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  #1 descendants1 descendants1 on 09 Aug 14

   

  Pour être un candidat crédible aux yeux de l'opinion, il ne suffit pas d'avoir une bonne image, il faut aussi être en situation. À l'oreille de tous ceux qui seraient tentés de négliger cette loi d'airain de la politique, l'enquête TNS-Sofres que nous publions sonnera comme un - brutal - rappel à la réalité.Depuis dix jours, les chiraquiens, qui ne se résignent pas à la désignation de Nicolas Sarkozy, font feu de tout bois contre leur vieil ennemi. Dominique de Villepin affirme que le président de l'UMP n'est pas « le seul candidat possible ». Michèle Alliot-Marie piaffe à l'idée de se lancer. L'objectif est transparent : il s'agit d'installer l'idée qu'un autre - à côté de lui ou à sa place - ferait mieux que Sarkozy.À lire notre sondage, il apparaît que les électeurs, pour l'heure, ne sont pas de cet avis. short burberry pas cher
  Candidats « en plus », MAM et Villepin ne dépassent pas les 5 % ; leur présence au premier tour n'ajoute rien au score de l'UMP. Candidats « à la place », ils font moitié moins que le ministre de l'Intérieur, loin, très loin derrière Ségolène Royal, qui les éreinte au second tour. Les « nombreux militants UMP » qui jurent à MAM « qu'elle seule peut battre Royal », seront un peu désappointés...C'est ainsi. Fort des bons résultats du gouvernement dans la lutte contre le chômage, du climat d'apaisement social qu'il a su restaurer, Dominique de Villepin, après le CPE et Clearstream, revient dans le coeur des Français, mais les qualités à nouveau reconnues au premier ministre ne valent pas adoubement du candidat. echarpe burberry pas cher MAM est un ministre de la Défense respecté, une personnalité politique appréciée, mais sa qualité de femme n'en fait pas, aux yeux de l'opinion, une alternative à Royal. Ni l'un ni l'autre ne sont aujourd'hui « dans le film », dont le rôle-titre a depuis longtemps été préempté par Nicolas Sarkozy.Bien sûr, les chiraquiens peuvent estimer que Sarkozy est fragile, qu'il va s'effondrer. Si rien ne l'indique à l'heure actuelle (depuis deux ans, la cote du candidat semble plutôt inoxydable), rien ne leur interdit de l'espérer. Mais c'est une chose de se tenir prêt « au cas où », c'en est une autre - qui pourrait se révéler fort dangereuse pour la majorité - que de chercher par tous les moyens à précipiter une chute qui ne vient pas.Car, l'autre enseignement de notre sondage est que, pour la droite, même si son candidat est Sarkozy, la partie n'est pas gagnée. Ségolène Royal, en dépit de ses faux pas, progresse au premier tour et s'impose au second. burberry pas cher
  L'UMP n'aura pas trop de toutes ses forces pour lui résister.Dans ces conditions, est-on vraiment sûr que le pilonnage systématique de celui qui reste - et de très loin - le meilleur candidat de la droite soit une riche idée ? Qu'adresser, comme Jean-Louis Debré, des « voeux chaleureux » à Ségolène Royal soit particulièrement adapté ? On sait ce qu'il advient des maisons divisées contre elles-mêmes. À ceux qui l'auraient oublié, on ne saurait trop conseiller la lecture des Mémoires de Valéry Giscard d'Estaing, consacrés à la berezina, présidentielle et législative, de 1981.Le vote par l'Assemblée de la proposition de loi socialiste pénalisant d'un an de prison et de 45 000 euros d'amende la négation du génocide des Arméniens perpétré par les Turcs pendant la Première Guerre mondiale n'est pas un événement mineur. Ce vote est le reflet du climat général d'intolérance, lié à la mondialisation, qui ne cesse de progresser entre les nations, et qui ronge de l'intérieur les sociétés démocratiques.Le problème posé par ce texte n'est pas, ou plutôt ne devrait pas être celui des relations entre la France et la Turquie. Le massacre des Arméniens engagé en 1915 est un génocide avéré, et si les historiens se divisent parfois sur sa dénomination, la démonstration a été faite, notamment par Yves Ternon, qu'il fut systématique et programmé.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Pour être un candidat crédible aux yeux de l'opinion, il ne suffit pas d'avoir une bonne image, il faut aussi être en situation. À l'oreille de tous ceux qui seraient tentés de négliger cette loi d'airain de la politique, l'enquête TNS-Sofres que nous publions sonnera comme un - brutal - rappel à la réalité.Depuis dix jours, les chiraquiens, qui ne se résignent pas à la désignation de Nicolas Sarkozy, font feu de tout bois contre leur vieil ennemi. Dominique de Villepin affirme que le président de l'UMP n'est pas « le seul candidat possible ». Michèle Alliot-Marie piaffe à l'idée de se lancer. L'objectif est transparent : il s'agit d'installer l'idée qu'un autre - à côté de lui ou à sa place - ferait mieux que Sarkozy.À lire notre sondage, il apparaît que les électeurs, pour l'heure, ne sont pas de cet avis. <a rel="nofollow" href="http://www.cercleaqua.fr/burberry-pascher/short-burberry-pas-cher-echarpe-burberry-pas-cher-burberry-pas-cher/" title="short burberry pas cher">short burberry pas cher</a> <br /> Candidats « en plus », MAM et Villepin ne dépassent pas les 5 % ; leur présence au premier tour n'ajoute rien au score de l'UMP. Candidats « à la place », ils font moitié moins que le ministre de l'Intérieur, loin, très loin derrière Ségolène Royal, qui les éreinte au second tour. Les « nombreux militants UMP » qui jurent à MAM « qu'elle seule peut battre Royal », seront un peu désappointés...C'est ainsi. Fort des bons résultats du gouvernement dans la lutte contre le chômage, du climat d'apaisement social qu'il a su restaurer, Dominique de Villepin, après le CPE et Clearstream, revient dans le coeur des Français, mais les qualités à nouveau reconnues au premier ministre ne valent pas adoubement du candidat. <a rel="nofollow" href="http://www.cercleaqua.fr/burberry-pascher/short-burberry-pas-cher-echarpe-burberry-pas-cher-burberry-pas-cher/" title="echarpe burberry pas cher">echarpe burberry pas cher</a> MAM est un ministre de la Défense respecté, une personnalité politique appréciée, mais sa qualité de femme n'en fait pas, aux yeux de l'opinion, une alternative à Royal. Ni l'un ni l'autre ne sont aujourd'hui « dans le film », dont le rôle-titre a depuis longtemps été préempté par Nicolas Sarkozy.Bien sûr, les chiraquiens peuvent estimer que Sarkozy est fragile, qu'il va s'effondrer. Si rien ne l'indique à l'heure actuelle (depuis deux ans, la cote du candidat semble plutôt inoxydable), rien ne leur interdit de l'espérer. Mais c'est une chose de se tenir prêt « au cas où », c'en est une autre - qui pourrait se révéler fort dangereuse pour la majorité - que de chercher par tous les moyens à précipiter une chute qui ne vient pas.Car, l'autre enseignement de notre sondage est que, pour la droite, même si son candidat est Sarkozy, la partie n'est pas gagnée. Ségolène Royal, en dépit de ses faux pas, progresse au premier tour et s'impose au second. <a rel="nofollow" href="http://www.cercleaqua.fr/burberry-pascher/short-burberry-pas-cher-echarpe-burberry-pas-cher-burberry-pas-cher/" title="burberry pas cher">burberry pas cher</a> <br /> L'UMP n'aura pas trop de toutes ses forces pour lui résister.Dans ces conditions, est-on vraiment sûr que le pilonnage systématique de celui qui reste - et de très loin - le meilleur candidat de la droite soit une riche idée ? Qu'adresser, comme Jean-Louis Debré, des « voeux chaleureux » à Ségolène Royal soit particulièrement adapté ? On sait ce qu'il advient des maisons divisées contre elles-mêmes. À ceux qui l'auraient oublié, on ne saurait trop conseiller la lecture des Mémoires de Valéry Giscard d'Estaing, consacrés à la berezina, présidentielle et législative, de 1981.Le vote par l'Assemblée de la proposition de loi socialiste pénalisant d'un an de prison et de 45 000 euros d'amende la négation du génocide des Arméniens perpétré par les Turcs pendant la Première Guerre mondiale n'est pas un événement mineur. Ce vote est le reflet du climat général d'intolérance, lié à la mondialisation, qui ne cesse de progresser entre les nations, et qui ronge de l'intérieur les sociétés démocratiques.Le problème posé par ce texte n'est pas, ou plutôt ne devrait pas être celui des relations entre la France et la Turquie. Le massacre des Arméniens engagé en 1915 est un génocide avéré, et si les historiens se divisent parfois sur sa dénomination, la démonstration a été faite, notamment par Yves Ternon, qu'il fut systématique et programmé.</div>

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