le manager hier flamboyant est un has been qui a tout perdu. Le Figaro Magazine - En mars 2005, vous avez pris les commandes de PPR. Le groupe a-t-il changé depuis ?François-Henri Pinault - Oui, je le crois. Nous avons pris des décisions importantes et mis en oeuvre avec succès le pari, initié en 2000, de positionner PPR à la fois sur le luxe et la distribution. Certains y ont vu un choix risqué. La croissance de nos résultats, et l'amélioration des ratios financiers de PPR, en particulier la diminution de son endettement, montrent que nous avons su prendre les bonnes décisions. sac longchamp pliage pas cher La rumeur dit que vous envisageriez de vendre la Fnac...Je ne reviendrai pas sur cette rumeur, mais je tiens à rappeler que depuis 1995, année de son entrée dans le groupe, la Fnac a toujours livré au moins 5% de croissance annuelle. C'est loin d'être négligeable, alors que la consommation des ménages ne progresse, elle, que d'environ 2 à 2,5% par an. La Fnac possède en outre un réel potentiel de développement à l'échelle européenne, ce qui n'était pas, à mes yeux, le cas du Printemps. En cédant ce grand magasin récemment, nous avons aussi voulu tirer parti du niveau élevé des prix de l'immobilier à Paris. sac longchamps bleu pas cher
  On vous prête l'intention de renforcer le groupe PPR dans le luxe, en procédant à de nouvelles acquisitions, notamment de marques italiennes. Cette perspective est-elle envisageable sans de nouvelles cessions ?Pour moi, le développement de PPR passe davantage par la valorisation du potentiel de nos marques que par des opérations de croissance externe. Cependant, compte tenu de l'amélioration de nos résultats financiers, nous aurions les moyens de procéder à de nouvelles acquisitions sans toucher au périmètre actuel du groupe. Toutefois, face à telle ou telle opportunité, en France comme à l'étranger, je resterai très serein. Par ailleurs, s'il est vrai que le luxe offre une rentabilité très importante, plus de deux fois supérieure à celle de la distribution, je souhaite préserver un juste équilibre entre nos activités de «mass market», qui positionnent le groupe sur des marchés matures et solides, et le luxe, qui s'apparente à une activité dite de «niches». C'est un marché à la fois très rentable et très volatil, qui implique une part de risque. Chaque nouvelle collection est un pari, de même que l'embauche d'un nouveau designer.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">«Je m'ennuyais. Alors j'ai décidé de changer de crémerie. C'est aussi simple que cela.» Il a alors 23 ans... Mais on ne quitte pas les Stones aussi facilement. <a href="http://www.jjr-architectures.fr/" rel="nofollow" title="longchamp pas cher">longchamp pas cher</a> <br /> Et comme en un pacte faustien, l'homme doit désormais payer pour toutes ces années de succès. Les années suivantes, le manager hier flamboyant est un has been qui a tout perdu. Le Figaro Magazine - En mars 2005, vous avez pris les commandes de PPR. Le groupe a-t-il changé depuis ?François-Henri Pinault - Oui, je le crois. Nous avons pris des décisions importantes et mis en oeuvre avec succès le pari, initié en 2000, de positionner PPR à la fois sur le luxe et la distribution. Certains y ont vu un choix risqué. La croissance de nos résultats, et l'amélioration des ratios financiers de PPR, en particulier la diminution de son endettement, montrent que nous avons su prendre les bonnes décisions. <a href="http://www.jjr-architectures.fr/" rel="nofollow" title="sac longchamp pliage pas cher">sac longchamp pliage pas cher</a> La rumeur dit que vous envisageriez de vendre la Fnac...Je ne reviendrai pas sur cette rumeur, mais je tiens à rappeler que depuis 1995, année de son entrée dans le groupe, la Fnac a toujours livré au moins 5% de croissance annuelle. C'est loin d'être négligeable, alors que la consommation des ménages ne progresse, elle, que d'environ 2 à 2,5% par an. La Fnac possède en outre un réel potentiel de développement à l'échelle européenne, ce qui n'était pas, à mes yeux, le cas du Printemps. En cédant ce grand magasin récemment, nous avons aussi voulu tirer parti du niveau élevé des prix de l'immobilier à Paris. <a href="http://www.jjr-architectures.fr/" rel="nofollow" title="sac longchamps bleu pas cher">sac longchamps bleu pas cher</a> <br /> On vous prête l'intention de renforcer le groupe PPR dans le luxe, en procédant à de nouvelles acquisitions, notamment de marques italiennes. Cette perspective est-elle envisageable sans de nouvelles cessions ?Pour moi, le développement de PPR passe davantage par la valorisation du potentiel de nos marques que par des opérations de croissance externe. Cependant, compte tenu de l'amélioration de nos résultats financiers, nous aurions les moyens de procéder à de nouvelles acquisitions sans toucher au périmètre actuel du groupe. Toutefois, face à telle ou telle opportunité, en France comme à l'étranger, je resterai très serein. Par ailleurs, s'il est vrai que le luxe offre une rentabilité très importante, plus de deux fois supérieure à celle de la distribution, je souhaite préserver un juste équilibre entre nos activités de «mass market», qui positionnent le groupe sur des marchés matures et solides, et le luxe, qui s'apparente à une activité dite de «niches». C'est un marché à la fois très rentable et très volatil, qui implique une part de risque. Chaque nouvelle collection est un pari, de même que l'embauche d'un nouveau designer.</div>

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