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  #1 masquebf on 02 Dec 14

   

  De temps à autre, Alain Brillat tourne la tête, jette un regard par la fenêtre, guette les mouvements des moutons qui paissent paisiblement de l'autre côté de la Briance. «Là, c'est le troupeau du père Brillat, sourit-il. Comme ça, je n'oublie jamais d'où je viens.» C'est que l'ancien coureur cycliste de 46 ans, titulaire d'un DUT de génie civil, a fait du chemin. A la tête d'une PME de 17 personnes située à Pierre-Buffière, le PDG de Travaux spéciaux du Centre, père de deux garçons, est devenu le concepteur et leader mondial du Projipur. A savoir l'association d'un système d'étanchéité liquide et d'une isolation thermique en mousse polyuréthane projetée. Autrement dit une méthode inédite, véritable petite révolution dans le domaine de l'isolation des toits-terrasses. longchamp le pliage cuir
  Seize fois plus léger et dix fois plus rapide à poser qu'un complexe classique, le Projipur supprime tous les raccords et autres soudures, responsables de la plupart des dégâts des eaux.Il faut dire qu'Alain Brillat, auteur d'un ouvrage sur l'histoire de l'étanchéité de 5 000 ans avant J.-C. jusqu'à nos jours, exerce son activité avec la boulimie des passionnés. «Je n'ai jamais fait que ça et je ne sais faire que ça !» Quand, en 2005, il partage sa trouvaille avec le scientifique Ghislain Croyère, «la sommité mondiale de l'étanchéité adhère à 100%». En 1996, c'est à peine si la fratrie totalisait soixante ans d'âge lorsqu'ils se lancèrent ensemble dans l'aventure.Anne avait franchi le pas trois ans avant, affrontant seule le scepticisme ambiant qui guette inévitablement toute jeune femme arrivant inopinément aux commandes. longchamp le pliage large Mais un frère étant par essence un «ami donné par la nature», comme le dit joliment le poète Gabriel-Marie Legouvé, il était tout à fait normal qu'il finisse par rejoindre sa soeur pour remplir une mission très familiale. Car il s'agissait, ni plus ni moins, d'assurer la pérennité de la marque créée par l'ancêtre alsacien Armand-Raphaël Graser, qui avait voulu honorer le champagne en donnant à sa marque le beau nom de Lenoble. Il y a trois quarts de siècle, il avait posé son sac à Damery, une petite ville située à quelques encablures d'Epernay, qui vit naître, à la fin du XVIIe siècle, la tragédienne Adrienne Lecouvreur. Pas de problème de prééminence entre Anne et Antoine quand il fut question de créer une direction bicéphale. Pas de rivalité fratricide en perspective comme notre histoire de France en recèle tant et tant ! «Le partage des tâches s'est opéré tout naturellement, raconte Anne Malassagne. Antoine ne se voyait pas autrement qu'en bottes sur le terrain et dans les chais. Comme ma formation d'origine me portait davantage vers la gestion, la communication et le contact avec les clients, ma place était toute trouvée. longchamp le pliage large sale
  »Non pas qu'ils se désintéressent du secteur de l'autre. Anne n'ignore rien des particularités du vignoble familial (18 hectares dans la Montagne de Reims) ni de la subtilité des assemblages.Richard Geoffroy : «Le Dom Pérignon nous fascine et nous étreint»«Le style Dom Pérignon, c'est le yin et le yang», explique Richard Geoffroy, 52 ans, l'artisan du succès de Dom Pérignon aux quatre coins du monde. Ce génial vinificateur cultive un style maison depuis 1996 comme chef de cave. Grâce à lui, Dom Pérignon se fraie une voie unique, qui fonctionne partout. Ce qui triomphe, c'est la recherche permanente de cette dualité, un équilibre instable entre l'accessible et le sophistiqué, le sensuel et l'«intello», le tactile et le pudique, comme ce Dom Pérignon Rosé 1996, tout en fondu enchaîné, insaisissable. Pas d'affirmation ostentatoire, pas de certitude.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">De temps à autre, Alain Brillat tourne la tête, jette un regard par la fenêtre, guette les mouvements des moutons qui paissent paisiblement de l'autre côté de la Briance. «Là, c'est le troupeau du père Brillat, sourit-il. Comme ça, je n'oublie jamais d'où je viens.» C'est que l'ancien coureur cycliste de 46 ans, titulaire d'un DUT de génie civil, a fait du chemin. A la tête d'une PME de 17 personnes située à Pierre-Buffière, le PDG de Travaux spéciaux du Centre, père de deux garçons, est devenu le concepteur et leader mondial du Projipur. A savoir l'association d'un système d'étanchéité liquide et d'une isolation thermique en mousse polyuréthane projetée. Autrement dit une méthode inédite, véritable petite révolution dans le domaine de l'isolation des toits-terrasses. <a href="http://www.peintre-artisan-78.fr/sacs-longchamps-pascher/" rel="nofollow" title="longchamp le pliage cuir">longchamp le pliage cuir</a> <br /> Seize fois plus léger et dix fois plus rapide à poser qu'un complexe classique, le Projipur supprime tous les raccords et autres soudures, responsables de la plupart des dégâts des eaux.Il faut dire qu'Alain Brillat, auteur d'un ouvrage sur l'histoire de l'étanchéité de 5 000 ans avant J.-C. jusqu'à nos jours, exerce son activité avec la boulimie des passionnés. «Je n'ai jamais fait que ça et je ne sais faire que ça !» Quand, en 2005, il partage sa trouvaille avec le scientifique Ghislain Croyère, «la sommité mondiale de l'étanchéité adhère à 100%». En 1996, c'est à peine si la fratrie totalisait soixante ans d'âge lorsqu'ils se lancèrent ensemble dans l'aventure.Anne avait franchi le pas trois ans avant, affrontant seule le scepticisme ambiant qui guette inévitablement toute jeune femme arrivant inopinément aux commandes. <a href="http://www.peintre-artisan-78.fr/sacs-longchamps-pascher/" rel="nofollow" title="longchamp le pliage large">longchamp le pliage large</a> Mais un frère étant par essence un «ami donné par la nature», comme le dit joliment le poète Gabriel-Marie Legouvé, il était tout à fait normal qu'il finisse par rejoindre sa soeur pour remplir une mission très familiale. Car il s'agissait, ni plus ni moins, d'assurer la pérennité de la marque créée par l'ancêtre alsacien Armand-Raphaël Graser, qui avait voulu honorer le champagne en donnant à sa marque le beau nom de Lenoble. Il y a trois quarts de siècle, il avait posé son sac à Damery, une petite ville située à quelques encablures d'Epernay, qui vit naître, à la fin du XVIIe siècle, la tragédienne Adrienne Lecouvreur. Pas de problème de prééminence entre Anne et Antoine quand il fut question de créer une direction bicéphale. Pas de rivalité fratricide en perspective comme notre histoire de France en recèle tant et tant ! «Le partage des tâches s'est opéré tout naturellement, raconte Anne Malassagne. Antoine ne se voyait pas autrement qu'en bottes sur le terrain et dans les chais. Comme ma formation d'origine me portait davantage vers la gestion, la communication et le contact avec les clients, ma place était toute trouvée. <a href="http://www.peintre-artisan-78.fr/sacs-longchamps-pascher/" rel="nofollow" title="longchamp le pliage large sale">longchamp le pliage large sale</a> <br /> »Non pas qu'ils se désintéressent du secteur de l'autre. Anne n'ignore rien des particularités du vignoble familial (18 hectares dans la Montagne de Reims) ni de la subtilité des assemblages.Richard Geoffroy : «Le Dom Pérignon nous fascine et nous étreint»«Le style Dom Pérignon, c'est le yin et le yang», explique Richard Geoffroy, 52 ans, l'artisan du succès de Dom Pérignon aux quatre coins du monde. Ce génial vinificateur cultive un style maison depuis 1996 comme chef de cave. Grâce à lui, Dom Pérignon se fraie une voie unique, qui fonctionne partout. Ce qui triomphe, c'est la recherche permanente de cette dualité, un équilibre instable entre l'accessible et le sophistiqué, le sensuel et l'«intello», le tactile et le pudique, comme ce Dom Pérignon Rosé 1996, tout en fondu enchaîné, insaisissable. Pas d'affirmation ostentatoire, pas de certitude.</div>

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