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masquebf3

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Sac longchamp Broderie Série Bulles Cabas M

started by masquebf3 on 06 Aug 14
  • masquebf3
    #1 masquebf3 on 06 Aug 14
     
    Les mentalités des candidats ont évolué, en particulier chez les jeunes. «Le rapport à l'immobilier n'est plus le même que pour leurs aînés», affirme Bernard Cadeau, président d'Orpi, le premier réseau d'agences immobilières. «On n'achète plus pour la vie un bien que l'on transmettra à ses héritiers. L'aspect patrimonial est devenu secondaire. Les jeunes consomment aujourd'hui de l'immobilier comme d'autres biens durables. Ils savent qu'ils n'iront jamais jusqu'au bout de leur crédit.» Ils empruntent sur vingt, vingt-cinq, voire trente ans, alors que la rotation des prêts évolue entre cinq et sept ans. Sac longchamp Broderie Série
    Cela les inquiète d'autant moins qu'ils accèdent à la propriété à une époque où l'on peut toujours espérer jusqu'ici une plus-value au moment de la revente. Ce qui compte pour eux, c'est de ne pas mettre en péril leur solvabilité. Cela suppose que l'on maîtrise l'évolution des prix, même si c'est par certains artifices : on rogne sur les surfaces des logements de 1 à 2 m2 par an, on allonge la durée des crédits pour ne pas accroître le montant des mensualités et on s'éloigne des centres-villes où les terrains sont moins chers. Moyennant quoi la clientèle reste présente. Il convient aussi d'attirer les investisseurs que la baisse des rendements pourrait inciter à se tourner vers d'autres activités plus rentables grâce à la reprise de la croissance. En acceptant par exemple de ne pas répercuter totalement la hausse des matières premières et de l'énergie par une réduction de certaines marges. «La voie la plus efficace serait de jouer sur la variable du foncier», selon Bernard Cadeau, qui rappelle que 4% seulement du territoire français sont construits. Sac longchamp Bulles Cela suppose une coopération de tous, Etat, municipalités, collectivités et entreprises détentrices de terrains, pour se défaire de leur patrimoine dans des conditions qui favorisent l'accès à l'immobilier.Il ne faut pas se contenter d'appâter le chaland en lui faisant miroiter une réduction d'impôt. «On a conçu des produits immobiliers autour d'un simple avantage fiscal, sans se préoccuper de la situation locale environnante», rappelle Bernard Cadeau, ce qui conduit parfois à l'opposé du résultat escompté, avec des immeubles neufs qui restent vides de locataires au grand dam des propriétaires qui espéraient une diminution de leurs impôts. En clair, il est urgent d'organiser une vaste concertation de tous les acteurs qui participent à la politique du logement. Car la demande est là, pour longtemps. Au-delà des interrogations concernant l'évolution des prix à court terme, il existe une certitude : l'immobilier demeure attractif, à condition de faire preuve de discernement, car il est toujours temps d'investir dans la pierre.On croit savoir ce que fait Cathy Chotard. Sac longchamp Cabas M
    On a une idée. Et l'on a tort. Dans son atelier de poche, situé au dernier étage d'un hôtel particulier du vieux Montpellier, la dame ne crée pas seulement des bagues, des colliers, des boucles d'oreille. Plus proche d'un Derain, auteur anticonformiste de «sculptures portables», que d'un bijoutier créateur ayant pignon sur rue, elle développe une approche conceptuelle du bijou et vit son art comme un mode d'expression à part entière. Les «nids» d'artistes sont bavards qui témoignent de la façon dont ils exercent leur métier. Bouterolles en buis, boulet de ciseleur, plateau de brindilles de bois, outils miniaturisés, inventés ou détournés pour s'adapter à des techniques personnelles..

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