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started by masquebf1 on 14 Nov 14
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Start a New Topic » « Back to the Digital Ethnography at Kansas State University group
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Un sujet beaucoup plus polémique que le gouvernement, à quelques mois de la présidentielle, pourrait être tenté de ne pas voir discuter à l'Assemblée. Mais il faut noter que le dossier OGM embarrasse depuis longtemps le gouvernement. C'est ainsi que durant l'année 2005, la rédaction du texte de loi a été préparée dans le plus grand secret, passant entre les mains des ministères de l'Agriculture et de la Recherche sans aucune consultation extérieure. CONFRONTÉ au péril atomique iranien, Israël sort timidement de l'ambiguïté nucléaire, pour entrer dans la dissuasion. Exaspéré par l'attitude de Téhéran, qui accueillait une conférence révisionniste sur l'Holocauste et par les propos du président Mahmoud Ahmadinejad mettant en doute la Shoah et appelant à rayer Israël de la carte, le Premier ministre israélien, Ehoud Olmert, n'a pas pu s'empêcher de montrer ses griffes en laissant entendre que l'État hébreu possédait l'arme nucléaire.« Nous n'avons jamais menacé un pays d'annihilation. L'Iran menace ouvertement, explicitement et publiquement de rayer Israël de la carte. nike turf pas chere Pouvez-vous dire qu'il s'agit du même niveau de menace lorsqu'ils (les Iraniens) aspirent à avoir des armes nucléaires, comme la France, les Américains, les Russes et Israël ? », a affirmé Olmert dans une interview diffusée par une chaîne de télévision allemande.Mais le lapsus d'Olmert a provoqué un tollé en Israël. C'est la première fois qu'un dirigeant israélien reconnaît publiquement que l'État hébreu possède l'arme atomique, un secret de polichinelle depuis les révélations du « mouchard atomique » israélien, Mordehaï Vanunu. Les informations transmises par ce technicien de la centrale nucléaire de Dimona à un quotidien britannique en 1986 avaient alors permis aux experts étrangers d'estimer à 200 le nombre d'ogives nucléaires israéliennes pouvant équiper des missiles à longue portée.Considéré comme le père du programme nucléaire israélien, Shimon Pérès avait convaincu la France en 1956 de doter Israël d'une capacité nucléaire dans le cadre des négociations secrètes entre les deux pays sur les préparatifs de l'opération de Suez contre l'Égypte. Informés de cet accord, les États-Unis se sont engagés à ne pas faire pression sur le dossier nucléaire tant qu'Israël ne déclarait pas publiquement qu'il détenait la bombe atomique.«Lapsus irresponsable»Israël contourne ainsi l'embargo financier en vigueur aux États-Unis envers les pays qui participent à la prolifération, qui le priverait de plus de deux milliards de dollars d'aide annuelle américaine. nike air more uptempo pas chere
La semaine dernière, le nouveau patron du Pentagone, Robert Gates, avait déjà mentionné l'État hébreu parmi les puissances nucléaires de la région, suscitant des inquiétudes en Israël. Les propos d'Olmert ont déclenché une nouvelle polémique. Le député du Likoud, Youval Steinitz, a appelé à la démission du Premier ministre à la suite de ce « lapsus irresponsable qui remet en cause une politique datant de près d'un demi-siècle ». Le député d'opposition de gauche Yossi Beilin a dénoncé « les propos stupéfiants d'Olmert qui ne font que renforcer les doutes sur sa capacité à rester Premier ministre ».Le gouvernement israélien affirme que rien n'a changé dans sa politique sur ce dossier. « Israël ne sera pas le premier pays à introduire l'arme nucléaire dans la région », a déclaré la porte-parole du Premier ministre, Miri Eisin, reprenant ainsi une formule utilisée depuis des décennies dans le cadre de la « politique d'ambiguïté nucléaire » israélienne. Qu'il s'agisse d'un lapsus, d'une entorse délibérée à la politique d'ambiguïté ou d'un véritable changement de stratégie, les propos d'Olmert traduisent l'inquiétude de l'État hébreu vis-à-vis de la menace stratégique iranienne.