Skip to main content

Home/ Digital Ethnography at Kansas State University/ Sac de voyage longchamp Pliage pas cher 000
masquebf

Sac de voyage longchamp Pliage pas cher 000 - 0 views

Sac de voyage longchamp Boxford pas cher Pliage

started by masquebf on 15 Nov 14
  • masquebf
     
    Le «gène du centenaire» n'existe pas Etude - Une étude censée découvrir des secrets génétiques de la longévité et portant sur les plus grands centenaires au monde a permis d'affirmer que le «gène du centenaire» n'existe pas...Une étude publiée dans la revue américaine PLOS 1 indique que le séquençage du génome d'une vingtaine de grands centenaires n'a pas permis de trouver de variations génétiques spécifiques liées à une extrême longévité. En d'autres termes, rien ne sert d'avoir «de bons gènes» pour devenir centenaire.Il y a à l'heure actuelle 74 grands centenaires en vie recensés sur la planète. Tous ont plus de 110 ans et parmi ces personnes, les plus vieilles de l'humanité, 22 vivent aux Etats-Unis. Sac de voyage longchamp Boxford pas cher
    Les auteurs de cette recherche menée par Hinco Gierman de l'Université Stanford en Californie ont effectué le séquençage complet du génome de 17 de ces grands centenaires pour tenter de découvrir des secrets génétiques d'une aussi longue longévité.Vers une compréhension de la longévité exceptionnelleMais à partir de ce petit échantillon, ils n'ont pas trouvé de variations génétiques rares produisant des protéines qui pourraient expliquer leur longévité. Ils ont toutefois trouvé chez un de ces grands centenaires une mutation génétique liée à une pathologie cardiaque qui dans ce cas n'a eu que peu, voire aucun effet sur sa santé.>> A lire ici Au Cachemire, le bon air de la montagne fait des centenaires par dizainesMême si ces travaux génétiques n'ont pas permis d'avancer dans la compréhension des mécanismes biologiques de la longévité exceptionnelle, les auteurs ont rendu public le séquençage de ces génomes pour de futures recherches.400.000 centenaires américains en 2050La chute du taux de natalité et la forte augmentation de l'espérance de vie font que la population américaine vieillit rapidement. Selon le Bureau du recensement, un Américain sur cinq aura plus de 65 ans d'ici 2050, et au moins 400. Sac de voyage longchamp Pliage pas cher 000 seront (...)Fabriquer de la peau humaine par impression 3D bientôt possible Produire des tissus humains sera bientôt possible grâce à une technique d'impression biologique en 3D par laser développée par des chercheurs français, avec des applications en cosmétique et en chirurgie, notamment dans le domaine des greffes.Fabien Guillemot, de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), vient de créer avec un associé une société spécialisée dans la fabrication de tissus par bio-impression, Poietis, à Pessac, près de Bordeaux.Les premières bases ont été jetées il y a 25 ans par un scientifique américain, Joseph Klebe, qui utilisait une simple imprimante à jet d'encre et une protéine présente dans le liquide extracellulaire, la fibronectine.Plusieurs projets de recherche ont suivi en Europe, aux Etats-Unis et au Japon pour limiter le rejet des implants par le corps humain, dont celui dirigé par Fabien Guillemot. Sac de voyage longchamp Pliage
    Ce dernier travaillait sur le traitement laser des bio-matériaux pour faciliter leur intégration dans le corps quand il a découvert un nouveau champ d'expérimentation en abandonnant la méthode soustractive, qui consiste à enlever de la matière, au profit d'une technique additive, qui consiste à l'empiler."Progressivement, on s'est aperçu qu'il serait pertinent d'aller plus loin que le dépôt de principes actifs pour favoriser l'attachement des cellules, en travaillant sur le dépôt des cellules elles-mêmes", précise le chercheur bordelais.Le projet s'est développé avec l'apport d'autres laboratoires. Objectif : trouver la bonne méthode permettant de d'empiler de façon ordonnée, à l'aide d'un laser, des cellules vivantes contenues dans du liquide.Depuis 2010, il est entré dans une phase de développement des applications de la bio-impression.RÉVOLUTIONNER LES GREFFES"On s'est intéressé aux tissus osseux et, plus récemment, à la peau et à la cornée, les deux tissus où il y a le plus de besoins" explique Fabien Guillemot."Ce sont des tissus relativement fins qui se prêtent assez bien à la bio-impression, contrairement aux tissus osseux demandeurs de plus grandes quantités de matière bio-imprimée, ce qu'on n'est pas capable de faire aujourd'hui.

To Top

Start a New Topic » « Back to the Digital Ethnography at Kansas State University group