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    « Ce n'est qu'en vous montrant rigoureux et courageux que vous pourrez éviter de décevoir les nombreuses personnes qui se tournent vers les Nations unies pour y trouver un soutien dans la lutte pour les droits de l'homme », a-t-il dit. Depuis sa création en juin, le nouvel organe onusien a en effet tenu trois sessions spéciales, toutes consacrées au conflit israélo-arabe. Pour le secrétaire général, il était temps que les 47 États membres du Conseil élargissent leur horizon. La session spéciale sur le Darfour, aujourd'hui, vise non seulement à rappeler au Soudan que la société internationale se préoccupe de la situation, mais aussi à améliorer le lustre d'un Conseil des droits de l'homme peu convaincant.Intérêts divergentsLa réunion doit aboutir à l'envoi d'une mission d'évaluation sur le terrain. Mais les membres du Conseil doivent trancher entre deux résolutions portées par des groupes aux intérêts divergents : celle présentée par la Finlande, présidente en exercice de l'UE, l'autre par l'Algérie, au nom du groupe africain. La composition de la mission est le point de friction : experts indépendants pour les uns, représentants d'États membres du Conseil des droits de l'homme pour les seconds. echarpe Chanel pas cher
    « Nous voulons une réelle évaluation de la situation sur le terrain, vu que le Soudan affirme que les informations produites jusqu'ici par les observateurs envoyés ne sont pas correctes », explique l'ambassadeur de Finlande, Vesa Himanen.Alors que l'ONU estime à 200 000 le nombre de personnes tuées depuis 2003, un représentant soudanais récemment venu à Genève, Mustafa Farah, a qualifié ces données de « fallacieuses », en admettant un chiffre de seulement « 9 000 morts ». PROVOCATION, coup médiatique ou tactique Politique ? Le gotha des révisionnistes étrangers, qui nient l'existence du génocide des Juifs, s'est retrouvé hier dans un bâtiment officiel de Téhéran pour une conférence sur l'Holocauste patronnée par le ministère des Affaires étrangères. Venus de trente pays, une soixantaine de « chercheurs » – dont l'ancien membre du Ku Klux Klan David Duke et le Français Robert Faurisson – ont participé à la plus grande manifestation négationniste jamais organisée dans un pays musulman. L'objectif affiché par Téhéran : apporter des réponses aux « questions sur l'Holocauste » posées par le président Mahmoud Ahmadinejad. En fait, il s'agit de contester une nouvelle fois la Shoah, de nier l'existence des chambres à gaz et de remettre en cause le chiffre de six millions de Juifs tués pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans son discours d'ouverture, le chef de la diplomatie iranienne, Manouchehr Mottaki, n'y est pas allé de main morte : il a carrément comparé le sionisme au nazisme. Echarpe Chanel Mais, pour lui, la conférence est une manifestation de la liberté d'expression qui règne en Iran : « Son principal but est de créer une opportunité pour les penseurs qui ne peuvent pas exprimer leurs opinions sur l'Holocauste librement en Europe », a-t-il dit. Ce n'est pas la première fois que le président iranien, élu en juin 2005, conteste la réalité de la Shoah. L'Iran ne reconnaît pas Israël etMahmoud Ahmadinejad a déjà affirmé que le génocide des Juifs était un «mythe » inventé pour justifier la création d'Israël, un « prétexte » au développement du sionisme. Il a appelé à plusieurs reprises à « rayer Israël de la carte ». L'été dernier, le numéro un iranien s'est permis d'envoyer une lettre à la chancelière Angela Merkel, à qui il demandait d'affirmer que l'Holocauste était une création du «monde antigermanique ». Et, au début de l'année, l'Iran a répondu aux caricatures de Mahomet en organisant un concours international sur la Shoah à Téhéran. À chaque fois, les provocations du pouvoir iranien sur Israël et les Juifs provoquent un véritable tollé dans le monde occidental. http://www.desmarquesprivees.fr/
    Ce qui n'empêche pas le président iranien de récidiver. Loin d'être des gaffes, ses insultes antisémites sont répétées et assumées. « Pourquoi ? Parce que c'est interdit. Ahmadinejad veut montrer qu'il n'a peur de personne et qu'il peut intervenir sur tous les grands sujets qui touchent le monde occidental, surtout au Moyen-Orient. C'est un moyen d'être pris au sérieux », explique Bernard Hourcade, spécialiste de l'Iran au CNRS. La méthode fonctionne. « Lorsque Khatami parlait du dialogue des civilisations, on ne le prenait pas en considération.

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