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started by descendants1 descendants1 on 05 Sep 14
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    La mesure du problème«Déjà, 15% de la population a été touchée par la maladie», précise le Pr Flahaut, ajoutant que «les infrastructures hospitalières de l'île tiennent le choc même si la situation est tendue, mais sous contrôle. Mais nous ne serions pas étonnés que de 60 à 70% des habitants seront finalement atteints, avec, dans la moitié des cas, des formes asymptomatiques», nuance-t-il. Et sans qu'il soit possible de dire si l'on a atteint le pic de l'épidémie.Si l'on se base sur d'autres épisodes de chikungunya survenus au Nigeria en 1969 et à Java en 1983, entre 70% et 90% de la population a été infectée. Mais l'on pourrait objecter à ces constatations pessimistes qu'il s'agissait de pays pauvres, dotés de fort peu d'infrastructures sanitaires. A l'inverse de la Réunion où il existe un maillage sanitaire important et de qualité et où les autorités, après avoir un temps sous-estimé la menace, semblent avoir pris la mesure du problème.Mais Jean Marie Le Guen, médecin et responsable des questions de santé pour le groupe socialiste, a sévèrement critiqué hier à l'Assemblée l'action du gouvernement. laver sac pliable longchamps
    «Ce qui a dérapé, c'est la politique sanitaire à la Réunion», a-t-il déclaré, suscitant un tollé dans les rangs de la majorité. «Le fait qu'il s'agisse d'un département d'outre-mer a sans doute conduit le pouvoir central à une certaine négligence alors même que l'environnement tropical aurait dû, au contraire, renforcer l'inquiétude».Pendant longtemps, en effet, le principal moustique vecteur du virus, Aedes albopictus avait été cantonné au Japon. Mais, depuis dix à quinze ans, il s'est répandu comme une traînée de poudre en différents points du globe. Certains incriminent le commerce des pneus par cargo, abritant des colonies de moustiques, pour expliquer cette émergence. C'est dire l'importance de se protéger individuellement par des vêtements à manche longue, des moustiquaires et des répulsifs. «Et d'en distribuer gratuitement aux plus défavorisés», estime le Pr Flahaut. laver un sac longchamps C'est dire aussi la nécessité de détruire les moustiques et leurs larves. «Mais les larves d'Aedes albopictus occupent non seulement des gîtes créés par l'homme pneus, boîtes de conserve vides, carcasses de voitures, mais aussi des sites naturels creux de rochers, bambous coupés ce qui rend très difficile la lutte contre les sites larvaires dans une île aussi accidentée que la Réunion», souligne Christophe Paupy, entomologiste à l'Institut de recherche et développement de Montpellier. Jusqu'ici, on a utilisé le Temephos, mais il va être remplacé par un larvicide moins toxique, pour les habitants et aussi pour la flore et la faune, le BTI (pour Bacillus thuringiensis israeliensis). Même problématique pour les insecticides qui détruisent les moustiques adultes. Le Fenitrothion devrait être remplacé par des pyrethrinoides synthétiques moins toxiques. «Car, effectivement, il y a eu des erreurs de dosage et d'épandage», reconnaît le Pr Flahaut.«Notre arsenal d'insecticides étant limité, nous avons besoin de faire des recherches pour en découvrir d'autres et pour mettre au point de nouvelles stratégies d'application», insiste aussi Christophe Paupy. le bon coin sac longchamps pliage
    (1) Contre 56 cas, fin janvier, sur une population de 160 000 habitants. L'Union européenne n'est pas prête immédiatement à accorder une aide financière extraordinaire aux éleveurs français, italiens et grecs frappés par les conséquences économiques de l'apparition, chez des oiseaux sauvages, du virus de la grippe aviaire. Six pays enregistrent à ce jour la présence du H5N1, découverte qui s'est traduite par une baisse de la consommation de volailles. À l'occasion d'un Conseil agricole européen, trois ministres, dont le Français Dominique Bussereau, avaient sollicité un tel appui.«Nous devons intervenir avec les moyens du bord», leur a répondu hier le commissaire européen à l'Agriculture, Marian Fischer Boel, soulignant le fait que les élevages restent, pour l'instant, à l'abri de l'épizootie. «Les conditions pour des mesures extraordinaires visant à soutenir les marchés avicoles ne sont pas réunies», a-t-elle précisé. Dans le futur, cependant, cette doctrine pourrait être révisée.

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