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  #1 stlwdwl1 on 15 Dec 14

   

  Les baleines franches australes se rassemblent de juin à décembre au large de la péninsule de Valdes, en Argentine, pour s'accoupler et mettre bas. Or, cette zone est également peuplée de goélands dominicains, des oiseaux opportunistes qui se nourrissent notamment de poissons. Sauf que depuis quelques temps, ces derniers ont ajouté un nouveau mets à leur menu : la viande de baleine. Des baleines lacérées En effet, ils se sont mis à lacérer le dos des baleines lorsqu'elles remontent à la surface pour respirer. Les premiers cas ont été observés en 1972 et sont longtemps restés rare, mais de nouvelles études en 2008 ont montré que les trois-quarts des baleines étaient balafrées par les goélands. Pire, 80% des attaques visaient des mères et leurs petits. La population de ces oiseaux a connu une véritable explosion et ils sont à présent nombreux à arracher de longs lambeaux de chairs sur le dos des cétacés. sac lancel bb
  Toute la péninsule est ainsi concernée. Les baleines passant le quart de leur journée à fuir les goélands, les chercheurs craignent que cela les empêche de se nourrir et de se reposer. Poussé par l'importance du tourisme d'observation des baleines et par conscience écologique, le gouvernement local a décidé de réagir. Des campagnes d'abattage de goélands ont (...) Cette espèce sera clairement menacée d'extinction d'ici 10-15 ans. sac lancel bb pas cher .. Il gambade, alerte, près de sa mère broutant tranquillement de la paille: Shango, un rhinocéros blanc mâle, est né le 1er décembre au zoo d'Amnéville (Moselle), un «signe d'espoir» pour la survie de cette espèce rarissime. «Chaque naissance d'un rhinocéros blanc est un signe d'espoir pour l'espèce car d'ici 10-15 ans, elle sera clairement menacée d'extinction», a déclaré jeudi à l'AFP Marion Cabrol, la responsable pédagogique du zoo d'Amnéville.Shango, qui pèse déjà une quarantaine de kilos, est le premier rhinocéros à naître au zoo d'Amnéville, qui travaillait depuis six ans sur un programme de reproduction spécifique. Il est né au bout de 17 mois de gestation, de l'union naturelle d'un couple de rhinocéros blancs du zoo d'Amnéville, dits «du Sud» car originaires d'Afrique australe. Il reste environ 20. lancel pas cher
  000 spécimens de cette sous-espèce en milieu naturel ou semi-naturel, principalement en Afrique du Sud. Vingt rhinocéros blancs du Sud Mais, cette année, plus d'un millier d'entre eux, un record, ont été abattus dans le pays par des braconniers pour leur corne, très prisée dans la pharmacopée asiatique, notamment au Vietnam et en Chine. L'autre sous-espèce des rhinocéros blancs, celle du Nord, est quant à elle déjà quasi éteinte: le décès en octobre au Kenya de Suni, l'un des derniers mâles fertiles de cette branche, lui a probablement donné le coup de grâce. Les parcs zoologiques jouent ainsi un rôle important pour conserver l'espèce. Cependant, la reproduction naturelle des rhinocéros en captivité est généralement compliquée et l'insémination artificielle des femelles est «mal maîtrisée», en raison notamment d'un «suivi hormonal plus difficile que chez les éléphants», selon David Bilger, responsable des éléphants et rhinocéros du zoo d'Amnéville.Dans son supplément « Science & médecine » daté du 17 septembre 2014, Le Monde a publié une tribune signée par un collectif de personnalités scientifiques prestigieuses analysant la multiplication des cas de fraudes dans le domaine scientifique. Après avoir évoqué le cas récent ayant éclaboussé l'institut Riken, au Japon, et la célèbre revue Nature qui avait publié les résultats, les auteurs signalent, à juste titre, que les manquements à l'intégrité scientifique, souvent moins spectaculaires que les cas de fraudes avérées, sont courants dans le monde de la recherche.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Les baleines franches australes se rassemblent de juin à décembre au large de la péninsule de Valdes, en Argentine, pour s'accoupler et mettre bas. Or, cette zone est également peuplée de goélands dominicains, des oiseaux opportunistes qui se nourrissent notamment de poissons. Sauf que depuis quelques temps, ces derniers ont ajouté un nouveau mets à leur menu : la viande de baleine. Des baleines lacérées En effet, ils se sont mis à lacérer le dos des baleines lorsqu'elles remontent à la surface pour respirer. Les premiers cas ont été observés en 1972 et sont longtemps restés rare, mais de nouvelles études en 2008 ont montré que les trois-quarts des baleines étaient balafrées par les goélands. Pire, 80% des attaques visaient des mères et leurs petits. La population de ces oiseaux a connu une véritable explosion et ils sont à présent nombreux à arracher de longs lambeaux de chairs sur le dos des cétacés. <a href="http://www.pharmaciedebreteuil.fr/sac-lancel-pas-cher/" rel="nofollow" title="sac lancel bb">sac lancel bb</a> <br /> Toute la péninsule est ainsi concernée. Les baleines passant le quart de leur journée à fuir les goélands, les chercheurs craignent que cela les empêche de se nourrir et de se reposer. Poussé par l'importance du tourisme d'observation des baleines et par conscience écologique, le gouvernement local a décidé de réagir. Des campagnes d'abattage de goélands ont (...) Cette espèce sera clairement menacée d'extinction d'ici 10-15 ans. <a href="http://www.pharmaciedebreteuil.fr/sac-lancel-pas-cher/" rel="nofollow" title="sac lancel bb pas cher">sac lancel bb pas cher</a> .. Il gambade, alerte, près de sa mère broutant tranquillement de la paille: Shango, un rhinocéros blanc mâle, est né le 1er décembre au zoo d'Amnéville (Moselle), un «signe d'espoir» pour la survie de cette espèce rarissime. «Chaque naissance d'un rhinocéros blanc est un signe d'espoir pour l'espèce car d'ici 10-15 ans, elle sera clairement menacée d'extinction», a déclaré jeudi à l'AFP Marion Cabrol, la responsable pédagogique du zoo d'Amnéville.Shango, qui pèse déjà une quarantaine de kilos, est le premier rhinocéros à naître au zoo d'Amnéville, qui travaillait depuis six ans sur un programme de reproduction spécifique. Il est né au bout de 17 mois de gestation, de l'union naturelle d'un couple de rhinocéros blancs du zoo d'Amnéville, dits «du Sud» car originaires d'Afrique australe. Il reste environ 20. <a href="http://www.pharmaciedebreteuil.fr/sac-lancel-pas-cher/" rel="nofollow" title="lancel pas cher">lancel pas cher</a> <br /> 000 spécimens de cette sous-espèce en milieu naturel ou semi-naturel, principalement en Afrique du Sud. Vingt rhinocéros blancs du Sud Mais, cette année, plus d'un millier d'entre eux, un record, ont été abattus dans le pays par des braconniers pour leur corne, très prisée dans la pharmacopée asiatique, notamment au Vietnam et en Chine. L'autre sous-espèce des rhinocéros blancs, celle du Nord, est quant à elle déjà quasi éteinte: le décès en octobre au Kenya de Suni, l'un des derniers mâles fertiles de cette branche, lui a probablement donné le coup de grâce. Les parcs zoologiques jouent ainsi un rôle important pour conserver l'espèce. Cependant, la reproduction naturelle des rhinocéros en captivité est généralement compliquée et l'insémination artificielle des femelles est «mal maîtrisée», en raison notamment d'un «suivi hormonal plus difficile que chez les éléphants», selon David Bilger, responsable des éléphants et rhinocéros du zoo d'Amnéville.Dans son supplément « Science & médecine » daté du 17 septembre 2014, Le Monde a publié une tribune signée par un collectif de personnalités scientifiques prestigieuses analysant la multiplication des cas de fraudes dans le domaine scientifique. Après avoir évoqué le cas récent ayant éclaboussé l'institut Riken, au Japon, et la célèbre revue Nature qui avait publié les résultats, les auteurs signalent, à juste titre, que les manquements à l'intégrité scientifique, souvent moins spectaculaires que les cas de fraudes avérées, sont courants dans le monde de la recherche.</div>

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