Mais aussi par une réforme du système éducatif, voire une vraie révolution ! Le mammouth est devenu un dinosaure avec des programmes incohérents et insuffisamment adaptés à l'évolution du monde. Nos enfants ne maîtrisent pas les langues étrangères ni même parfois le français, et ils ne connaissent souvent rien du fonctionnement des institutions, publiques ou privées. On a atteint, dans l'Education nationale, un rapport qualité-coût très mauvais. L'ensemble du système est à repenser en profondeur. Il faut aussi donner une chance à chacun de réussir son intégration dans le monde professionnel, en cassant ce système très français qui veut que si vous perdez pied à l'école à l'âge de 8 ans, vous n'avez plus une chance de suivre les bons cursus par la suite, d'intégrer les meilleures filières, écoles et universités !L'homme d'affaires que vous êtes est-il préoccupé par l'avenir de la planète ?Plus que jamais ! L'une des priorités du futur chef de l'Etat doit être de remettre la nature au coeur des processus économiques. La Terre ne nous appartient pas, nous n'en sommes que des dépositaires momentanés. Je le répète, elle ne nous appartient pas ! Nous avons donc une responsabilité majeure de ne pas la détruire. burberry pas cher Or l'économie est engagée dans un processus dangereux, une compétition féroce qui pousse les entreprises à réduire sans cesse leurs coûts de production - au prix d'une consommation énergétique déraisonnable - pour parvenir à offrir le produit le moins cher possible au consommateur final. La rançon de cette course à la productivité est coûteuse : que de tonnes de gaz à effet de serre émises pour faire baisser le prix d'un pneu de 2% ! Que de millions d'hectares de forêt tropicale détruits !Le futur président de la République pourra-t-il y changer quelque chose ?L'élection du président américain aura sans doute beaucoup plus d'incidence sur l'avenir de la planète que celle de son homologue français ! Je crois néanmoins que la France peut agir, en sensibilisant chacun à la nécessité de changer son mode de vie, pour respecter davantage la planète. Mais il faudra aller plus loin, et ne pas hésiter à pénaliser, par une fiscalité adaptée, les produits des pays qui dépassent les bornes ou refusent de se plier aux règles du protocole de Kyoto... ce qui est le cas des Etats-Unis. Encore une fois, nous devons réfléchir à l'héritage que nous léguerons à nos enfants. sac burberry pas cher Tenter de redonner le sourire au monde nécessite certes un certain courage... mais Churchill ne disait-il pas que plus on sollicite le courage, plus il se renforce ?Président de Butler Capital Partners (actionnaire notamment de la SNCM et du PSG), inspecteur des finances. Le souci d'empêcher Le Pen d'accéder une nouvelle fois au second tour de l'élection présidentielle incite les deux favoris actuels de la course élyséenne à ratisser au-delà de leur électorat dès le premier tour. Pour Ségolène Royal, l'élue triomphale du PS, comme pour Nicolas Sarkozy, le candidat probable de l'UMP, la nécessité s'impose de réaliser la synthèse entre les différentes sensibilités de chaque camp, mais aussi de rallier une partie du camp opposé sans dissuader les membres du corps électoral qui s'abstiennent, hésitent ou protestent. Pour chacun, le pari est de sortir du cercle partisan pour solliciter, au sein de la société, les ressorts de la confiance. trench burberry pas cher A priori, Ségolène Royal est plus rompue à ce jeu que son adversaire. En fait, dans un contexte de mondialisation qui oblige les citoyens à se méfier des affects et à entendre davantage la voix de la raison, les difficultés à surmonter sont plus grandes pour la première que pour le second. Ségolène Royal est confrontée à une mutation de la gauche qui lui interdit de jouer sur le clavier des quatre courants classiques - républicain, socialiste, communiste et gauchiste - dont Lionel Jospin a géré le crépuscule : la «gauche plurielle» a perdu, non parce qu'elle s'est divisée, mais parce qu'elle associait des familles qui partageaient une culture commune, volontariste et égalitariste, condamnée à n'avoir plus de prise sur la modernité *. Les républicains de gauche se distinguent mal du gaullisme. Les communistes voient une partie de leurs électeurs courir au Front national. Les gauchistes cherchent à s'organiser autour d'une doctrine écolo-altermondialiste introuvable. Quant au PS, l'archaïsme de son programme confirme qu'il n'est pas prêt à s'aligner sur le réformisme européen.
Or l'économie est engagée dans un processus dangereux, une compétition féroce qui pousse les entreprises à réduire sans cesse leurs coûts de production - au prix d'une consommation énergétique déraisonnable - pour parvenir à offrir le produit le moins cher possible au consommateur final. La rançon de cette course à la productivité est coûteuse : que de tonnes de gaz à effet de serre émises pour faire baisser le prix d'un pneu de 2% ! Que de millions d'hectares de forêt tropicale détruits !Le futur président de la République pourra-t-il y changer quelque chose ?L'élection du président américain aura sans doute beaucoup plus d'incidence sur l'avenir de la planète que celle de son homologue français ! Je crois néanmoins que la France peut agir, en sensibilisant chacun à la nécessité de changer son mode de vie, pour respecter davantage la planète. Mais il faudra aller plus loin, et ne pas hésiter à pénaliser, par une fiscalité adaptée, les produits des pays qui dépassent les bornes ou refusent de se plier aux règles du protocole de Kyoto... ce qui est le cas des Etats-Unis. Encore une fois, nous devons réfléchir à l'héritage que nous léguerons à nos enfants. sac burberry pas cher Tenter de redonner le sourire au monde nécessite certes un certain courage... mais Churchill ne disait-il pas que plus on sollicite le courage, plus il se renforce ?Président de Butler Capital Partners (actionnaire notamment de la SNCM et du PSG), inspecteur des finances. Le souci d'empêcher Le Pen d'accéder une nouvelle fois au second tour de l'élection présidentielle incite les deux favoris actuels de la course élyséenne à ratisser au-delà de leur électorat dès le premier tour. Pour Ségolène Royal, l'élue triomphale du PS, comme pour Nicolas Sarkozy, le candidat probable de l'UMP, la nécessité s'impose de réaliser la synthèse entre les différentes sensibilités de chaque camp, mais aussi de rallier une partie du camp opposé sans dissuader les membres du corps électoral qui s'abstiennent, hésitent ou protestent. Pour chacun, le pari est de sortir du cercle partisan pour solliciter, au sein de la société, les ressorts de la confiance. trench burberry pas cher
A priori, Ségolène Royal est plus rompue à ce jeu que son adversaire. En fait, dans un contexte de mondialisation qui oblige les citoyens à se méfier des affects et à entendre davantage la voix de la raison, les difficultés à surmonter sont plus grandes pour la première que pour le second. Ségolène Royal est confrontée à une mutation de la gauche qui lui interdit de jouer sur le clavier des quatre courants classiques - républicain, socialiste, communiste et gauchiste - dont Lionel Jospin a géré le crépuscule : la «gauche plurielle» a perdu, non parce qu'elle s'est divisée, mais parce qu'elle associait des familles qui partageaient une culture commune, volontariste et égalitariste, condamnée à n'avoir plus de prise sur la modernité *. Les républicains de gauche se distinguent mal du gaullisme. Les communistes voient une partie de leurs électeurs courir au Front national. Les gauchistes cherchent à s'organiser autour d'une doctrine écolo-altermondialiste introuvable. Quant au PS, l'archaïsme de son programme confirme qu'il n'est pas prêt à s'aligner sur le réformisme européen.
To Top