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  #1 masquebf4 on 09 Dec 14

   

  Si l'on crée un smic cadre, alors j'exige que les patrons aient le droit au chômage. Car ils le paient mais ils n'y ont pas droit. Tout est donc à mettre à plat. Il faut payer la valeur de l'homme et non son titre. » * Entreprises de taille humaine, indépendantes et de croissance. Il suffit de chercher près de chez soi un cybercafé pour s'en rendre compte : la France n'a pas su anticiper ni intégrer le bouleversement technologique provoqué par l'arrivée d'Internet. Notre pays a beau avoir été pionnier avec les cabines téléphoniques puis avec le Minitel, force est de constater qu'aujourd'hui Internet est bien trop peu accessible dans les lieux publics et pas suffisamment utilisé à domicile. survetement lacoste pas cher
  Alors que la middle class américaine achète ses céréales et sa lessive sur le Web, que des Philippins de 16 ans inondent la Toile de virus ultrasophistiqués et que les terrasses des cafés de Kuala Lumpur grouillent d'ordinateurs portables, la France continue de vivre avec une génération de décalage.Le problème n'est pas tant quantitatif. Nous progressons même significativement : en 2006, sur les 63 millions de Français, près de 27 millions se connectent chaque mois, contre 12 millions en 2001. Ne nous leurrons pas, une telle avancée est encore insuffisante, comparée à des pays voisins pourtant moins puissants. La part d'internautes en France (43 %) reste inférieure de près de 7 points à la moyenne européenne et est largement dépassée par des pays comme l'Autriche (57 %), le Danemark (70 %), ou l'île de Malte (78 %). La comparaison à l'échelle mondiale n'est guère plus flatteuse. Le taux français est, par exemple, de 22 points inférieur à celui de la ­Corée du Sud. polo lacoste homme pas cher Toutes proportions gardées, les foyers américains possèdent sept fois plus d'ordinateurs que nous ! Plus encore que quantitatif, le retard français est surtout qualitatif et d'ordre psychologique. Faute de nous être posé les vraies questions au bon moment, nous nous rendons à peine compte que c'est l'ensemble des probléma­tiques économiques, sociales et politiques qui sont aujourd'hui bouleversées par l'explosion d'Internet autour de nous. L'explosion du Web modifie aussi de manière encore insoupçonnée l'organisation de la vie de nos institutions, qu'il s'agisse du fonctionnement des services publics, de l'administration du formulaire ou du déroulement de la vie démocratique. Le succès remporté par les télédéclarations d'impôts sur Internet (3,7 millions de déclarations d'impôt l'année dernière) démontre l'ampleur d'une demande à laquelle l'État devra répondre très vite dans de nombreux autres domaines. Il faudrait, par exemple, encourager à l'avenir un accès aux services publics au moyen de guichets par webcams, lesquels auraient le triple mérite d'éliminer les files d'attente, d'élargir les amplitudes horaires et de ne pas déshumaniser les services publics.C'est aussi tout l'enjeu de l'aménagement numérique du territoire et de la rationalisation des services publics en milieu rural. Le rapport à la ruralité se trouve transformé par la quantité d'informations dont peuvent désormais disposer des populations jusqu'ici handicapées par l'isolement de leur territoire, mais aussi par l'écart qui apparaît entre l'extension de la couverture numérique et le manque de formation aux nouvelles technologies. lacoste polo noir pas cher
  Nous devons faire en sorte que toutes les populations puissent profiter d'Internet en leur offrant, par exemple, une ou deux sessions de formation à chacun. Soyons clairs : il suffit d'observer avec quelle facilité les enfants des bidonvilles d'Asie manient Internet pour comprendre que son apprentissage n'a rien à voir avec le niveau d'éducation.Autre défi, le vote sur Internet, qui commence à voir le jour, se généralisera lui aussi sans aucun doute dans les prochaines années. En vigueur pour ceux qui le souhaitent lors des élections internes de l'UMP, le suffrage numérique a vocation à s'imposer comme un véritable mode alternatif d'expression démocratique. Les effets majeurs d'Internet sur l'éducation de nos enfants doivent, eux aussi, être pris en compte dans le cadre d'une réflexion globale sur l'école et les méthodes pédagogiques. 68 % du contenu sur Internet étant aujourd'hui en langue anglaise, c'est tout l'apprentissage des langues étrangères qu'il faut repenser, tant les jeunes devraient pouvoir lire l'anglais aussi bien qu'ils lisent le français. Face à de tels constats et malgré les efforts qui sont déjà fournis par le gouvernement, une rupture dans les ­esprits et les actes est, aujourd'hui, plus que nécessaire.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Si l'on crée un smic cadre, alors j'exige que les patrons aient le droit au chômage. Car ils le paient mais ils n'y ont pas droit. Tout est donc à mettre à plat. Il faut payer la valeur de l'homme et non son titre. » * Entreprises de taille humaine, indépendantes et de croissance. Il suffit de chercher près de chez soi un cybercafé pour s'en rendre compte : la France n'a pas su anticiper ni intégrer le bouleversement technologique provoqué par l'arrivée d'Internet. Notre pays a beau avoir été pionnier avec les cabines téléphoniques puis avec le Minitel, force est de constater qu'aujourd'hui Internet est bien trop peu accessible dans les lieux publics et pas suffisamment utilisé à domicile. <a title="survetement lacoste pas cher" href="http://www.filmbox.fr/polo-lacoste-pas-cher" rel="nofollow">survetement lacoste pas cher</a> <br /> Alors que la middle class américaine achète ses céréales et sa lessive sur le Web, que des Philippins de 16 ans inondent la Toile de virus ultrasophistiqués et que les terrasses des cafés de Kuala Lumpur grouillent d'ordinateurs portables, la France continue de vivre avec une génération de décalage.Le problème n'est pas tant quantitatif. Nous progressons même significativement : en 2006, sur les 63 millions de Français, près de 27 millions se connectent chaque mois, contre 12 millions en 2001. Ne nous leurrons pas, une telle avancée est encore insuffisante, comparée à des pays voisins pourtant moins puissants. La part d'internautes en France (43 %) reste inférieure de près de 7 points à la moyenne européenne et est largement dépassée par des pays comme l'Autriche (57 %), le Danemark (70 %), ou l'île de Malte (78 %). La comparaison à l'échelle mondiale n'est guère plus flatteuse. Le taux français est, par exemple, de 22 points inférieur à celui de la ­Corée du Sud. <a title="polo lacoste homme pas cher" href="http://www.filmbox.fr/polo-lacoste-pas-cher" rel="nofollow">polo lacoste homme pas cher</a> Toutes proportions gardées, les foyers américains possèdent sept fois plus d'ordinateurs que nous ! Plus encore que quantitatif, le retard français est surtout qualitatif et d'ordre psychologique. Faute de nous être posé les vraies questions au bon moment, nous nous rendons à peine compte que c'est l'ensemble des probléma­tiques économiques, sociales et politiques qui sont aujourd'hui bouleversées par l'explosion d'Internet autour de nous. L'explosion du Web modifie aussi de manière encore insoupçonnée l'organisation de la vie de nos institutions, qu'il s'agisse du fonctionnement des services publics, de l'administration du formulaire ou du déroulement de la vie démocratique. Le succès remporté par les télédéclarations d'impôts sur Internet (3,7 millions de déclarations d'impôt l'année dernière) démontre l'ampleur d'une demande à laquelle l'État devra répondre très vite dans de nombreux autres domaines. Il faudrait, par exemple, encourager à l'avenir un accès aux services publics au moyen de guichets par webcams, lesquels auraient le triple mérite d'éliminer les files d'attente, d'élargir les amplitudes horaires et de ne pas déshumaniser les services publics.C'est aussi tout l'enjeu de l'aménagement numérique du territoire et de la rationalisation des services publics en milieu rural. Le rapport à la ruralité se trouve transformé par la quantité d'informations dont peuvent désormais disposer des populations jusqu'ici handicapées par l'isolement de leur territoire, mais aussi par l'écart qui apparaît entre l'extension de la couverture numérique et le manque de formation aux nouvelles technologies. <a title="lacoste polo noir pas cher" href="http://www.filmbox.fr/polo-lacoste-pas-cher" rel="nofollow">lacoste polo noir pas cher</a> <br /> Nous devons faire en sorte que toutes les populations puissent profiter d'Internet en leur offrant, par exemple, une ou deux sessions de formation à chacun. Soyons clairs : il suffit d'observer avec quelle facilité les enfants des bidonvilles d'Asie manient Internet pour comprendre que son apprentissage n'a rien à voir avec le niveau d'éducation.Autre défi, le vote sur Internet, qui commence à voir le jour, se généralisera lui aussi sans aucun doute dans les prochaines années. En vigueur pour ceux qui le souhaitent lors des élections internes de l'UMP, le suffrage numérique a vocation à s'imposer comme un véritable mode alternatif d'expression démocratique. Les effets majeurs d'Internet sur l'éducation de nos enfants doivent, eux aussi, être pris en compte dans le cadre d'une réflexion globale sur l'école et les méthodes pédagogiques. 68 % du contenu sur Internet étant aujourd'hui en langue anglaise, c'est tout l'apprentissage des langues étrangères qu'il faut repenser, tant les jeunes devraient pouvoir lire l'anglais aussi bien qu'ils lisent le français. Face à de tels constats et malgré les efforts qui sont déjà fournis par le gouvernement, une rupture dans les ­esprits et les actes est, aujourd'hui, plus que nécessaire.</div>

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