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  #1 masquebf3 on 10 Dec 14

   

  De ses trois années à l'Essec (1), il conserve un excellent souvenir. « J'ai fait partie de cette génération d'étudiants qui a vécu le transfert de l'Essec des locaux de l'Institut catholique de Paris, au coeur du Quartier latin, sur le campus de Cergy, à l'époque situé au beau milieu de champs de betteraves. » Sa fidélité à son ancienne école a toujours été sans faille, comme en témoigne son élection, il y a deux ans, à la présidence de l'Association des diplômés du groupe Essec (26 000 adhérents dont 10 000 cotisants, répartis dans une cinquantaine de pays). « Ma carrière a toujours évolué » Si de nombreux petits boulots (maçon, guichetier gare Saint-Lazare, stage « ouvrier » dans une imprimerie...) lui ont permis, durant sa jeunesse, de découvrir le monde du travail, c'est à la Fiduciaire de France, membre du réseau KPMG, qu'il fera ses premiers pas dans la vie active. survetement lacoste pas cher
  « J'avais envoyé un CV et le directeur de l'informatique, un ancien de l'Essec, m'a proposé de le rejoindre pour deux ans. » Loin des arcanes de l'audit, il se voit confier un poste de technico-commercial. « J'étais tout le temps sur le terrain. En effet, mon job consistait à proposer aux collaborateurs de la société de nouveaux logiciels de comptabilité, de gestion, et de les aider à les installer chez leurs clients car, à l'époque, les ordinateurs étaient de véritables monstres. » Parallèlement, il passe son diplôme d'expert-comptable et devient, en 1988, associé chez Fiduciaire de France. « Parmi mes nombreuses missions, la plus difficile s'est déroulée chez une filiale de Philips. Il fallait certifier ses comptes, suivant les normes hollandaises, pour permettre leur consolidation au niveau du groupe. polo lacoste homme pas cher Mais ce fut très formateur. » Nommé, la quarantaine à peine passée, directeur général, il est promu, à 48 ans, président du directoire de Fiduciaire de France qui, en 2000, devient KPMG France. « Jeune, je voulais bouger, éventuellement partir à l'étranger et jamais je n'aurais imaginé faire toute ma carrière dans la même entreprise », avoue Jean-Luc Decornoy. « Bien sûr, j'ai eu des propositions. Mais je les ai toujours déclinées. Contacts avec les clients, missions très variées, travail en équipe.. lacoste polo noir pas cher
  . Notre métier est passionnant. En outre, ma carrière a toujours évolué. » Mais, fort de son expérience, il garde la tête froide. « Nous ne sommes pas la police judiciaire. Quels que soient le talent et le professionnalisme de ses collaborateurs, un cabinet comme le nôtre, numéro 1 en France, ne pourra jamais garantir que les comptes certifiés d'un groupe sont justes à 100 %. Car il y aura toujours des tricheurs dans le monde des affaires.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">De ses trois années à l'Essec (1), il conserve un excellent souvenir. « J'ai fait partie de cette génération d'étudiants qui a vécu le transfert de l'Essec des locaux de l'Institut catholique de Paris, au coeur du Quartier latin, sur le campus de Cergy, à l'époque situé au beau milieu de champs de betteraves. » Sa fidélité à son ancienne école a toujours été sans faille, comme en témoigne son élection, il y a deux ans, à la présidence de l'Association des diplômés du groupe Essec (26 000 adhérents dont 10 000 cotisants, répartis dans une cinquantaine de pays). « Ma carrière a toujours évolué » Si de nombreux petits boulots (maçon, guichetier gare Saint-Lazare, stage « ouvrier » dans une imprimerie...) lui ont permis, durant sa jeunesse, de découvrir le monde du travail, c'est à la Fiduciaire de France, membre du réseau KPMG, qu'il fera ses premiers pas dans la vie active. <a rel="nofollow" title="survetement lacoste pas cher" href="http://www.filmbox.fr/polo-lacoste-pas-cher">survetement lacoste pas cher</a> <br /> « J'avais envoyé un CV et le directeur de l'informatique, un ancien de l'Essec, m'a proposé de le rejoindre pour deux ans. » Loin des arcanes de l'audit, il se voit confier un poste de technico-commercial. « J'étais tout le temps sur le terrain. En effet, mon job consistait à proposer aux collaborateurs de la société de nouveaux logiciels de comptabilité, de gestion, et de les aider à les installer chez leurs clients car, à l'époque, les ordinateurs étaient de véritables monstres. » Parallèlement, il passe son diplôme d'expert-comptable et devient, en 1988, associé chez Fiduciaire de France. « Parmi mes nombreuses missions, la plus difficile s'est déroulée chez une filiale de Philips. Il fallait certifier ses comptes, suivant les normes hollandaises, pour permettre leur consolidation au niveau du groupe. <a rel="nofollow" title="polo lacoste homme pas cher" href="http://www.filmbox.fr/polo-lacoste-pas-cher">polo lacoste homme pas cher</a> Mais ce fut très formateur. » Nommé, la quarantaine à peine passée, directeur général, il est promu, à 48 ans, président du directoire de Fiduciaire de France qui, en 2000, devient KPMG France. « Jeune, je voulais bouger, éventuellement partir à l'étranger et jamais je n'aurais imaginé faire toute ma carrière dans la même entreprise », avoue Jean-Luc Decornoy. « Bien sûr, j'ai eu des propositions. Mais je les ai toujours déclinées. Contacts avec les clients, missions très variées, travail en équipe.. <a rel="nofollow" title="lacoste polo noir pas cher" href="http://www.filmbox.fr/polo-lacoste-pas-cher">lacoste polo noir pas cher</a> <br /> . Notre métier est passionnant. En outre, ma carrière a toujours évolué. » Mais, fort de son expérience, il garde la tête froide. « Nous ne sommes pas la police judiciaire. Quels que soient le talent et le professionnalisme de ses collaborateurs, un cabinet comme le nôtre, numéro 1 en France, ne pourra jamais garantir que les comptes certifiés d'un groupe sont justes à 100 %. Car il y aura toujours des tricheurs dans le monde des affaires.</div>

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