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  #1 stlwdwl1 on 16 Dec 14

   

  Quant aux nuits blanches d'il y a trente ans, il les a troquées pour de bons dîners après le spectacle : «La vie change avec l'âge et rien qu'à la vue, on sait distinguer un vin d'un autre.» «Comme d'habitude», chanterait presque Julio Iglesias à propos des fêtes de Noël, qu'il passera à Punta Cana avec la plupart de ses enfants, «sauf Enrique, qui sera avec sa famille russe». Puis ce sera le 31, où le rejoindront des amis de «toute la vie», comme Oscar de la Renta. Mais derrière son effusion pointe un immense regret : «Mon père et ma mère ne seront pas là, et depuis leur disparition, ce n'est plus comme avant. C'est moi qui suis devenu le papa, mais je ne sais pas faire le Père Noël.» La fête est donc différente. Ces deux jours seront une sorte de divertissement, une occasion de sortir de son studio personnel, où il va travailler pendant près de deux mois à la préparation de son nouvel album, «tout en français», insiste-t-il. lacoste chaussure homme pas cher
  Car la plus belle des fêtes, pour lui, c'est encore et toujours quand il chante. Raison pour laquelle, depuis trente-huit ans, il court de studios en tournées. Sans relâche et sans vague à l'âme. Quant aux nuits blanches d'il y a trente ans, il les a troquées pour de bons dîners après le spectacle : «La vie change avec l'âge et rien qu'à la vue, on sait distinguer un vin d'un autre.» Cela s'appelle l'expérience et la compensation. «Comme d'habitude», chanterait presque Julio Iglesias à propos des fêtes de Noël, qu'il passera à Punta Cana avec la plupart de ses enfants, «sauf Enrique, qui sera avec sa famille russe». Puis ce sera le 31, où le rejoindront des amis de «toute la vie», comme Oscar de la Renta. polo lacoste manche longues pas cher Mais derrière son effusion pointe un immense regret : «Mon père et ma mère ne seront pas là, et depuis leur disparition, ce n'est plus comme avant. C'est moi qui suis devenu le papa, mais je ne sais pas faire le Père Noël.» La fête est donc différente. Ces deux jours seront une sorte de divertissement, une occasion de sortir de son studio personnel, où il va travailler pendant près de deux mois à la préparation de son nouvel album, «tout en français», insiste-t-il. Car la plus belle des fêtes, pour lui, c'est encore et toujours quand il chante. Raison pour laquelle, depuis trente-huit ans, il court de studios en tournées. Sans relâche et sans vague à l'âme. doudoune lacoste homme pas cher
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  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Quant aux nuits blanches d'il y a trente ans, il les a troquées pour de bons dîners après le spectacle : «La vie change avec l'âge et rien qu'à la vue, on sait distinguer un vin d'un autre.» «Comme d'habitude», chanterait presque Julio Iglesias à propos des fêtes de Noël, qu'il passera à Punta Cana avec la plupart de ses enfants, «sauf Enrique, qui sera avec sa famille russe». Puis ce sera le 31, où le rejoindront des amis de «toute la vie», comme Oscar de la Renta. Mais derrière son effusion pointe un immense regret : «Mon père et ma mère ne seront pas là, et depuis leur disparition, ce n'est plus comme avant. C'est moi qui suis devenu le papa, mais je ne sais pas faire le Père Noël.» La fête est donc différente. Ces deux jours seront une sorte de divertissement, une occasion de sortir de son studio personnel, où il va travailler pendant près de deux mois à la préparation de son nouvel album, «tout en français», insiste-t-il. <a href="http://www.pharmaciedebreteuil.fr/polo-lacoste-pas-cher/" rel="nofollow" title="lacoste chaussure homme pas cher">lacoste chaussure homme pas cher</a> <br /> Car la plus belle des fêtes, pour lui, c'est encore et toujours quand il chante. Raison pour laquelle, depuis trente-huit ans, il court de studios en tournées. Sans relâche et sans vague à l'âme. Quant aux nuits blanches d'il y a trente ans, il les a troquées pour de bons dîners après le spectacle : «La vie change avec l'âge et rien qu'à la vue, on sait distinguer un vin d'un autre.» Cela s'appelle l'expérience et la compensation. «Comme d'habitude», chanterait presque Julio Iglesias à propos des fêtes de Noël, qu'il passera à Punta Cana avec la plupart de ses enfants, «sauf Enrique, qui sera avec sa famille russe». Puis ce sera le 31, où le rejoindront des amis de «toute la vie», comme Oscar de la Renta. <a href="http://www.pharmaciedebreteuil.fr/polo-lacoste-pas-cher/" rel="nofollow" title="polo lacoste manche longues pas cher">polo lacoste manche longues pas cher</a> Mais derrière son effusion pointe un immense regret : «Mon père et ma mère ne seront pas là, et depuis leur disparition, ce n'est plus comme avant. C'est moi qui suis devenu le papa, mais je ne sais pas faire le Père Noël.» La fête est donc différente. Ces deux jours seront une sorte de divertissement, une occasion de sortir de son studio personnel, où il va travailler pendant près de deux mois à la préparation de son nouvel album, «tout en français», insiste-t-il. Car la plus belle des fêtes, pour lui, c'est encore et toujours quand il chante. Raison pour laquelle, depuis trente-huit ans, il court de studios en tournées. Sans relâche et sans vague à l'âme. <a href="http://www.pharmaciedebreteuil.fr/polo-lacoste-pas-cher/" rel="nofollow" title="doudoune lacoste homme pas cher">doudoune lacoste homme pas cher</a> <br /> Quant aux nuits blanches d'il y a trente ans, il les a troquées pour de bons dîners après le spectacle : «La vie change avec l'âge et rien qu'à la vue, on sait distinguer un vin d'un autre.» Cela s'appelle l'expérience et la compensation. Afin de souligner le caractère artistique de la photographie publicitaire, le musée des Arts décoratifs (75001 Paris) expose, jusqu'au 25 mars prochain, 31 photographes remarquables, dont Sarah Moon, Peter Knapp et Guy Bourdin. La figure la plus étonnante est celle de Claude Ferrand (1927-2006), qui mit son savoir et sa pratique de peintre au service exclusif de son métier de photographe. Le conservateur Jean-Claude Lemagny écrivit à son propos qu'il était «le véritable Andy Warhol». Structuré comme un tableau, pensé comme un univers, élégant et onirique, un cliché de Ferrand doit tout à la création, rien à l'informatique. Ian McEwan, Hervé Jaouen, Thierry Jonquet, Daniel Picouly.</div>

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