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started by masquebf on 05 Aug 14
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#1 masquebf on 05 Aug 14«Oui, c'est beaucoup de sacrifices, concède-t-il sans même évoquer sa cécité. Pour entrer à HEC, j'ai travaillé raisonnablement sans m'enfermer ni souffrir énormément. J'ai bien survécu à ma préparation et ça valait le coup. Etre ici, c'est pour moi l'opportunité d'une réussite et l'occasion de rencontrer des gens passionnants.»Fier ? «Non, je dirais plus simplement que je suis content.» Axel restera quatre ans sur le campus de Jouy-en-Josas, y compris son année de stage en entreprise. Pour la suite? «Je suis attiré par la stratégie d'entreprise. Les stages et les cours me permettront de préciser mon choix.» Ce fils d'un officier de marine, qui avoue «ne pas avoir beaucoup voyagé», souhaite «se rattraper» et «voir» ailleurs comment se passe l'intégration des handicapés dans le monde de l'entreprise parce que «c'est important de faire avancer les choses dans ce domaine». En France ?«On tient de plus en plus compte de notre différence, observe Axel. Il y a chez nous beaucoup de gens de bonne volonté qui ne savent pas comment prendre ni résoudre le problème des handicapés. L'accueil, en France, n'est pas au point : il y a,sac longchamp couleur bordeaux d'une part, de vrais problèmes d'accessibilité pour les personnes à mobilité réduite et, d'autre part, une peur d'ouvrir l'entreprise au handicapé par crainte de ne pas pouvoir en faire assez pour lui. C'est un tort et c'est dommage, car nous sommes capables d'être parfaitement autonomes.»Chaque jour est pour lui un vrai défi. Même si la plupart des professeurs disposent d'un outil informatique pour lui communiquer leurs cours et acceptent de lui envoyer toute la documentation nécessaire en amont, même si Axel dispose d'une plage tactile spéciale qu'il peut brancher sur un ordinateur pour écrire ou lire en braille, le jeune homme regrette la complexité d'accès à la partie officielle des concours, qui n'est pas adaptée aux handicapés. Il dit pourtant : «Je suis opposé à l'idée de quotas aux examens.«Un projet de mariage incestueux pour faire avancer la loi.» L'information transmise par l'AFP était suffisamment insolite pour déclencher la curiosité des radios nationales et prêter parole à Arnaud Leroux, trublion de l'affaire et jeune Quimpérois de 29 ans. C'est donc devant une flopée de journalistes que l'homme a retiré les documents de l'état civil nécessaires à son mariage en mairie de Quimper. Une alliance contestée puisque la future épouse n'est autre que sa soeur de sang dont il est séparé depuis son plus jeune âge. Arnaud, adopté à 6 mois - par adoption plénière - décide à 19 ans de retrouver ses parents biologiques.sac longchamp pas cher Dès lors, il veut reprendre son identité d'origine, d'autant plus qu'il dit avoir tissé des liens fraternels avec sa «nouvelle» soeur. Mais «la législation nie l'existence légale de la famille biologique», clame-t-il. De fait, son acte de naissance présenté à la mairie de Quimper, en vue de son mariage, stipule qu'il est le fils de ses parents adoptifs sans mentionner le nom de sa famille biologique. L'article 355 du code civil précise en effet : «Tout enfant ayant fait l'objet d'une adoption plénière dit que la filiation nouvelle de l'enfant se substitue à sa filiation de sang.» Et c'est là que le bât blesse.sac longchamp pliage D'où la procédure symbolique de mariage et l'adjuration à modifier la loi.Charles-Henri d'Elloy, directeur de cabinet du sénateur-maire de Quimper, répond à la requête de l'agitateur par un autre article de loi : «L'enfant adopté cesse d'appartenir à sa famille par le sang, sous réserve de prohibitions au mariage visées aux articles 161 à 164 du même code civil.» Et d'ajouter que l'homme est déjà connu des services de la Mairie pour moult requêtes qualifiées d'«un peu farfelues». Charles-Henri d'Elloy donne pourtant raison à Arnaud Leroux sur un point précis. La possibilité, pour un enfant adopté, de retrouver le nom de ses parents biologiques : «Pourquoi ne pourrait-il pas ? Dans la mesure où les deux familles sont d'accord ?»Affaire à suivre...
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