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    Autre moment fort de ce 117e vol de navette, c'est la première fois que la Nasa procède à un tir de nuit, après l'accident de Columbia, le 1er février 2003.Depuis cette tragédie, qui avait coûté la vie aux sept astronautes, tous les lancements ont eu lieu de jour afin de pouvoir détecter, à l'aide de caméras, d'éventuels débris de mousse isolante ou de glace provenant du réservoir central de la navette. La chute d'un de ces objets juste après le décollage avait endommagé la protection thermique d'une des ailes de Columbia, provoquant sa désintégration lors de sa rentrée dans l'atmosphère.Le retour de Discovery est prévu lundi 18 décembre avec, à son bord, le spationaute allemand Thomas Reiter qui aura séjourné six mois à bord de l'ISS. LES DÉPUTÉS UMP sont soulagés que Nicolas Sarkozy, entré en campagne depuis une semaine, ait su adopter le « ton juste ». « Son annonce de candidature dans la presse quotidienne régionale, qui totalise dix-huit millions de lecteurs, a été une très bonne initiative », souligne Bernard Deflesselles (Bouches-du-Rhône).Tous les parlementaires, y compris les villepinistes, ont jugé « très bonne » sa prestation télévisée, jeudi dernier, dans « À vous de juger » sur France 2. faux sac hermes pas cher
    « Il est plus présidentiable que jamais », affirment Alain Joyandet (Haute-Saône) et Emmanuel Hamelin (Rhône). « Nicolas a fait preuve d'une grande sérénité. Il a une hauteur de vue qui a impressionné les électeurs », témoigne Pierre Méhaignerie, le secrétaire général de l'UMP. « Il a été naturel, avec ses mots, sans jamais éluder une seule question pendant trois heures d'antenne », se félicite Dominique Paillé (Deux-Sèvres). « Nicolas a montré qu'il connaissait parfaitement ses dossiers, et qu'il s'intéressait de près à la vie quotidienne des gens », note François-Michel Gonnot (Oise).Les parlementaire UMP sont d'autant plus « radieux » de ce début de campagne réussie que Ségolène Royal « est en plein état de grâce alors que Nicolas commence tout juste sa campagne », explique Nadine Morano (Meurthe-et-Moselle).Selon un sondage Ipsos pour Le Point à paraître aujourd'hui, qui a été réalisé après l'annonce de candidature de Nicolas Sarkozy, le présidentiable favori de l'UMP l'emporterait d'ailleurs avec 51 % des voix, contre 49 % à son adversaire socialiste. sac hermes pas cher Selon un sondage du même institut, en novembre, les deux candidats étaient au coude-à-coude avec 50 % d'intentions de vote chacun. « C'est bien la preuve que Nicolas Sarkozy a raison de se placer sur le terrain des idées de fond, pas sur les questions de personne », relève Bernard Accoyer. « Nous avons d'un côté une candidate de l'image, qui n'a pas grand-chose de concret à défendre, et de l'autre, un candidat qui a une vision de la société », poursuit le président du groupe UMP à l'Assemblée.Les élus UMP jugent que le numéro deux du gouvernement a eu raison de « ne pas attaquer Ségolène Royal » lors de son émission sur France 2. « Pas de polémique stérile. Il doit montrer qu'il est au-dessus de la mêlée », estime Pierre Lellouche (Paris). « Il faut laisser s'accumuler la perception des faiblesses de Mme Royal », ironise Jean-Jacques Descamps (Indre-et-Loire). hermes birkin pas cher
    « À mon avis, elle se défera elle-même au cours de la campagne », diagnostique Jacques Myard (Yvelines).« Accepter d'être seulement candidat à la candidature » Même s'ils reconnaissent que Nicolas Sarkozy a fait « un bon début », les députés villepinistes considèrent que le jeu est encore très ouvert. « Il a un défi très difficile à relever. Les trois forums de l'UMP doivent être entièrement libres sur le fond. Nicolas Sarkozy doit accepter d'être seulement candidat à la candidature », insiste Hervé Mariton (Drôme). Son collègue Guy Geoffroy (Seine-et-Marne) fait la distinction entre « les sarkozystes militants, qui lui sont acquis d'avance » et « les indécis qui, eux, considèrent que rien n'est joué ».De son côté, Georges Tron craint que ces forums soient totalement « ficelés » et souligne son désaccord avec Nicolas Sarkozy sur certaines propositions, comme la suppression de la carte scolaire (« en banlieue, ce serait irréalisable », selon le député de l'Essonne).

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