longchamp pliage pas cher Quelqu - 0 views

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  #1 masquebf3 on 09 Dec 14

   

  On peut donner acte à la nouvelle direction du PSG d'afficher une vraie volonté de mettre fin à des années de connivence avec des individus infréquentables. Espérons qu'elle ira au bout de ses intentions. Mais elle n'est pas la seule concernée. Le climat nauséabond qui entoure le football ne changera que si chacun balaie devant sa porte. Si les experts et commentateurs de tous poils, par exemple, ne demandent pas la tête d'un entraîneur et ne provoquent pas une crise dès qu'un club ne gagne plus. L'honneur dans le sport, fût-ce le football roi, c'est aussi de savoir perdre. Et que dire de la complaisance à l'égard du dieu Zidane après son coup de tête en finale de Coupe du monde ? Quel crédit a-t-on ensuite pour s'indigner lorsque les supporters se battent dans les tribunes ou aux portes des stades ? De même, combien de temps tolérera-t-on le dénigrement systématique des arbitres, accusés de tous les maux au lendemain d'une défaite ?Tout cela, dira-t-on, n'a qu'un lointain rapport avec les hooligans. sac longchamp soldes
  Eh bien non. Ces comportements apportent chaque jour de l'eau au moulin de leur haine. L'éducation du public commence par un devoir d'exemplarité de la part de ceux qui ­gèrent le football et qui en vivent. Bernard Van Craeynest, président du syndicat CFE-CGC «Nous constatons, parce que nous le mesurons tous les mois, que les cadres sont de plus en plus victimes d'un pouvoir d'achat qui se dégrade. C'est plus particulièrement le cas de certains secteurs comme le commerce et la grande distribution. Les salaires inférieurs au plafond de la Sécurité sociale sont passés, en dix ans, de 14 à 24 %. Et les cadres n'ont droit qu'aux 100 points annuels de la garantie minimale de points. longchamp pliage pas cher Quelqu'un qui, en raison de ses qualifications, de ses compétences et de ses responsabilités se voit attribuer un statut de cadre se doit d'avoir, au minimum à travers son salaire, une reconnaissance. Nous proposons donc un smip (salaire minimum interprofessionnel), soit un smic à destination des cadres au moins égal au plafond de la Sécurité sociale, soit 2 589 eu ros brut par mois. Il s'agit d'un élément du débat sur la reconnaissance des salariés qui ont des responsabilités et qui sont les moteurs de nos entreprises et les moteurs de l'économie. Aujourd'hui, on demande de plus en plus aux cadres et l'on n'accompagne pas ses exigences de la reconnaissance nécessaire. » CONTRE - Sophie de Menthon présidente d'Ethic* «Nous sommes en train de lutter contre la smicardisation de la société. Aujourd'hui, 70 % de la population gagne moins qu'une fois et demie le smic. Or j'estime qu'il faut lutter contre le smic car c'est un système pervers qui coûte des points de croissance. longchamp taupe pas cher
  Le vrai problème, c'est la redéfinition de la hiérarchie et ce que signifie être cadre. Les nouvelles technologies ont cassé le travail à distance, elles ont développé l'autonomie. Désormais, qu'est-ce qu'un cadre supérieur, un cadre moyen ? Le smic cadre est-il pour le cadre moyen ? On obligera alors le patron à recruter des cadres ? Cela n'a pas de sens à une période où l'on a plus que jamais besoin de libéraliser l'emploi. Finalement, avec le smic cadre, on aboutit aux mêmes problèmes qu'avec le contrat de travail unique. On veut que tout le monde chausse du 38 ! Un même contrat de travail pour une femme de ménage, pour un chercheur...

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">On peut donner acte à la nouvelle direction du PSG d'afficher une vraie volonté de mettre fin à des années de connivence avec des individus infréquentables. Espérons qu'elle ira au bout de ses intentions. Mais elle n'est pas la seule concernée. Le climat nauséabond qui entoure le football ne changera que si chacun balaie devant sa porte. Si les experts et commentateurs de tous poils, par exemple, ne demandent pas la tête d'un entraîneur et ne provoquent pas une crise dès qu'un club ne gagne plus. L'honneur dans le sport, fût-ce le football roi, c'est aussi de savoir perdre. Et que dire de la complaisance à l'égard du dieu Zidane après son coup de tête en finale de Coupe du monde ? Quel crédit a-t-on ensuite pour s'indigner lorsque les supporters se battent dans les tribunes ou aux portes des stades ? De même, combien de temps tolérera-t-on le dénigrement systématique des arbitres, accusés de tous les maux au lendemain d'une défaite ?Tout cela, dira-t-on, n'a qu'un lointain rapport avec les hooligans. <a rel="nofollow" title="sac longchamp soldes" href="http://www.filmbox.fr/sac-longchamp-pas-cher">sac longchamp soldes</a> <br /> Eh bien non. Ces comportements apportent chaque jour de l'eau au moulin de leur haine. L'éducation du public commence par un devoir d'exemplarité de la part de ceux qui ­gèrent le football et qui en vivent. Bernard Van Craeynest, président du syndicat CFE-CGC «Nous constatons, parce que nous le mesurons tous les mois, que les cadres sont de plus en plus victimes d'un pouvoir d'achat qui se dégrade. C'est plus particulièrement le cas de certains secteurs comme le commerce et la grande distribution. Les salaires inférieurs au plafond de la Sécurité sociale sont passés, en dix ans, de 14 à 24 %. Et les cadres n'ont droit qu'aux 100 points annuels de la garantie minimale de points. <a rel="nofollow" title="longchamp pliage pas cher" href="http://www.filmbox.fr/sac-longchamp-pas-cher">longchamp pliage pas cher</a> Quelqu'un qui, en raison de ses qualifications, de ses compétences et de ses responsabilités se voit attribuer un statut de cadre se doit d'avoir, au minimum à travers son salaire, une reconnaissance. Nous proposons donc un smip (salaire minimum interprofessionnel), soit un smic à destination des cadres au moins égal au plafond de la Sécurité sociale, soit 2 589 eu ros brut par mois. Il s'agit d'un élément du débat sur la reconnaissance des salariés qui ont des responsabilités et qui sont les moteurs de nos entreprises et les moteurs de l'économie. Aujourd'hui, on demande de plus en plus aux cadres et l'on n'accompagne pas ses exigences de la reconnaissance nécessaire. » CONTRE - Sophie de Menthon présidente d'Ethic* «Nous sommes en train de lutter contre la smicardisation de la société. Aujourd'hui, 70 % de la population gagne moins qu'une fois et demie le smic. Or j'estime qu'il faut lutter contre le smic car c'est un système pervers qui coûte des points de croissance. <a rel="nofollow" title="longchamp taupe pas cher" href="http://www.filmbox.fr/sac-longchamp-pas-cher">longchamp taupe pas cher</a> <br /> Le vrai problème, c'est la redéfinition de la hiérarchie et ce que signifie être cadre. Les nouvelles technologies ont cassé le travail à distance, elles ont développé l'autonomie. Désormais, qu'est-ce qu'un cadre supérieur, un cadre moyen ? Le smic cadre est-il pour le cadre moyen ? On obligera alors le patron à recruter des cadres ? Cela n'a pas de sens à une période où l'on a plus que jamais besoin de libéraliser l'emploi. Finalement, avec le smic cadre, on aboutit aux mêmes problèmes qu'avec le contrat de travail unique. On veut que tout le monde chausse du 38 ! Un même contrat de travail pour une femme de ménage, pour un chercheur...</div>

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