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Sac de voyage Longchamp Pliage LM Et - 0 views

Sac de voyage Longchamp Pliage XL L Report

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    Finalement, sa recherche l'aura mené vers des artistes tels que les frères Le Nain, Jean-Baptiste Greuze ou l'Italien Giacomo Ceruti, et jusqu'à la photographie contemporaine, puisque chez les amis de Jacquou, on retrouve les visages des enfants des rues captés par l'Espagnol Sébastien Salgado.Pour les décors, Boutonnat s'est appuyé sur le talent de Christian Marti, un architecte décorateur formé au théâtre, qui s'est illustré au cinéma avec de grands succès comme Germinal ou Le Hussard sur le toit. Sur les conseils du réalisateur, lui non plus n'a pas hésité à s'éloigner de l'art du XIXe. «Le but n'était pas de reconstituer le décor de l'époque avec une fidélité extrême, explique-t-il. Mais nous l'avons bien intégré afin d'être ensuite plus libres d'imaginer des choses.»Des lumières de qualité, travaillées à la façon des tableaux de Rembrandt pour les intérieurs. Dans la chaumière de Jacquou, à l'église, au tribunal ou au château, Boutonnat s'est attelé à ce que l'on ressente «l'importance du temps, la patine, l'usure des choses». Sac de voyage Longchamp Pliage XL
    Dans un décor artificiel à 80%, le travail sur chaque meuble, chaque objet a nécessité une certaine minutie. Ainsi, chez le comte de Nansac, Christian Marti s'est-il «amusé» à créer un blason, qu'il a reporté non seulement sur une plaque au-dessus de la cheminée de la salle à manger, mais aussi dans chaque assiette, sur chaque fauteuil. «On ne peut faire l'impasse sur rien, avoue-t-il. D'une part parce qu'on ne sait jamais à quel moment la caméra se rapprochera d'un objet, et d'autre part parce que si l'illusion est parfaite, le décor ne pourra jamais interférer dans la magie du film.» Autant de joyaux voués à être détruits. Marti se souvient d'ailleurs d'avoir eu un pincement au coeur lorsqu'il a vu, lors du tournage d'une scène d'incendie, une magnifique copie de Goya disparaître dans les flammes. Grâce à une photographie et une lumière qui donnent au film un réalisme et une esthétique exceptionnels, le résultat est là. Sac de voyage Longchamp Pliage LM Et il prouve que le jeu en valait la chandelle. * Réédité chez Omnibus, 1 024 pages, 25 euros. LA PUISSANCE INVENTIVE DE LA PHOTOGRAPHIE éclate dans sa multiplicité à la galerie Thessa Hérold. L'exposition «Un monde non objectif» illustre ce pan de la photographie qui, ne représentant rien de reconnaissable «à première vue», arrache son secret au coeur des choses (très gros plan d'un cactus par Brassaï ou de gouttes d'eau par Peter Keetman) ; ou encore qui construit les mondes du rêve en observant le réel à travers le prisme d'un imaginaire esthétique (transmutation d'objets géométriques en luminosités flottantes par Théodore Roszak, ou illusions de bas-reliefs induites par les manipulations de Raoul Ubac). Echelonnées de 1890 à 2006, pour l'essentiel en noir et blanc, les oeuvres accrochées ont en commun, avec une apparente abstraction, une atmosphère onirique et apaisante. Leur petit format ne les impose pas au regard : on décide ou non d'aller les découvrir, les scruter, les pénétrer.L'accrochage met en valeur l'extrême variété de techniques d'une photographie qui n'use jamais que de ses propres moyens. Sac Report Longchamp Pliage
    Ici en effet, ni peinture en surimpression ni adjonction de collages : nous sommes dans le domaine de la photographie «chimiquement pure». Et, si séduisantes paraissent les quelques épreuves numériques montrées, elles ne peuvent celer leur absence de texture, leur froideur de pixels accolés, leur nature d'image. La prégnance incomparable d'une épreuve réalisée grâce à l'interaction d'éléments chimiques (émulsions et révélateurs) tient à la présence concrète de la matière, réelle jusque dans les photogrammes réalisés sans appareil de prise de vue, par la simple empreinte d'objets posés sur une surface sensible exposée à la lumière : on éprouve sensuellement le semis de grains d'argent sur le support (papier, mais aussi verre, métal, pierre, etc.). Les sables d'Etienne Beothy ou les énigmatiques formes colorées de Gaston Bertin, on ne se contente pas de les voir, on les sent au bout de ses doigts.Ecriture de la lumière, la photographie dispose d'un riche alphabet : jeux de flous (architectures de Sugimoto), inversions positif/négatif (ruban déroulé de Werner Bischof), capture du temps (mobiles en mouvement de Herbert Matter), tout semble possible. Ecriture de l'ombre aujourd'hui chère à Valérie Winckler, le photogramme - inventé par Talbot en 1835 - et ses infinies déclinaisons, des rayographes de Man Ray aux schadogrammes et autre chimigrammes, n'a besoin que de contours pour faire vibrer une myriade de formes.

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