Citoyens et fabricants impliqués Certaines villes n'hésitent pas non plus à faire participer leur population à leurs démarches écologiques. La ville de Paris a ainsi choisi de faire pédaler habitants et touristes pour la bonne cause. Ainsi, des vélos, des (...)Les causes de ce phénomène d'échouage massif, qui pourrait être l'un des plus important jamais enregistré par des scientifiques, seront expliquées prochainement dans la revue National Geographic, qui a financé le survol. Plus de 300 baleines ont été trouvées mortes dans un fjord isolé de la Patagonie chilienne, à l'extrême sud du pays, ce qui pourrait constituer l'un des plus grand échouage de cétacés jamais constaté.polo burberry homme soldes «C'était une vision apocalyptique. Je n'avais rien vu de semblable», a déclaré Vreni Häussermann, la directrice du centre scientifique Huinay, qui a participé à l'expédition ayant trouvé les baleines échouées. Ces chercheurs ont mis en place cette expédition après la découverte en avril d'une vingtaine de baleines d'une espèce protégée qui avaient été trouvées mortes dans cette région du Chili, à quelques 2000 kilomètres au sud de la capitale, Santiago. Ces premières baleines appartenaient à l'espèce protégée «Sei», autrefois très prisée par la pêche et qui peut mesurer jusqu'à 16 mètres de long et peser 30 tonnes. Lors d'un vol de reconnaissance, réalisé en juin au-dessus de la zone par cette équipe de scientifiques, ils ont pu observer un nombre bien plus élevé de cétacés morts. «Nous avons pu compter 337 baleines mortes, en incluant les cadavres et les squelettes», a déclaré Vreni Häussermann. Outre le survol, des photos aériennes et satellites ont été utilisées pour parvenir à ce total.Echarpe burberry pas cher«Il y a encore de nombreuses zones que nous n'avons pas pu atteindre, il est donc probable qu'il y ait davantage de baleines mortes», a ajouté Häussermann. L'endroit où ont été trouvées les baleines est un fjord très difficilement accessible. L'intervention humaine écartée Les causes de ce phénomène d'échouage massif, qui pourrait être l'un des plus important jamais enregistré par des scientifiques, (...)SCIENCE - Le mode de déplacement des méduses et des lamproies, qui aspirent l'eau vers elles pour aller de l'avant, pourrait permettre de concevoir des sous-marins d'un type nouveau, bien moins énergivores, selon une étude publiée ce mardi 3 novembre. "Nos recherches montrent que les méduses et les lamproies aspirent l'eau vers elles pour aller de l'avant au lieu de pousser contre l'eau derrière elles, comme cela avait été supposé auparavant", a dit à l'AFP John Dabiri de l'université de Stanford aux États-Unis, coauteur de cette étude publiée dans Nature Communications.Trench burberry pas cher "Economies d'énergie significatives" Cette découverte "remet en cause toutes nos hypothèses", selon l'ingénieur. Ce constat pourrait, à terme, permettre de "concevoir des véhicules sous-marins qui se déplacent avec une efficacité énergétique sans précédent", selon lui. "Si le mécanisme d'aspiration observé chez les animaux peut-être appliqué aux véhicules sous-marins, on pourrait réaliser des économies d'énergie significatives", fait valoir l'ingénieur. On savait déjà que les méduses et les lamproies étaient capables de se déplacer très vite sans dépenser beaucoup d'énergie mais on ignorait la raison. Les lamproies sont une espèce de poisson très ancienne, qui ondule comme une anguille, et les méduses sont des êtres mous, sans squelette ni cerveau, qui peuplent les océans depuis des millions d'années, avant même la formation des continents. sous marins Des lamproies de rivière Pour définir leur mode de locomotion, les chercheurs sont passés par l'étude de la pression de l'eau entourant les animaux. "En mesurant, pour la première fois, la pression que ces animaux exercent sur l'eau environnante, nous avons démontré que leur mécanisme de nage est très différent de ce que nous pensions", a expliqué John Dabiri.
«C'était une vision apocalyptique. Je n'avais rien vu de semblable», a déclaré Vreni Häussermann, la directrice du centre scientifique Huinay, qui a participé à l'expédition ayant trouvé les baleines échouées. Ces chercheurs ont mis en place cette expédition après la découverte en avril d'une vingtaine de baleines d'une espèce protégée qui avaient été trouvées mortes dans cette région du Chili, à quelques 2000 kilomètres au sud de la capitale, Santiago. Ces premières baleines appartenaient à l'espèce protégée «Sei», autrefois très prisée par la pêche et qui peut mesurer jusqu'à 16 mètres de long et peser 30 tonnes. Lors d'un vol de reconnaissance, réalisé en juin au-dessus de la zone par cette équipe de scientifiques, ils ont pu observer un nombre bien plus élevé de cétacés morts. «Nous avons pu compter 337 baleines mortes, en incluant les cadavres et les squelettes», a déclaré Vreni Häussermann. Outre le survol, des photos aériennes et satellites ont été utilisées pour parvenir à ce total. Echarpe burberry pas cher «Il y a encore de nombreuses zones que nous n'avons pas pu atteindre, il est donc probable qu'il y ait davantage de baleines mortes», a ajouté Häussermann. L'endroit où ont été trouvées les baleines est un fjord très difficilement accessible. L'intervention humaine écartée Les causes de ce phénomène d'échouage massif, qui pourrait être l'un des plus important jamais enregistré par des scientifiques, (...)SCIENCE - Le mode de déplacement des méduses et des lamproies, qui aspirent l'eau vers elles pour aller de l'avant, pourrait permettre de concevoir des sous-marins d'un type nouveau, bien moins énergivores, selon une étude publiée ce mardi 3 novembre. "Nos recherches montrent que les méduses et les lamproies aspirent l'eau vers elles pour aller de l'avant au lieu de pousser contre l'eau derrière elles, comme cela avait été supposé auparavant", a dit à l'AFP John Dabiri de l'université de Stanford aux États-Unis, coauteur de cette étude publiée dans Nature Communications. Trench burberry pas cher
"Economies d'énergie significatives" Cette découverte "remet en cause toutes nos hypothèses", selon l'ingénieur. Ce constat pourrait, à terme, permettre de "concevoir des véhicules sous-marins qui se déplacent avec une efficacité énergétique sans précédent", selon lui. "Si le mécanisme d'aspiration observé chez les animaux peut-être appliqué aux véhicules sous-marins, on pourrait réaliser des économies d'énergie significatives", fait valoir l'ingénieur. On savait déjà que les méduses et les lamproies étaient capables de se déplacer très vite sans dépenser beaucoup d'énergie mais on ignorait la raison. Les lamproies sont une espèce de poisson très ancienne, qui ondule comme une anguille, et les méduses sont des êtres mous, sans squelette ni cerveau, qui peuplent les océans depuis des millions d'années, avant même la formation des continents. sous marins Des lamproies de rivière Pour définir leur mode de locomotion, les chercheurs sont passés par l'étude de la pression de l'eau entourant les animaux. "En mesurant, pour la première fois, la pression que ces animaux exercent sur l'eau environnante, nous avons démontré que leur mécanisme de nage est très différent de ce que nous pensions", a expliqué John Dabiri.
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