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  #1 descendants1 descendants1 on 06 Aug 14

   

  Et tout cela à cause de malheureuses petites artères d'à peine 2 à 3 millimètres de diamètre qui seraient insignifiantes si elles n'avaient pour fonction de nourrir un muscle qui nous est particulièrement utile : le coeur. Car le coeur est un muscle et, comme tous les autres, il a besoin d'être alimenté en oxygène pour pouvoir remplir son office. Presque de l'auto-alimentation, puisque ces artères, les coronaires, prennent leur source juste à la sortie du coeur. Le sang sort du ventricule gauche pour retourner aussitôt dans le coeur, mais cette fois dans l'épaisseur du muscle. Les deux coronaires se ramifient très vite pour enserrer l'organe dans un réseau nourricier. Le problème, c'est que des vaisseaux aussi fins risquent de se boucher. «Le cholestérol, le diabète, l'hérédité, le tabagisme, la sédentarité et même le stress, isolés ou associés, sont autant de facteurs de risque d'athérosclérose», indique le Pr Patrick Nataf, chef de service de chirurgie cardiaque et vasculaire à l'hôpital Bichat. lacoste tee shirt pas cher
  L'athérosclérose, c'est la formation de plaques d'athérome qui se forment à l'intérieur des artères, allant parfois jusqu'à les boucher. Savoir que l'on possède plusieurs facteurs de risque doit amener à consulter. De même qu'une douleur ou une gêne thoracique. Heureusement, un traitement médical, associé à une meilleure hygiène de vie, peut apporter une solution à de nombreux patients. Pour les cas les plus sérieux, il existe encore des recours : «L'examen par coronarographie (une sonde est introduite dans les artères jusqu'aux coronaires) permet de voir l'état de la paroi sous la plaque, explique le Pr Nataf. Si l'artère est dilatable, on pratiquera une angioplastie en gonflant un ballonnet qui écrasera la plaque d'athérome et on posera presque toujours un stent, petit ressort qui maintiendra la coronaire bien ouverte. Si l'artère n'est pas dilatable ou est vraiment bouchée, on choisira un pontage. lacoste casquette pas cher » Dans ce cas, on prélève une veine ou une artère, sur la jambe par exemple, pour l'implanter en enjambant la partie bouchée de la coronaire. C'est lourd, mais avec une vie retrouvée au terme de l'opération.Le troisième roman de Metin Arditi va vous l'apprendre : un sexagénaire genevois, habitué des bonnes et des belles fortunes, s'il entre dans une pharmacie et demande, ordonnance à l'appui, du Viagra, va retomber dans les rougeurs et le balbutiement d'autrefois. On reste un gamin, dit-on, dans ces cas-là. Comme il avait eu peur alors que le Homais de Cornavin ne révélât dans l'officine, à voix tonitruante, les souhaits moites et peccamineux que bafouillait un petit garçon grandi trop vite. Le Viagra ? ce serait pour bientôt.. lacoste pas cher avis
  .Je ne commence pas par-là pour faire croire que Metin Arditi, né en Turquie en 1945 et devenu Genevois, a écrit «sur» le médicament miracle (ou médicament piège ?). Il y a pourtant de ça - vous allez le voir. Au vrai, récit très complexe : il y a là un roman social classique, cosmopolite, moqueur. Personnages des salons de palace, élégance garantie, grand genre. Puis nous entrons dans un roman savant, intimidant. L'auteur n'hésite pas à le démystifier : monde des hauts courtiers, «professeurs de beauté», spécialistes des rayons X, éternels flâneurs de Toscane et familiers du Getty (ainsi parle-t-on entre initiés).

   

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