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  #1 gjshlth on 08 Nov 14

   

  « Je sais que les Français sont ­généreux et solidaires, il faut juste ­savoir leur expliquer ce qu'on fait de leur argent et à quoi il sert », a ajouté Bernadette Chirac dans une allusion au débat sur le Téléthon, tout en précisant qu'elle « ne voulait pas participer à la ­polémique » (lire aussi page 10).L'épouse du chef de l'État n'a pas souhaité faire de commentaires sur l'actualité nationale à l'occasion de ce déplacement mais s'est souvenue d'un autre anniversaire. Celui du RPR, fondé jour pour jour il y a trente ans, porte de Versailles, à Paris. « J'ai participé à tout ça. C'était un grand moment, ce parti nous a très souvent conduits à la victoire. » Philippe Douste-Blazy l'a répété mercredi matin, la question qui se pose concernant l'Iran porte «sur l'étendue des sanctions, mais il y aura des sanctions» de l'ONU. Reste à savoir lesquelles. parfum lacoste pas cher pour homme
  Réunis mardi soir à Paris, les Six (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Grande-Bretagne, plus l'Allemagne) n'ont pas réussi à s'entendre sur le contenu de ces sanctions imposées à l'Iran, qui refuse toujours de stopper son programme d'enrichissement nucléaire. Si les Six sont «tous d'accord sur la nécessité d'adopter une résolution efficace», en effet, la Russie traîne des pieds sur la mise en place concrète de mesures dissuasives à l'égard de Téhéran. «Nous avions espéré que cette discussion nous permettrait d'avancer de manière plutôt considérable et, pour être honnête, ce ne fut pas le cas», regrette un diplomate. Moscou souffle le chaud et le froid Moscou, qui avait fait un pas en fin de semaine dernière, approuvant l'idée d'un embargo sur des technologies ou du matériel utiles aux programmes nucléaire ou de missiles balistiques de l'Iran, a de nouveau reculé mardi soir. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov a jugé «irresponsable» d'envisager des mesures de fermeté contre la République islamique. Selon un diplomate, les autres pays ont fait savoir mardi soir «que pour la crédibilité de notre démarche et pour la crédibilité de la démarche du Conseil, il nous fallait désormais une décision avant la fin de l'année». La volonté de la majorité des pays du groupe est en effet de parvenir à l'unanimité sur de sanctions, même minimes, pour envoyer à Téhéran un message d'unité. parfum lacoste pour femme pas cher Les discussions reprendront à New-York d'ici à la fin de la semaine.C'EST la rupture version Dupont-Aignan. Le leader de l'aile « républicaine et populaire » de l'UMP lance aujourd'hui sa campagne en dehors des procédures de sélection de l'UMP. Jeudi dernier encore, en développant les raisons de sa propre candidature sur France 2, Nicolas Sarkozy l'avait invité à participer aux « primaires » internes au parti. Il lui a répondu hier sur la même chaîne qu'il s'agissait de « fausses primaires, d'une hypocrisie totale », puisque le chef de l'UMP avait rendu le débat impossible en s'opposant à la création de « courants ».« Pendant quatre ans, on n'a pas eu de démocratie et, entre Noël et le Jour de l'An, Nicolas Sarkozy cherche figurants pour assister à son sacre », a ironisé le fondateur de Debout la République, qui a visiblement élu le favori de la droite comme cible privilégiée. La preuve : Nicolas Dupont-Aignan a refusé de dire pour qui il appellerait à voter dans l'hypothèse, pas complètement improbable, où il serait éliminé au premier tour. parfum lacoste touch of pink pas cher
  « Je verrai d'abord qui sera au second tour, a-t-il expliqué. Je verrai ensuite le projet de Nicolas Sarkozy. Je dirai très clairement à Nicolas Sarkozy qu'il ne peut pas revenir sur le vote des Français le 29 mai 2005 ».La vocation présidentielle du député de l'Essonne est née en effet pendant sa campagne contre l'adoption de la Constitution européenne. Tout en militant pour le non, il avait refusé, en mars 2005, de soumettre sa position au vote des membres du Conseil national de l'UMP.« Tête-à-queue idéologique »Pour justifier son refus d'affronter Sarkozy en primaire, NDA, comme l'appellent ses supporters, plaide à nouveau que « ce n'est pas aux militants de trancher des questions aussi essentielles que la discrimination positive ou la politique étrangère de la France ». Au nom d'un gaullisme dont il se veut le plus fidèle héritier, il assure qu'il ne veut « pas croire que Michèle Alliot-Marie, elle, acceptera de jouer le jeu ».

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">« Je sais que les Français sont ­généreux et solidaires, il faut juste ­savoir leur expliquer ce qu'on fait de leur argent et à quoi il sert », a ajouté Bernadette Chirac dans une allusion au débat sur le Téléthon, tout en précisant qu'elle « ne voulait pas participer à la ­polémique » (lire aussi page 10).L'épouse du chef de l'État n'a pas souhaité faire de commentaires sur l'actualité nationale à l'occasion de ce déplacement mais s'est souvenue d'un autre anniversaire. Celui du RPR, fondé jour pour jour il y a trente ans, porte de Versailles, à Paris. « J'ai participé à tout ça. C'était un grand moment, ce parti nous a très souvent conduits à la victoire. » Philippe Douste-Blazy l'a répété mercredi matin, la question qui se pose concernant l'Iran porte «sur l'étendue des sanctions, mais il y aura des sanctions» de l'ONU. Reste à savoir lesquelles. <a rel="nofollow" href="http://www.bleueprovenceimmo.fr/sac-banane-lacoste-pas-cher-survetement-lacoste-blanc/" title="parfum lacoste pas cher pour homme">parfum lacoste pas cher pour homme</a> <br /> Réunis mardi soir à Paris, les Six (Etats-Unis, Russie, Chine, France et Grande-Bretagne, plus l'Allemagne) n'ont pas réussi à s'entendre sur le contenu de ces sanctions imposées à l'Iran, qui refuse toujours de stopper son programme d'enrichissement nucléaire. Si les Six sont «tous d'accord sur la nécessité d'adopter une résolution efficace», en effet, la Russie traîne des pieds sur la mise en place concrète de mesures dissuasives à l'égard de Téhéran. «Nous avions espéré que cette discussion nous permettrait d'avancer de manière plutôt considérable et, pour être honnête, ce ne fut pas le cas», regrette un diplomate. Moscou souffle le chaud et le froid Moscou, qui avait fait un pas en fin de semaine dernière, approuvant l'idée d'un embargo sur des technologies ou du matériel utiles aux programmes nucléaire ou de missiles balistiques de l'Iran, a de nouveau reculé mardi soir. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov a jugé «irresponsable» d'envisager des mesures de fermeté contre la République islamique. Selon un diplomate, les autres pays ont fait savoir mardi soir «que pour la crédibilité de notre démarche et pour la crédibilité de la démarche du Conseil, il nous fallait désormais une décision avant la fin de l'année». La volonté de la majorité des pays du groupe est en effet de parvenir à l'unanimité sur de sanctions, même minimes, pour envoyer à Téhéran un message d'unité. <a rel="nofollow" href="http://www.bleueprovenceimmo.fr/sac-banane-lacoste-pas-cher-survetement-lacoste-blanc/" title="parfum lacoste pour femme pas cher">parfum lacoste pour femme pas cher</a> Les discussions reprendront à New-York d'ici à la fin de la semaine.C'EST la rupture version Dupont-Aignan. Le leader de l'aile « républicaine et populaire » de l'UMP lance aujourd'hui sa campagne en dehors des procédures de sélection de l'UMP. Jeudi dernier encore, en développant les raisons de sa propre candidature sur France 2, Nicolas Sarkozy l'avait invité à participer aux « primaires » internes au parti. Il lui a répondu hier sur la même chaîne qu'il s'agissait de « fausses primaires, d'une hypocrisie totale », puisque le chef de l'UMP avait rendu le débat impossible en s'opposant à la création de « courants ».« Pendant quatre ans, on n'a pas eu de démocratie et, entre Noël et le Jour de l'An, Nicolas Sarkozy cherche figurants pour assister à son sacre », a ironisé le fondateur de Debout la République, qui a visiblement élu le favori de la droite comme cible privilégiée. La preuve : Nicolas Dupont-Aignan a refusé de dire pour qui il appellerait à voter dans l'hypothèse, pas complètement improbable, où il serait éliminé au premier tour. <a rel="nofollow" href="http://www.bleueprovenceimmo.fr/sac-banane-lacoste-pas-cher-survetement-lacoste-blanc/" title="parfum lacoste touch of pink pas cher">parfum lacoste touch of pink pas cher</a> <br /> « Je verrai d'abord qui sera au second tour, a-t-il expliqué. Je verrai ensuite le projet de Nicolas Sarkozy. Je dirai très clairement à Nicolas Sarkozy qu'il ne peut pas revenir sur le vote des Français le 29 mai 2005 ».La vocation présidentielle du député de l'Essonne est née en effet pendant sa campagne contre l'adoption de la Constitution européenne. Tout en militant pour le non, il avait refusé, en mars 2005, de soumettre sa position au vote des membres du Conseil national de l'UMP.« Tête-à-queue idéologique »Pour justifier son refus d'affronter Sarkozy en primaire, NDA, comme l'appellent ses supporters, plaide à nouveau que « ce n'est pas aux militants de trancher des questions aussi essentielles que la discrimination positive ou la politique étrangère de la France ». Au nom d'un gaullisme dont il se veut le plus fidèle héritier, il assure qu'il ne veut « pas croire que Michèle Alliot-Marie, elle, acceptera de jouer le jeu ».</div>

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