On croit comprendre aussi ce qui anime les bergers des hauts plateaux comme la population entière du Sikkim. Cette paix intérieure, ce renoncement qui n'est pas une défaite.Cette plénitude, cette sagesse sont partout présentes. Dans les rizières en terrasses, dans les cascades qui jaillissent des montagnes et rejoignent les rivières encaissées dans des gorges de pyrite. Dans la rue de Yuksom avec ses minuscules échoppes, où le tailleur côtoie le barbier. Et dans la lumière du soir, quand, à travers tout le Sikkim, les lungpas (drapeaux de prières du bouddhisme) flottent sous le vent. Mais c'est encore au coeur des monastères qu'elles vibrent le mieux. doudoune lacoste pas cher Il faut aller de Pemayangste à Sangacholing, à l'ouest, passer à l'est par Rumtek et Phodang, où Alexandra David-Néel fit étape, sans oublier le sublime site de Tashiding et les petits monastères, presque anonymes, essaimés au bord des routes escarpées. Les monastères perpétuent autant des croyances qu'un art de vivre, c'est-à-dire une façon de respecter la vie.Le monastère de Yung Drung Bon Kundrak Lingbon, sur le chemin de Ravongla, est de ceux-là. Vingt-quatre jeunes moines y vivent et suivent les enseignements du lama Yungdrung Tsultrim. Nyma Dukta a 18 ans et le crâne nu. Il vit au monastère depuis dix ans. «Je suis venu pour dédier ma vie à la prière et à la méditation. lacoste pas cher C'est ma vocation depuis l'enfance. Je voudrais devenir lama...» Lorsqu'on lui demande combien d'années cela peut prendre, il vous regarde d'un air surpris : «Cela n'a aucune importance, il n'y a pas de limites.»Oui, la notion du temps est différente.. polo lacoste pas cher . Ainsi, Pema Tshoden est-elle venue mourir à Tashiding. La légende veut que la colline où le monastère a été bâti possède la même «énergie» que le mont Kailash, au Tibet. Les Rinpoché viennent s'éteindre ici. Pema Tshoden était une nonne, une sainte, la réincarnation d'un grand lama. Elle avait 86 ans.Peu après son arrivée de Gantok, elle entre en méditation.
Il faut aller de Pemayangste à Sangacholing, à l'ouest, passer à l'est par Rumtek et Phodang, où Alexandra David-Néel fit étape, sans oublier le sublime site de Tashiding et les petits monastères, presque anonymes, essaimés au bord des routes escarpées. Les monastères perpétuent autant des croyances qu'un art de vivre, c'est-à-dire une façon de respecter la vie.Le monastère de Yung Drung Bon Kundrak Lingbon, sur le chemin de Ravongla, est de ceux-là. Vingt-quatre jeunes moines y vivent et suivent les enseignements du lama Yungdrung Tsultrim. Nyma Dukta a 18 ans et le crâne nu. Il vit au monastère depuis dix ans. «Je suis venu pour dédier ma vie à la prière et à la méditation. lacoste pas cher C'est ma vocation depuis l'enfance. Je voudrais devenir lama...» Lorsqu'on lui demande combien d'années cela peut prendre, il vous regarde d'un air surpris : «Cela n'a aucune importance, il n'y a pas de limites.»Oui, la notion du temps est différente.. polo lacoste pas cher
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