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  #1 qfqxbyf1 on 09 Dec 14

   

  Hier après-midi, le général était conscient, respirait sans assistance, et son état était stationnaire.Le général Pinochet a dirigé le Chili pendant dix-sept ans après avoir pris le pouvoir par un coup d'État le 11 septembre 1973. Il a fêté discrètement ses 91 ans la semaine dernière. Il a été assigné à résidence le mois dernier par un juge chilien dans le cadre de l'affaire de la « Caravane de la mort », nom d'un escadron qui a sillonné le Chili après le putsch de 1973 pour exécuter les opposants.À l'occasion de ses 91 ans, Augusto Pinochet avait déclaré, dans un message lu par son épouse, Lucia Hiriart : « Aujourd'hui, proche de la fin de mes jours, j'assume la responsabilité politique (de mes actions) », ajoutant qu'il « ne gardait rancoeur à personne ».Les organisations de défense des droits de l'Homme estiment que plus de 3 000 personnes sont mortes ou ont disparu durant les dix-sept années de la dictature. Ses partisans ont justifié ses pires actions par la lutte contre le communisme à l'époque de la guerre froide. echarpe hermes pas cher
  Isolé, l'ancien dictateur ne joue plus, depuis plusieurs années, de rôle politique dans son pays. Rattrapé plusieurs fois par la justice, interrogé à diverses reprises, Augusto Pinochet a toujours échappé à un procès ou à l'emprisonnement. La Cour suprême a considéré en juillet 2002 qu'il souffrait de « démence modérée » et ne pouvait­ se défendre devant les tribunaux. Pour la troisième journée d'affilée, plusieurs centaines de manifestants prosyriens campaient hier face au Grand Sérail, le siège du gouvernement libanais, dans le centre-ville de Beyrouth. De grandes tentes blanches et des toilettes portatives ont été installées. Tout se déroulait dans le calme sous l'oeil du service d'ordre du Hezbollah, formé en partie d'ex-combattants de la guerre contre l'armée israélienne. Le marathon du Liban a même eu lieu, comme prévu, dans les rues de la capitale. hermès birkin taille 35 L'entrée du Grand Sérail est restée libre, sous la protection de l'armée. Dans la matinée, une messe y a été célébrée à la mémoire du ministre Pierre Gemayel, assassiné le 21 novembre.« Seul le dialogue peut apporter une solution politique », a déclaré le premier ministre Fouad Siniora, chef de la coalition antisyrienne qui a réaffirmé sa volonté de résister au « coup d'État », fomenté selon lui par Damas. Les mouvements chiites Hezbollah et Amal, le Courant patriotique libre de l'ex-général chrétien Michel Aoun et des partis prosyriens réclament toujours la formation d'un cabinet d'union nationale.Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, est arrivé hier à Beyrouth pour tenter de dénouer le bras de fer. « Nous sommes tous inquiets de la situation au Liban », a-t-il déclaré. Samedi, le président égyptien Hosni Moubarak avait critiqué les ingérences étrangères qui risquent de « détruire » le Liban. foulard hermes prezzi
  À Damas, le ministre syrien Fayçal Mekdad a exprimé son soutien au gouver- nement d'union nationale revendiqué par l'opposition. ILS SONT VENUS, ils sont tous là : envoyés par l'Union européenne, par l'Organisation des États américains, par le Mercosur, par le centre Carter ou à l'invitation du Conseil national électoral vénézuélien, 1 200 observateurs internationaux sont arrivés cette semaine à Caracas pour s'assurer de la régularité du scrutin présidentiel de demain. Tout le monde a à l'esprit le catastrophique épisode de l'élection législative de décembre dernier. À l'époque, l'opposition avait préféré se désister quelques jours avant le scrutin jugeant ses conditions irrégulières. Résultat : le Congrès est entièrement dominé par les partisans du président, ce qui exclut ses adversaires de toutes les décisions. « Cette fois-ci au moins, Manuel Rosales ira jusqu'au bout », confie, rassuré, un des chefs de la délégation européenne. « Mais les adversaires de Chavez sont toujours convaincus qu'il peut leur voler la victoire », ajoute-t-il.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Hier après-midi, le général était conscient, respirait sans assistance, et son état était stationnaire.Le général Pinochet a dirigé le Chili pendant dix-sept ans après avoir pris le pouvoir par un coup d'État le 11 septembre 1973. Il a fêté discrètement ses 91 ans la semaine dernière. Il a été assigné à résidence le mois dernier par un juge chilien dans le cadre de l'affaire de la « Caravane de la mort », nom d'un escadron qui a sillonné le Chili après le putsch de 1973 pour exécuter les opposants.À l'occasion de ses 91 ans, Augusto Pinochet avait déclaré, dans un message lu par son épouse, Lucia Hiriart : « Aujourd'hui, proche de la fin de mes jours, j'assume la responsabilité politique (de mes actions) », ajoutant qu'il « ne gardait rancoeur à personne ».Les organisations de défense des droits de l'Homme estiment que plus de 3 000 personnes sont mortes ou ont disparu durant les dix-sept années de la dictature. Ses partisans ont justifié ses pires actions par la lutte contre le communisme à l'époque de la guerre froide. <a title="echarpe hermes pas cher" href="http://www.virginiecreations.fr/sac-hermes-pas-cher" rel="nofollow">echarpe hermes pas cher</a> <br /> Isolé, l'ancien dictateur ne joue plus, depuis plusieurs années, de rôle politique dans son pays. Rattrapé plusieurs fois par la justice, interrogé à diverses reprises, Augusto Pinochet a toujours échappé à un procès ou à l'emprisonnement. La Cour suprême a considéré en juillet 2002 qu'il souffrait de « démence modérée » et ne pouvait­ se défendre devant les tribunaux. Pour la troisième journée d'affilée, plusieurs centaines de manifestants prosyriens campaient hier face au Grand Sérail, le siège du gouvernement libanais, dans le centre-ville de Beyrouth. De grandes tentes blanches et des toilettes portatives ont été installées. Tout se déroulait dans le calme sous l'oeil du service d'ordre du Hezbollah, formé en partie d'ex-combattants de la guerre contre l'armée israélienne. Le marathon du Liban a même eu lieu, comme prévu, dans les rues de la capitale. <a title="hermès birkin taille 35" href="http://www.virginiecreations.fr/sac-hermes-pas-cher" rel="nofollow">hermès birkin taille 35</a> L'entrée du Grand Sérail est restée libre, sous la protection de l'armée. Dans la matinée, une messe y a été célébrée à la mémoire du ministre Pierre Gemayel, assassiné le 21 novembre.« Seul le dialogue peut apporter une solution politique », a déclaré le premier ministre Fouad Siniora, chef de la coalition antisyrienne qui a réaffirmé sa volonté de résister au « coup d'État », fomenté selon lui par Damas. Les mouvements chiites Hezbollah et Amal, le Courant patriotique libre de l'ex-général chrétien Michel Aoun et des partis prosyriens réclament toujours la formation d'un cabinet d'union nationale.Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, est arrivé hier à Beyrouth pour tenter de dénouer le bras de fer. « Nous sommes tous inquiets de la situation au Liban », a-t-il déclaré. Samedi, le président égyptien Hosni Moubarak avait critiqué les ingérences étrangères qui risquent de « détruire » le Liban. <a title="foulard hermes prezzi" href="http://www.virginiecreations.fr/sac-hermes-pas-cher" rel="nofollow">foulard hermes prezzi</a> <br /> À Damas, le ministre syrien Fayçal Mekdad a exprimé son soutien au gouver- nement d'union nationale revendiqué par l'opposition. ILS SONT VENUS, ils sont tous là : envoyés par l'Union européenne, par l'Organisation des États américains, par le Mercosur, par le centre Carter ou à l'invitation du Conseil national électoral vénézuélien, 1 200 observateurs internationaux sont arrivés cette semaine à Caracas pour s'assurer de la régularité du scrutin présidentiel de demain. Tout le monde a à l'esprit le catastrophique épisode de l'élection législative de décembre dernier. À l'époque, l'opposition avait préféré se désister quelques jours avant le scrutin jugeant ses conditions irrégulières. Résultat : le Congrès est entièrement dominé par les partisans du président, ce qui exclut ses adversaires de toutes les décisions. « Cette fois-ci au moins, Manuel Rosales ira jusqu'au bout », confie, rassuré, un des chefs de la délégation européenne. « Mais les adversaires de Chavez sont toujours convaincus qu'il peut leur voler la victoire », ajoute-t-il.</div>

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