Skip to main content

Home/ Digital Ethnography at Kansas State University/ hermès birkin taille 35 Le
qfqxbyf1

hermès birkin taille 35 Le - 0 views

echarpe hermes pas cher hermès birkin taille 35 foulard prezzi

started by qfqxbyf1 on 08 Dec 14
  • qfqxbyf1
     
    Derrière le Granma, qui semblait porté par une mer de jeunes pionniers, des colonnes de guérilleros, en treillis d'époque, ouvraient la voie aux détachements plus disciplinés et aux vieux chars et blindés de fabrication soviétique. L'un de ces engins vétustes a failli tout gâcher lorsqu'il est tombé en panne juste au moment où il passait devant la tribune, obligeant les suivants à de délicates manoeuvres pour l'éviter. Le malheureux tankiste a fini par redémarrer, sauvant l'honneur de la parade.Avant de se couler, en cette occasion hautement symbolique, dans le rôle de chef d'État et de commandant en chef, Raul Castro était resté discret, ne faisant que quelques rares interventions depuis quatre mois. Son discours à la tribune de la place de la révolution, dans lequel il a proposé aux États-Unis de discuter pour trouver une solution politique au différend qui les oppose à Cuba (lire encadré ci-dessous), est de loin le plus significatif. L'initiative confirme qu'en l'absence de Fidel, bête noire de Washington, la situation cubaine peut évoluer. Elle confirme aussi que tout espoir de changement réel passe par une détente avec l'« impérialisme américain ». echarpe hermes pas cher
    Car le blocus imposé par Washington et les sanctions qui l'accompagnent sont utilisés par le régime pour justifier, d'une part, l'état de délabrement dans lequel se trouvent des pans entiers de l'économie et, d'autre part, la répression des dissidents, qualifiés, dans la phraséologie officielle, de « mercenaires » des États-Unis. Les responsables cubains ne cessent de dénoncer le « plan Bush » visant à favoriser l'émergence d'une opposition démocratique dans l'île, et se plaignent du suivisme de l'Union européenne à l'égard de Washington depuis l'adoption, en 1996, d'une politique commune à l'égard de Cuba. D'où l'insistance de Raul Castro sur le principe de « non-ingérence », comme préalable à toute négociation avec Washington.Dans la période d'incertitude qui s'est ouverte cet été avec la maladie de Fidel Castro, la crainte d'une tentative de déstabilisation était réelle. Elle ne s'est pas matérialisée : « Quelles n'ont pas été la surprise et la frustration de nos ennemis en constatant la fermeté, la sérénité, la maturité et la confiance en soi dont a fait preuve notre peuple au cours des quatre derniers mois », s'est félicité Raul Castro.Il n'en reste pas moins qu'avec l'effacement de Fidel, le chef incontesté, tous les responsables insistent sur l'absolue nécessité d'éviter les divisions afin de préserver l'héritage de la révolution. Le rôle du secrétariat du Parti communiste, tombé en désuétude, a été renforcé tandis que Raul Castro, ministre des Forces armées révolutionnaires, s'appuie sur le soutien des militaires qui contrôlent par ailleurs une part importante de l'économie, notamment dans le secteur lucratif du tourisme. hermès birkin taille 35 Le mot d'ordre général est à l'effacement des individualités au profit d'un mode de direction collective.« À Cuba, il n'y aura pas de succession. Il y aura la continuité », a lancé le vice-président Carlos Lage, lors de son intervention pour clôturer l'hommage à Fidel Castro. C'était une mise en garde, l'annonce d'un renforcement de la discipline interne : « Il est impossible d'avoir un autre Fidel. Personne ne peut l'imiter. Nous serons nombreux à le suivre mais il n'y aura pas de divisions entre révolutionnaires, comme nous en avons connu dans le passé. Il n'y aura pas d'ambitions personnelles, d'égoïsmes et de vanités individuelles. foulard hermes prezzi
    Nous ne le permettrons pas. Nous avons un seul parti. »Chasse à la corruptionEn cette période délicate, le durcissement s'observe aussi dans d'autres domaines. La chasse à la corruption a été relancée pour éviter tout mécontentement dans une société où les inégalités se sont accrues. Les produits qui disparaissent des magasins d'État pour être revendus moins cher au marché noir sont ainsi devenus plus difficiles à trouver, raconte un habitant de la capitale.Pour beaucoup de militants, il va falloir apprendre à vivre sans Fidel. « Il y a beaucoup de problèmes que nous devrons résoudre nous-mêmes sans attendre que Fidel nous donne la solution », reconnaît Enrique Gomez Cabeza, un dirigeant des jeunesses communistes.

To Top

Start a New Topic » « Back to the Digital Ethnography at Kansas State University group