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started by masquebf on 30 Dec 14
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    Des médiateurs du FPLP (Front populaire de libération de la Palestine) ont dû intervenir pour les évacuer.« Que Dieu vous brûle » Les ambulanciers annoncent l'arrivée de blessés des forces de sécurité fidèles au Fatah. Les gardes du Hamas abaissent leurs cagoules enroulées sur le front et arment leurs fusils automatiques. Pris de panique, les patients courent se mettre à l'abri. Armés de kalachnikovs, les hommes du Fatah déposent leurs camarades aux urgences, avec les armes du Hamas braquées sur eux. Deux blessés graves succombent immédiatement. Les larmes envahissent le visage de leurs frères d'armes. sac lancel pas cher
    « Que Dieu vous brûle », hurlent-ils aux partisans du Hamas encagoulés, en poussant les corps vers la morgue. Au même moment, une femme, qui porte son garçon blessé entre les bras, force le passage vers les urgences. « Les Israéliens sont plus humains que le Hamas, soyez maudits », hurle-t-elle.Les urgentistes, qui n'ont pas touché leur salaire depuis le mois de février, affirment que durant les incursions israéliennes ils étaient capables de traiter plus de trente patients par jour, malgré les conditions de travail difficiles. « Nous étions fiers de participer, à notre façon, à la résistance face à l'occupation, raconte un chirurgien. Maintenant, à chaque fois que nous traitons un blessé, nous avons peur pour notre peau, peur des conséquences que cela aura dans la rue. Avec chaque patient on a l'impression de faire un pas de plus vers la guerre civile. ralph lauren rugby pas cher » LA PANIQUE s'empare des urgences de l'hôpital Chifa alors qu'une ambulance franchit le portail d'entrée. Les médecins et les infirmiers se plaquent au sol, au lieu de se précipiter vers l'extérieur pour porter secours aux blessés. Le doigt sur la gâchette de leurs M-16, les « policiers » encagoulés de la force exécutive du Hamas braquent le véhicule, avant d'identifier les occupants, qui appartiennent aux Brigades Ezzedine al-Qassam, la branche armée de leur mouvement. Menaçant les autres patients et le personnel ­médical avec leurs lance-roquettes RPG et leurs fusils d'assaut, les militants du Hamas escortent leurs ­camarades à l'intérieur.« J'ai dû ramper sous les tirs »Une fois l'effervescence de ce débarquement passée, médecins et infirmiers du principal hôpital de Gaza se relèvent prudemment pour soigner les blessés. Les regards ­inquiétants, qui percent à travers les orifices découpés dans les passe-montagnes noirs, naviguent entre la porte et les médecins. Les canons sont braqués vers l'extérieur et ­ordre est donné de fermer les portes. polo lacoste verst pas cher
    « Je n'en peux plus, chuchote un médecin urgentiste. J'ai demandé ma mutation dans un autre service. Je vais finir par me faire tuer si je continue comme ça. Ce matin, j'ai dû ramper sous les tirs, pour venir au travail. » Plusieurs impacts de balles constellent les murs et le ­plafond des urgences.Des combats ont éclaté, hier matin à Chifa, entre des policiers ­fidèles au Hamas et des agents des services de renseignements fidèles au président Mahmoud Abbas. Un policier du Hamas a été tué et onze autres personnes ont été blessées dans la fusillade, survenue à l'entrée ainsi qu'à l'intérieur du complexe de l'hôpital.

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