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started by stlwdwl1 on 22 Aug 16
  • stlwdwl1
     
    Saint-Étienne est une vraie ville populaire qui s'est construite avec les mines, les usines et le stade Geoffroy-Guichard ! Historiquement, ce stade est un pôle populaire de Saint-Étienne où les travailleurs se retrouvaient… AZ : Le stade est même placé à côté des usines et des mines stéphanoises qui alimentaient la ville à l'époque. GM : On est tous attachés à cette histoire. Et c'est facile de déserter cette route du foot pour se lancer dans la musique ? « On parle beaucoup de foot à Saint-Étienne, mais il y a un très bon terreau culturel aussi : la musique alternative, le reggae, la plastique, la vidéo. »Aurélien Zoho AZ : C'est jamais facile, mais je pense que c'est le lot de la province. On est un groupe qui a décidé de se lancer de son côté, mais sortir d'une petite ville comme ça nous a appris à être indépendants, à découvrir ce milieu de la musique par nous-mêmes sans avoir besoin de personne. Et puis on parle beaucoup de foot à Saint-Étienne, mais il y a un très bon terreau culturel aussi : la musique alternative, le reggae, la plastique, la vidéo… L'air de rien, cette petite ville produit pas mal de choses ! GM : Et cette capacité de faire avec peu de moyens… Pour ramener les choses à Dub Inc, quand on joue à Saint-Étienne, on sent la fierté du public d'avoir des enfants du pays. C'est vraiment la même chose au stade, on a l'impression d'avoir des supporters qui nous accueillent parce qu'ils se sentent représentés par nous… Et j'y pense : parfois, il y a des morceaux à nous qui sont diffusés avant le match au stade. survetement lacoste pas cher
    Ce qu'il faut retenir de l'Euro à Saint-Étienne Voir galerie Dub Inc : "Loïc Perrin vient souvent nous voi … Avec leurs faux airs d'Edgar Davids et de Stéphane Ruffier, le chanteur Aurélien Zoho et le batt … On vous a déjà demandé de créer une chanson pour le foot ? AZ : Ça a déjà été une envie pour moi, mais on n'a jamais su trop faire ça… Et puis bon, on ne veut pas trop mettre ça en avant non plus : quand on joue à Lyon, ça se passe très bien ! Ça pourrait casser quelque chose si on perdait ce côté fédérateur. GM : En revanche, dans notre prochain album So What, on a un morceau, "Exil", qui parle du passé de nos parents stéphanois… Si on doit faire une chanson sur notre ville, ça sera plutôt sur l'histoire de nos parents immigrés et travailleurs. C'est plus important pour nous. Mais attention, on ne rejette pas le foot : on a de bons contacts avec Loïc Perrin, par exemple. Il vient régulièrement à nos concerts quand on est dans la région. Il vient vous voir après les concerts ? GM : Ouais, on a appris une fois qu'il venait régulièrement, on l'a donc invité à manger avec nous. Il y a 300 mètres entre le Zénith de Saint-Étienne et le stade, et un jour, il est même venu après un match. polo lacoste pas cher Avant lui, il y avait eu Efstáthios Tavlarídis. C'est toujours chouette de savoir que même dans le milieu du foot, on peut intéresser des joueurs. Vous parlez de quoi avec les footballeurs ? « Footballeur professionnel est le métier qui fait rêver le plus les Français, donc on leur pose des questions sur l'argent, sur le fait d'être adulé par 40 000 personnes à chaque match. »Grégory Mavridorakis GM : De la vie de tous les jours. On parle un peu de foot, il nous parle un peu de musique, puis on part sur d'autres sujets. Le tatouage par exemple. Ça s'est démocratisé par rapport au temps où les gros marins ou balourds cultivaient cette idée qu'il fallait être un gros dur pour en avoir. vetement lacoste pas cher
    Désormais, c'est beaucoup plus facile d'en faire, et les footballeurs ne sont pas différents des autres : ils font leur tatouage comme tout le monde. De mon côté, je suis apprenti dans un studio qui a déjà tatoué des footballeurs, mais moi pas encore. Pour revenir à nos conversations, c'est vrai que footballeur professionnel est le métier qui fait rêver le plus les Français, donc on leur pose des questions sur l'argent, sur le fait d'être adulé par 40 000 personnes à chaque match (sic), ça suscite la curiosité. Il n'y a pas ce côté intéressé de la foule quand elle vous croise hors de la scène ? Voir galerie Dub Inc : "Loïc Perrin vient souvent nous voi … Avec leurs faux airs d'Edgar Davids et de Stéphane Ruffier, le chanteur Aurélien Zoho et le batt … GM : Ce qu'il y a, avec Dub Inc, c'est qu'on ne fait presque pas d'interview, on ne passe pas à la télé ni à la radio. Du coup, on n'a pas ce côté surmédiatisé, donc à part les vrais fans qui viennent demander parfois une photo, on ne se retrouve jamais calé dans la rue comme un footballeur quand il sort du stade.Vous avez un grand souvenir de stade ? AZ : J'ai vu un Saint-Étienne-Monaco quand j'avais quatorze ans. Je me souviens qu'on avait gagné (rires)… en Coupe de France ! GM : Moi, j'ai vécu la saison dernière l'humiliation contre Nice avec Ben Arfa qui met un des plus beaux buts de la saison.

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