Assouline, 132 p., 45 euros.(2) Paris, km 00, de Bernard Hermann, préface de Sylvain Tesson, Phébus, 128 p., 30 euros.(3) Jardins de Paris, de Fabrice Moireau et Jean-Pierre Le Dantec, Editions du Pacifique, 96 p., 30 euros. polo lacoste rose pas cher A lire aussi : Parisiens, d'Anne Bougeois, et Nos cinémas de quartier, d'Alain Potignon (Parigramme), Montmartre délires, de Jean Pattou et Pilar Hélène Surgers (Athéna), Les Puces de Paris, de Luc Fournol et Jacqueline Queneau (Editions Le Mécène). Le Figaro Magazine - Pourquoi avoir choisi de donner à la ville une dimension technologique ?Jean-Marie Rausch - Je crois avoir pas mal apporté aussi sur les plans culturel, environnemental - grâce à Jean-Marie Pelt dans ce domaine - et aussi esthétique, avec le lancement d'une campagne de ravalements qui a redonné sa bonne mine à Metz. Mais il est vrai que j'ai compris très tôt qu'il fallait trouver un créneau porteur. Et, grâce à Alain Poher, président du Sénat à l'époque, je me suis intéressé au Minitel. Nous étions alors à la fin des années 70 et un tel outil paraissait révolutionnaire. Un groupe d'étude que j'ai créé au Sénat a travaillé sur la question. Ses conclusions nous ont démontré clairement que l'ordinateur individuel détrônerait le Minitel. sac burberry pas cher Cette constatation, alliée à une forme de prémonition et à la passion que je commençais à concevoir pour l'informatique, m'a permis de prendre de l'avance dans ce domaine pour ma ville. De ce fait, Metz a été la première ville câblée ?Oui, j'ai senti le coup venir. En 1979, nous avons câblé Metz alors qu'en 1982, la France commençait seulement à réaliser des réseaux en fibre optique. Ce choix était à l'époque aussi désastreux que ruineux : 30 milliards de francs. Je me suis battu contre cette technologie qui n'était pas encore au point. Je suis allé aux Etats-Unis, en 1984, pour y rencontrer Nicholas Negroponte, au MIT. Il m'a expliqué ce que serait le multimédia vingt ans plus tard. sac hermes birkin pas cher Vous avez d'ailleurs écrit un livre su
A lire aussi : Parisiens, d'Anne Bougeois, et Nos cinémas de quartier, d'Alain Potignon (Parigramme), Montmartre délires, de Jean Pattou et Pilar Hélène Surgers (Athéna), Les Puces de Paris, de Luc Fournol et Jacqueline Queneau (Editions Le Mécène). Le Figaro Magazine - Pourquoi avoir choisi de donner à la ville une dimension technologique ?Jean-Marie Rausch - Je crois avoir pas mal apporté aussi sur les plans culturel, environnemental - grâce à Jean-Marie Pelt dans ce domaine - et aussi esthétique, avec le lancement d'une campagne de ravalements qui a redonné sa bonne mine à Metz. Mais il est vrai que j'ai compris très tôt qu'il fallait trouver un créneau porteur. Et, grâce à Alain Poher, président du Sénat à l'époque, je me suis intéressé au Minitel. Nous étions alors à la fin des années 70 et un tel outil paraissait révolutionnaire. Un groupe d'étude que j'ai créé au Sénat a travaillé sur la question. Ses conclusions nous ont démontré clairement que l'ordinateur individuel détrônerait le Minitel. sac burberry pas cher Cette constatation, alliée à une forme de prémonition et à la passion que je commençais à concevoir pour l'informatique, m'a permis de prendre de l'avance dans ce domaine pour ma ville. De ce fait, Metz a été la première ville câblée ?Oui, j'ai senti le coup venir. En 1979, nous avons câblé Metz alors qu'en 1982, la France commençait seulement à réaliser des réseaux en fibre optique. Ce choix était à l'époque aussi désastreux que ruineux : 30 milliards de francs. Je me suis battu contre cette technologie qui n'était pas encore au point. Je suis allé aux Etats-Unis, en 1984, pour y rencontrer Nicholas Negroponte, au MIT. Il m'a expliqué ce que serait le multimédia vingt ans plus tard. sac hermes birkin pas cher
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