Lacoste Homme pas cher L - 0 views

• 
  #1 masquebf3 on 02 Mar 15

   

  « Pour nous, lance Claude Fruchart, d'Areva, la mobilité fait naturellement partie du développement de carrière ; elle peut bien sûr s'accompagner d'un mouvement géographique, voire d'une mobilité internationale car le défi de l'énergie est mondial. La mobilité est dans la logique même de l'évolution des métiers ». Et Olivier Münch (Spie) de surenchérir : « C'est la condition sine qua non pour que notre entreprise fonctionne à l'international et pour que nos ingénieurs soient mobiles ».Le commerce et la politique climatique peuvent sembler devoir être des alliés naturels. Les transports, qui représentent la courroie de transmission du commerce moderne, sont, après tout, responsables du tiers des émissions de carbone dans le monde. Il est désormais indispensable d'écologiser les transports et la croissance économique qui en dépend. Ne pourrait-on pas également canaliser la dynamique du commerce en faveur d'une résolution du problème du changement climatique ? Je crois que cela est possible. Lacoste pas cher
  Premièrement, nous devons penser différemment au sujet des changements climatiques et de la compétitivité. À court terme, la ­réduction des émissions de carbone imposera des frais et une perte de compétitivité pour les sociétés et les particuliers en Europe. Les entre­prises et l'industrie feront évidemment pression pour garantir que l'Europe ne soit pas beaucoup trop en avance par rapport à ses concurrents. Nous savons cependant que le train du changement climatique ne peut pas se permettre d'avancer à la vitesse du wagon le plus lent.Nos intérêts à long terme nous obligent à changer, mais il est probablement dans notre intérêt économique immédiat d'être les premiers à le faire. L'Europe a un avantage comparatif dans les technologies permettant de traiter la crise climatique. Les entreprises européennes doivent voir le changement climatique comme une chance. Lacoste Homme pas cher L'économie de l'Europe repose pour l'essentiel sur des biens et services ne faisant pas l'objet d'échanges internationaux. Cependant, nous devons entraîner les autres à notre suite. La Chine ­deviendra le plus gros émetteur de CO2 dans les prochaines années et l'Inde, avec son milliard d'habitants, ne sera pas loin derrière. Nous sommes confrontés au défi pressant de rendre la croissance ­durable pour la planète. Cela implique d'adop­ter des versions plus propres des technologies actuelles, mais aussi des types de technologie énergétique qui rompent entièrement le lien entre l'utilisation d'énergie et l'émission de gaz à effet de serre. C'est là que le commerce peut contribuer à résoudre le problème. Les gouvernements accepteront des cibles d'émission, mais leur atteinte dépendra des technologies dont disposeront leurs industries. Lacoste Femme pas cher
  Les échanges de droits d'émission peuvent accroître le coût de l»émission des gaz à effet de serre, mais le commerce et le transfert de technologies écologiques parviendront ­finalement à réduire les émissions.L'une des manières de voir le protocole de Kyoto se fait sous l'angle des investissements et des ­accords commerciaux. Les investissements et le commerce des services peuvent diffuser l'expérience, les qualifications et les technologies respectueuses du climat dans l'économie mondiale. Les entreprises européennes exportent déjà des parcs éoliens et des panneaux solaires vers la Chine. L'expertise européenne découlant de ce commerce est appliquée par les professionnels locaux et l'industrie ­locale. Nous pouvons littéralement exporter les instruments et l'expertise nécessaires au traitement du changement climatique. Il découle du protocole de Kyoto l'obligation de créer un marché mondial ouvert des technologies environnementales, permettant aux technologies et investissements écologiques de ­circuler plus librement.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">« Pour nous, lance Claude Fruchart, d'Areva, la mobilité fait naturellement partie du développement de carrière ; elle peut bien sûr s'accompagner d'un mouvement géographique, voire d'une mobilité internationale car le défi de l'énergie est mondial. La mobilité est dans la logique même de l'évolution des métiers ». Et Olivier Münch (Spie) de surenchérir : « C'est la condition sine qua non pour que notre entreprise fonctionne à l'international et pour que nos ingénieurs soient mobiles ».Le commerce et la politique climatique peuvent sembler devoir être des alliés naturels. Les transports, qui représentent la courroie de transmission du commerce moderne, sont, après tout, responsables du tiers des émissions de carbone dans le monde. Il est désormais indispensable d'écologiser les transports et la croissance économique qui en dépend. Ne pourrait-on pas également canaliser la dynamique du commerce en faveur d'une résolution du problème du changement climatique ? Je crois que cela est possible. <a rel="nofollow" title="Lacoste pas cher" href="http://www.cda-jazz.fr/">Lacoste pas cher</a> <br /> Premièrement, nous devons penser différemment au sujet des changements climatiques et de la compétitivité. À court terme, la ­réduction des émissions de carbone imposera des frais et une perte de compétitivité pour les sociétés et les particuliers en Europe. Les entre­prises et l'industrie feront évidemment pression pour garantir que l'Europe ne soit pas beaucoup trop en avance par rapport à ses concurrents. Nous savons cependant que le train du changement climatique ne peut pas se permettre d'avancer à la vitesse du wagon le plus lent.Nos intérêts à long terme nous obligent à changer, mais il est probablement dans notre intérêt économique immédiat d'être les premiers à le faire. L'Europe a un avantage comparatif dans les technologies permettant de traiter la crise climatique. Les entreprises européennes doivent voir le changement climatique comme une chance. <a rel="nofollow" title="Lacoste Homme pas cher" href="http://www.cda-jazz.fr/">Lacoste Homme pas cher</a> L'économie de l'Europe repose pour l'essentiel sur des biens et services ne faisant pas l'objet d'échanges internationaux. Cependant, nous devons entraîner les autres à notre suite. La Chine ­deviendra le plus gros émetteur de CO2 dans les prochaines années et l'Inde, avec son milliard d'habitants, ne sera pas loin derrière. Nous sommes confrontés au défi pressant de rendre la croissance ­durable pour la planète. Cela implique d'adop­ter des versions plus propres des technologies actuelles, mais aussi des types de technologie énergétique qui rompent entièrement le lien entre l'utilisation d'énergie et l'émission de gaz à effet de serre. C'est là que le commerce peut contribuer à résoudre le problème. Les gouvernements accepteront des cibles d'émission, mais leur atteinte dépendra des technologies dont disposeront leurs industries. <a rel="nofollow" title="Lacoste Femme pas cher" href="http://www.cda-jazz.fr/">Lacoste Femme pas cher</a> <br /> Les échanges de droits d'émission peuvent accroître le coût de l»émission des gaz à effet de serre, mais le commerce et le transfert de technologies écologiques parviendront ­finalement à réduire les émissions.L'une des manières de voir le protocole de Kyoto se fait sous l'angle des investissements et des ­accords commerciaux. Les investissements et le commerce des services peuvent diffuser l'expérience, les qualifications et les technologies respectueuses du climat dans l'économie mondiale. Les entreprises européennes exportent déjà des parcs éoliens et des panneaux solaires vers la Chine. L'expertise européenne découlant de ce commerce est appliquée par les professionnels locaux et l'industrie ­locale. Nous pouvons littéralement exporter les instruments et l'expertise nécessaires au traitement du changement climatique. Il découle du protocole de Kyoto l'obligation de créer un marché mondial ouvert des technologies environnementales, permettant aux technologies et investissements écologiques de ­circuler plus librement.</div>

  ...

  Cancel

To Top