longchamp pliage soldes pas cher Il - 0 views

• 
  #1 masquebf4 on 30 Dec 14

   

  Qu'est-ce qu'on peut contre ça ? Moi, simplement, je pars vivre à l'étranger. * Actuellement en kiosque. LES DÉPUTÉS UMP n'arrivent plus à faire face au rythme législatif, toujours aussi intense à cinq mois du premier tour de l'élection présidentielle. « Le gouvernement Villepin s'est lancé dans un activisme au jour le jour qui n'a aucun sens », confie un dirigeant de l'UMP. Exemple : les élus de la majorité ne comprennent pas pourquoi il était si urgent d'adopter cette semaine le projet de loi constitutionnelle visant à geler à la date de 1998 le corps électoral néocalédonien pour les élections provinciales futures.« C'est du travail parlementaire symbolique, bâclé en quatre heures, et on voit mal le Parlement être réuni en Congrès à Versailles avant 2007 », dénoncent les sarkozystes Thierry Mariani et Dominique Paillé. « On légifère à la va-vite, et le calendrier ne permettra pas de faire passer les textes au Sénat », ajoute Laurent Wauquiez, sarkozyste lui aussi, qui conseille au gouvernement de « se concentrer sur la sortie des décrets d'application des lois déjà adoptées ». doudoune lacoste pas cher
  La réforme a minima de la justice, pour tenir compte des conclusions de la commission Outreau, fait aussi grincer des dents. « On travaille dans la précipitation. Dire qu'il s'agit d'une nouvelle étape avant une grande réforme de la justice en 2007 ne me paraît pas convaincant », indique Claude Goasguen. Qui ajoute : « La procédure pénale n'est pas du chewing-gum ». Il n'y avait d'ailleurs que vingt députés (sur 577), présents hier en séance, quand le garde des Sceaux Pascal Clément a pris la parole pour ouvrir les débats.« Frénésie malsaine »« Le vécu de la précipitation est très fort chez les députés », témoigne Jean-Michel Dubernard, le président de la commission des affaires sociales, qui court d'une réunion à l'autre, après avoir participé hier matin en séance aux débats sur la création d'un ordre national des infirmiers. « On travaille beaucoup trop rapidement sur des sujets très sérieux. longchamp pliage soldes pas cher Il faut maintenant partir en campagne électorale et arrêter au plus vite les travaux législatifs », enchaîne Philippe Houillon, le président de la commission des lois, qui est sur la brèche depuis le début septembre. Cette commission doit même examiner mercredi prochain, à cinq jours de Noël, le projet de loi réformant le statut pénal du chef de l'État !« Il y a trop de législation dans une période où l'on sait qu'on ne trouvera pas la sérénité, et que les députés ne pensent qu'à labourer leurs circonscriptions en vue de leur réélection », déclarent Bernard Accoyer, le patron des députés UMP, et Jean Leonetti. « Cette frénésie préélectorale est malsaine. À quelques mois d'une élection majeure, on ne devrait légiférer que sur le quotidien », estime le sarkozyste Yves Jego. « À légiférer trop et très rapidement, on accrédite l'idée que l'actuelle majorité n'en a pas fait assez », ironise encore Dominique Paillé. « Il est toujours difficile de légiférer en fin de mandature, car l'absentéisme est grandissant », constate Marc Laffineur. « Les députés ont la tête ailleurs », résument Paul-Henri Cugnenc et Thierry Mariani. sac lancel bb pas cher
  «Paris n'est pas une ville, c'est un pays», disait François Ier. Pour les fêtes, les éditeurs jouent les agents de voyages. Adepte des promenades solitaires, Jean-Michel Berts propose au marcheur une hypothèse incroyable : Paris désert (1). Hormis la page de garde où une ombre furtive effleure la passerelle des Récollets, on ne voit nulle âme dans cette ville qui en a tant. De la Samaritaine à Beaubourg, de ponts en palais, de becs de gaz en réverbères, le tendre noir et blanc de ce lève-tôt réussit le prodige de montrer Paris comme un décor de Trauner. Libérée des hommes, la capitale montre un visage tellement humain qu'il bouleverse. Avant les couloirs de bus et les barrières de fer, on a connu Paris comme ça.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Qu'est-ce qu'on peut contre ça ? Moi, simplement, je pars vivre à l'étranger. * Actuellement en kiosque. LES DÉPUTÉS UMP n'arrivent plus à faire face au rythme législatif, toujours aussi intense à cinq mois du premier tour de l'élection présidentielle. « Le gouvernement Villepin s'est lancé dans un activisme au jour le jour qui n'a aucun sens », confie un dirigeant de l'UMP. Exemple : les élus de la majorité ne comprennent pas pourquoi il était si urgent d'adopter cette semaine le projet de loi constitutionnelle visant à geler à la date de 1998 le corps électoral néocalédonien pour les élections provinciales futures.« C'est du travail parlementaire symbolique, bâclé en quatre heures, et on voit mal le Parlement être réuni en Congrès à Versailles avant 2007 », dénoncent les sarkozystes Thierry Mariani et Dominique Paillé. « On légifère à la va-vite, et le calendrier ne permettra pas de faire passer les textes au Sénat », ajoute Laurent Wauquiez, sarkozyste lui aussi, qui conseille au gouvernement de « se concentrer sur la sortie des décrets d'application des lois déjà adoptées ». <a rel="nofollow" title="doudoune lacoste pas cher" href="http://www.sun-deck.fr/lacoste-pas-cher">doudoune lacoste pas cher</a> <br /> La réforme a minima de la justice, pour tenir compte des conclusions de la commission Outreau, fait aussi grincer des dents. « On travaille dans la précipitation. Dire qu'il s'agit d'une nouvelle étape avant une grande réforme de la justice en 2007 ne me paraît pas convaincant », indique Claude Goasguen. Qui ajoute : « La procédure pénale n'est pas du chewing-gum ». Il n'y avait d'ailleurs que vingt députés (sur 577), présents hier en séance, quand le garde des Sceaux Pascal Clément a pris la parole pour ouvrir les débats.« Frénésie malsaine »« Le vécu de la précipitation est très fort chez les députés », témoigne Jean-Michel Dubernard, le président de la commission des affaires sociales, qui court d'une réunion à l'autre, après avoir participé hier matin en séance aux débats sur la création d'un ordre national des infirmiers. « On travaille beaucoup trop rapidement sur des sujets très sérieux. <a rel="nofollow" title="longchamp pliage soldes pas cher" href="http://www.mintia.fr/longchamp-pas-cher">longchamp pliage soldes pas cher</a> Il faut maintenant partir en campagne électorale et arrêter au plus vite les travaux législatifs », enchaîne Philippe Houillon, le président de la commission des lois, qui est sur la brèche depuis le début septembre. Cette commission doit même examiner mercredi prochain, à cinq jours de Noël, le projet de loi réformant le statut pénal du chef de l'État !« Il y a trop de législation dans une période où l'on sait qu'on ne trouvera pas la sérénité, et que les députés ne pensent qu'à labourer leurs circonscriptions en vue de leur réélection », déclarent Bernard Accoyer, le patron des députés UMP, et Jean Leonetti. « Cette frénésie préélectorale est malsaine. À quelques mois d'une élection majeure, on ne devrait légiférer que sur le quotidien », estime le sarkozyste Yves Jego. « À légiférer trop et très rapidement, on accrédite l'idée que l'actuelle majorité n'en a pas fait assez », ironise encore Dominique Paillé. « Il est toujours difficile de légiférer en fin de mandature, car l'absentéisme est grandissant », constate Marc Laffineur. « Les députés ont la tête ailleurs », résument Paul-Henri Cugnenc et Thierry Mariani. <a rel="nofollow" title="sac lancel bb pas cher" href="http://www.toutetplusencore.fr/sac-lancel-pas-cher">sac lancel bb pas cher</a> <br /> «Paris n'est pas une ville, c'est un pays», disait François Ier. Pour les fêtes, les éditeurs jouent les agents de voyages. Adepte des promenades solitaires, Jean-Michel Berts propose au marcheur une hypothèse incroyable : Paris désert (1). Hormis la page de garde où une ombre furtive effleure la passerelle des Récollets, on ne voit nulle âme dans cette ville qui en a tant. De la Samaritaine à Beaubourg, de ponts en palais, de becs de gaz en réverbères, le tendre noir et blanc de ce lève-tôt réussit le prodige de montrer Paris comme un décor de Trauner. Libérée des hommes, la capitale montre un visage tellement humain qu'il bouleverse. Avant les couloirs de bus et les barrières de fer, on a connu Paris comme ça.</div>

  ...

  Cancel

To Top